Cheikh Oumar Diagne sur la gestion du pouvoir: "Il y'a un partage du gâteau. Des gens m'ont dit..."
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Cheikh Oumar Diagne sur la gestion du pouvoir: "Il y'a un partage du gâteau. Des gens m'ont dit..."
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"L'idole a été trop vite brûlée par certains" : Habib Demba Fall célèbre Sadio Mané
Henrikh Mkhitaryan retrace sa relation toxique avec José Mourinho à Manchester United : « Il m'a dit que j'étais une merde »
L’affaire des deux sourds-muets a attiré toute l’attention du tribunal. Il a fallu la présence d’une interprète pour permettre à M. Ba et B. Diouf de revenir sur les faits qui les ont traînés à la barre du tribunal des flagrants délits de Mbour.
Affaire du jeune joueur qui accuse son coach d'arnaque et d'abus sexuels : La Cour a rendu son verdict
Interpellé ce samedi à l'hôtel Terrou-Bi par des agents de la Sûreté urbaine du Commissariat central de Dakar, le patron de presse et proche de l'opposition, Soya Diagne, a été libéré sur convocation selon une source de Seneweb.
Amoureux de Daenerys Targaryen, un adolescent américain s'est suicidé en 2024 pour rejoindre l'héroïne de "Game of Thrones" dans la mort.
Un jeune chauffeur de bus a été licencié à Londres après avoir été encerclé durant son service par des supporters de Chelsea alors que lui-même portait un maillot de Liverpool
Une affaire de vol a conduit au défèrement d'une mineure devant le Tribunal de Grande Instance de Pikine-Guédiawaye. K.M., 17 ans, élève en classe de 4e, a été déférée hier jeudi par la Brigade territoriale de gendarmerie de la Zone franche industrielle pour vol au préjudice de son employeure.
Le 9 septembre, la nouvelle ministre de la Santé suédoise, Elisabet Lann, a été victime d'un malaise lors d'une conférence de presse à laquelle elle participait avec d'autres membres du gouvernement. Les images ont été largement partagées sur les réseaux sociaux, notamment sur TikTok, où certains utilisateurs ont affirmé que l'incident avait eu lieu juste après que la ministre eut révélé face à la presse une prétendue relation amoureuse secrète avec Emmanuel Macron. Mais la ministre n'a pas tenu de tels propos, et elle explique avoir été simplement victime d'une crise d'hypoglycémie.
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
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Un Guadeloupéen de 69 ans a été condamné à quinze mois de prison dont cinq mois ferme aménageables, pour avoir braqué un centre commercial avec une carabine afin "d'entrer en prison" et y retrouver son petit-fils incarcéré, a appris l'AFP de sources concordantes, confirmant une information de la radio RCI.
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