À Thiénaba, une querelle familiale a dégénéré
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À Thiénaba, une querelle familiale a dégénéré
Une querelle familiale entre M Ndong et Souleymane Nd. a atterri devant le tribunal des flagrants délits de Fatick
A. Ba et son amie A. Diop ont été condamnées à six mois de prison avec sursis pour menaces et injures proférées contre F. Fall.
O. Diallo, 63 ans, a été arrêté pour coups et blessures volontaires sur sa nièce âgée de 17 ans. Il a été déféré au parquet.
L'État du Sénégal va-t-il commettre la maladresse, dans le ...
La mort de Helmut Kohl a exposé au grand jour les profondes querelles au sein de la famille du "père de la Réunification allemande", jetant une ombre sur les hommages officiels qui se préparent pour saluer sa mémoire.
Marion Maréchal-Le Pen, seule en lice après les retraits de son grand-père Jean-Marie Le Pen et de Bruno Gollnisch, a été adoubée vendredi tête de liste du Front national aux élections régionales de décembre en Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca). En pleine tourmente politico-familiale, la candidature de la députée du Vaucluse, âgée de 25 ans, est emblématique dans une des terres de prédilection du FN où le président d'honneur de la formation avait obtenu 33% des voix aux européennes de 2014.
La police américaine a précisé ce dimanche l'identité du tireur présumé du centre commercial de la banlieue nord de Washington. Il s'agit d'un étudiant de 19 ans
Un tireur isolé portant des explosifs artisanaux a tué deux personnes et s'est suicidé, samedi après une fusillade survenue dans un centre commercial très fréquenté de la grande banlieue nord de la capitale américaine, Washington, a annoncé la police.
Une banale dispute a éclaté entre ce gérant de bar et le frère du propriétaire. Mais, la querelle se termine dans la violence, un coup de feu est tiré par le gérant, heureusement la balle n’a pas atteint son antagoniste. Néanmoins, le frère du bailleur sera blessé à coups de gourdin. Traduit en justice, le gérant qui avait bénéficié de la liberté provisoire à la gendarmerie, est arrêté à l’audience avant d’être conduit à Rebeuss. Compte tenu de sa situation familiale, il a interjeté appel pour bénéficier de la liberté provisoire. L’avocat général s’est rapporté à la décision de la Cour. Il sera fixé sur son sort dès le 2 novembre prochain.
La grande démocratie américaine, pour élire un président, passe obligatoirement par des primaires. Démocrates et républicains procèdent à une présélection afin de faire le tri pour éliminer d’office certaines candidatures parasites. L’accès à la magistrature suprême est plus que sacré, et pour ce faire, seul les meilleurs ont voix au chapitre. La France en fait pareil. Devons nous regretter le multipartisme, lorsque des partis fantômes hantent la sphère politique ? Le ministre de l’intérieur, n’a-t-il pas eu raison fustiger la pléthore de partis politiques dont une bonne composante devrait être dissoute pour rendre service à la République ?
Stoïques, les Sénégalais subissent sans dire mot les affres d’un système, tentant de se parer des atours de la démocratie pour se (re) fonder une légitimité totalement perdue. Le massacre institutionnel auquel il se livre, la violence verbale et parfois physique avec lesquelles il se déploie dans l’univers politique national donnent froid au dos. Cela rappelle d’autres régimes politiques, en d’autres temps et en d’autres lieux. Jusqu’à quand durera le stoïcisme ou l’indifférence des Sénégalais ? Nul ne sait. Pourtant, chaque jour le régime déroule un numéro plus loufoque et plus dramatique que les précédents, dans sa manière de conduire les destinées du pays. Le ridicule n’étonne plus. Le grotesque non plus. Le dernier épisode de la série est sans conteste « l’affaire Macky Sall ».
Du ménage de Mor Sèye et de Ndèye Khady Sène, on peut dire qu’il ne reste pratiquement plus rien. A défaut de laver le linge sale en famille, le couple en est arrivé à la barre non pas pour demander l’arbitrage du juge sur un problème entre mari et femme, mais pour une histoire d’inceste. Là, on peut dire que le linge est trop sale même, quand on sait que la victime, M. F., n’est personne d’autre que la fille de Ndèye Khady Fall, née d’une première union. Agée seulement de 14 ans, M.F. aurait donc été violée, à plusieurs reprises, par son père adoptif Mor Sèye.
La vie a de longues jambes, chers lecteurs, mais qu’elle a la mémoire courte ! Celle que Wade appelait il y a trois ans seulement « l’âme du Pds », a préféré un divorce à l’amiable. La maîtresse du Pds a failli y perdre son âme, après y avoir laissé son corps tout entier. Qu’aurait-on donc pleuré, du côté de Taïf et… Baïla.Non, si Aminata Tall a vraiment été l’âme du Pds, et je crois qu’elle l’a été pendant longtemps, le Pds vient de perdre son âme. C’est cela, la question éthique posée par cette chaleureuse dame, que nous avons appris à aimer pour son franc-parler. Elle vient de nous prouver, de la plus belle des manières, qu’elle ne connaît pas la langue de bois blanc. Elle est taillée d’ébène.
Programme alternatif à «l’alternance décevante» Idrissa Seck décline sa feuille de route Retour sur les circonstances, qui l’ont mené à se séparer d’avec Me Wade, réaffirmation de sa candidature à la présidentielle de 2007 avec la création d’un parti politique : «Rewmi», déclinaison d’un programme de redressement de la situation politique, économique et sociale du Sénégal. Tels ont été en résumé, la teneur du discours du maire de Thiès diffusé samedi, sur les ondes de radios privées, à quelques heures de son retour au Sénégal, à la veille du mois béni de ramadan, après quelques mois passés hors du pays.
Chers compatriotes, J’ai suivi avec intérêt le débat retrouvailles ou opposition Wade/Idy, j’ai écouté avec une égale attention les arguments des uns et des autres, et remercie tous ceux qui m’ont exprimé leurs avis sur la question, directement ou indirectement. Je n’éprouve aucune rancune à l’endroit de Wade, je lui conserve tout le respect qu’inspire son parcours de grand opposant. L’Histoire enseigne cependant que le destin personnel des hommes, même d’Etat, est une insignifiance au regard des intérêts supérieurs d’une Nation. Lesquels commandent aujourd’hui que soient corrigées les insuffisances notées sur le pouvoir de Wade.
Idrissa Seck, comme annoncé par Le Quotidien dans sa livraison du week-end, est effectivement de retour au Sénégal, depuis samedi dernier, après environ cinq mois d’absence. Comme viatique de retour, l’ex-Premier ministre a servi aux Sénégalais une lettre-programme, mais aussi une lettre-bilan, avec dans la foulée la déclinaison de son projet de redressement national annoncé déjà le 4 avril dernier, à l’occasion de la fête de l’Indépendance. Idrissa Seck n’avait pas foulé le sol de l’aéroport Léopold Sédar Senghor que, comme dans une stratégie communicationnelle, bien chevillée au corps, son adresse à ses compatriotes sénégalais passaient en boucle sur les radios Fm.