Le marathon budget a pris fin ce 13 décembre. Un budget global de plus 700 milliards F CFA a été réparti entre les différents ministères.
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Le marathon budget a pris fin ce 13 décembre. Un budget global de plus 700 milliards F CFA a été réparti entre les différents ministères.
Après plus d’un mois d’échanges soutenus avec les députés, ( Commission et plénière) le gouvernement a réaffirmé sa volonté d’inscrire le budget 2026 dans une logique de priorisation rigoureuse,
« L'heure n'est plus aux demi-mesures. Face à la crise étudiante sans précédent, symbolisée par des mois d'arriérés de bourses, il est impératif de réviser l'affectation des ressources publiques pour refléter les véritables priorités de la Nation »
Fin des travaux en commission : Le budget 2026 prêt pour la plénière
El Hadji Diaydi Bâ Cissé est l’initiateur du Programme d’Appui à la Structuration et à la Gestion des Matières (Pasgem)
Honte à ceux qui festoient pendant que le peuple souffre (par Pape Matar Diallo)
Invité du "Jury du dimanche" sur iRadio, le président du groupe parlementaire PASTEF, Ayib Daffé, a défendu la posture économique du gouvernement Diomaye Faye face au Fonds monétaire international (FMI).
Réformes: Des parlementaires exigent la suppression des fonds politiques
Depuis l’installation du nouveau gouvernement, le Sénégal a mobilisé plus de 10 200 milliards F CFA, dont plus de 6 000 milliards ont été consacrés au remboursement de la dette, selon l’économiste Mor Gassama, invité de l’émission "Seneweb Éco", ce dimanche 24 août.
Une mission du Fonds monétaire international (Fmi) séjourne actuellement au Sénégal. Mission dont les enjeux sont très élevés pour le gouvernement du Sénégal qui fait actuellement face à d’énormes difficultés budgétaires, depuis que l’affaire de la dette cachée a été mise sur la place publique.
Le Sénégal fait face à une crise financière marquée par des déficits budgétaires persistants et un endettement galopant, avec un service de la dette de plus en plus lourd et des besoins annuels dépassant 5 000 milliards FCFA (2025–2028), selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD.
Face à une dette publique record et un déficit budgétaire préoccupant, le Sénégal s’engage dans un programme de réformes pour tenter de rétablir ses équilibres macroéconomiques.
Sukerou koor ou le pied de nez de l’Assemblée à Sonko
Depuis l’arrivée au pouvoir du parti Pastef en 2024, environ 3 000 agents publics auraient perdu leur emploi en moins d’un an.
Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 19 février 2025, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres...
Le plan de redressement économique et social apporte bien de la nouveauté, comparé aux précédents ; les leviers d’action sont aussi clairement identifiés.
Dans un contexte économique marqué par un déficit budgétaire de 14 % du PIB et une dette publique atteignant 119 % en 2024, le Sénégal s’engage dans un plan de redressement économique et social ambitieux, « Jubbanti Koom ».
Le vendredi 1er août a été marqué par la présentation du plan économique et social du gouvernement au grand théâtre national
le Président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a dressé un premier bilan de ses réformes, axées notamment sur la rationalisation des dépenses publiques
Lors d’une présentation théâtrale au Grand Théâtre national, le Premier ministre Ousmane Sonko a dévoilé son plan de redressement économique et social, baptisé « Jubbanti Koom », devant un public acquis et sous le regard du président Bassirou Diomaye Faye. Mais pour Ibrahima Thiam, président du parti Action pour la Citoyenneté et les Transformations (ACT), ce plan n’est qu’un « récit politique » dénué d’ancrage dans les réalités économiques du Sénégal. Dans une tribune au vitriol, Thiam dénonce une approche marquée par une fiscalité agressive, un souverainisme déconnecté et une absence de solutions concrètes pour sortir le pays de la crise. Voici une analyse fidèle de sa critique, ponctuée d’extraits de son texte.