Le paysage politique sénégalais s'enrichit d'un nouveau parti
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Le paysage politique sénégalais s'enrichit d'un nouveau parti
La scène politique sénégalaise s’enrichit d’un nouvel acteur.
Ils ont tous un parcours. Une histoire à raconter. Partis du Sénégal, du Mali, de la Guinée, du Burkina Faso, du Nigéria, de la Côte d’Ivoire, du Cameroun, de la Tunisie, du Maroc entre autres pays, ces populations, à la recherche d’un avenir meilleur, prennent des risques énormes, au péril de leur vie.
Le député de la mouvance présidentielle, Aymirou Gningue, se dit surpris par le débat sur la promulgation de la loi portant sur la gestion des catastrophes naturelles et sanitaires.
Depuis qu’il a été éjecté de l’Alliance des forces de progrès (Afp) parti dans lequel il a milité depuis sa création, Malick Gakou tisse sa toile. Avec sa formation nouvellement mise sur pied, le Grand parti (Gp), l’ancien numéro 2 de l’Afp marche résolument vers le pouvoir.
Des personnalités religieuses et des islamologues issus des différentes familles confrériques du Sénégal vont procéder au lancement de »’l’Association islamique pour servir le Soufisme »’ le 5 novembre en vue de promouvoir un Islam de paix et de stabilité, a appris l’APS auprès des initiateurs.
C'est officiel. Le Mouvement des patriotes pour le développement (Mpd/Ligguey) vient de rejoindre les rangs de la pléthore de partis politiques existant au Sénégal. Mis sur pied par l'ex-ministre Aliou Sow, la formation politique a décroché son récépissé le 3 septembre dernier, une grande satisfaction que Aliou Sow partage sur le réseau social.
Trois mois après son lancement officiel, le Grand parti de Malick Gakou est désormais une formation politique reconnue par l'Etat du Sénégal. En effet, le ministère de l'Intérieur a délivré le récépissé de reconnaissance officielle de ce parti à Malick Gakou.
L’organisation des Nations unies contre le crime et la drogue (Onudc) et la Commission nationale de lutte contre les armes légères et de petit calibre (Cnlcpal) organisent un séminaire-atelier de validation de l’avant projet de loi sur le régime des armes et munitions et de son décret d’application du 18 au 20 septembre à Saly-Portudal.
La polémique qui avait entouré la décision du gouvernement sénégalais d’exiger un visa d’entrée à des ressortissants de plusieurs pays, semble avoir baissé d’intensité avec l’entrée en vigueur de cette mesure le 1er juillet 2013.
Le Directeur général des élections, Tanor Thiendella Fall, a invité les électeurs à se rendre mardi auprès des structures administratives de leur localité pour consulter les listes électorales et s’assurer que leurs demandes ont été bien prises en compte.
La nouvelle polémique qui s’est emparée du pays depuis une semaine, suite aux informations relatives au dépôt par le président de la République de sa «Déclaration écrite de patrimoine» au Conseil constitutionnel – une première dans l’histoire du Sénégal – peut paraître curieuse. En ce sens qu’on aurait compris cet état de fait si Macky Sall avait refusé, à l’image de ses prédécesseurs, de se plier à un exercice qui obéit à une disposition de la Constitution
Un des animateurs du mouvement Y en a marre est un employé du candidat de Abdou Latif Coulibaly. Suffisant pour que le pouvoir voie sa main derrière ces jeunes qui s’opposent à la candidature du président Wade. Mais, dans cette seconde partie de l’entretien qu’il nous accordé, le candidat de Bennoo Alternative 2012, qui ne cache pas sa sympathie envers ce mouvement, réfute ces accusations.
Un des animateurs du mouvement Y en a marre est un employé du candidat Abdou Latif Coulibaly. Suffisant pour que le pouvoir voie sa main derrière ces jeunes qui s’opposent à la candidature du président Wade. Mais, dans cette seconde partie de l’entretien qu’il nous accordé, le candidat de Bennoo Alternative 2012, qui ne cache pas sa sympathie envers ce mouvement, réfute ces accusations.
Comment évaluez-vous les postes de responsabilité acquis par Dekhal N’gor au niveau national ?Si on faisait un calcul rapproché au prorata, l’APR Yakaar est aujourd’hui le premier parti au Sénégal. Les autres coalitions sont composées d’une vingtaine de partis politiques. Nous sommes partis seules dans 6 régions, nous dirigeons quatorze collectivités locales, nous avons plus de six cents conseillers et cela nous l’avons eu en deux (02) mois d’existence, pour un parti non encore officiel parce qu’on nous refuse notre récépissé. C’est dans ces circonstances que nous nous sommes battus avec l’aide des sénégalais qui nous ont fait confiance.