Trump annonce ce mardi un accord historique avec Pfizer pour faire baisser le prix des médicaments aux États-Unis. Une décision clé mêlant santé, économie et bataille politique
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Trump annonce ce mardi un accord historique avec Pfizer pour faire baisser le prix des médicaments aux États-Unis. Une décision clé mêlant santé, économie et bataille politique
Gel de l'USAID: le Ghana se débat pour combler un déficit de 156 millions de dollars
Le ministre de la Santé, Dr Robert Kargougou, a annoncé, ce lundi 26 mai 2025, une baisse significative des prix de vente publics des médicaments essentiels génériques.
Le Forum Civil a exprimé son soutien aux mesures de baisse des prix du gouvernement, tout en soulignant les défis économiques dus à la dépendance aux importations.
En 2011, le Sénégal avait enregistré plus de 100 décès causés par la dépigmentation
Dans un communiqué émis en réponse à des allégations portées à la suite du rapport d'activité de l'OFNAC de 2023, Carrefour Médical a tenu à rétablir la vérité...
La vérité ne doit pas être entachée, le monde ne doit pas être trompé et le récit sur le Xinjiang ne doit pas être déformé.
Son nom de code est PF-07321332, qu’on désigne pour l’instant sous l’abréviation « 332 »
D'un côté, des dizaines de médicaments testés. De l'autre, une centaine de vaccins en projet. Qu'il s'agisse de traiter le Covid-19 ou de le prévenir, les recherches foisonnent et avancent vite, même si on attend encore la découverte qui changera le cours de la maladie.
A l’occasion du nouvel an, je suis heureux de m’adresser à vous pour vous présenter mes vœux.
La Pharmacie nationale d’approvisionnement (PNA) a pu obtenir pour le secteur public des réductions des prix médicaments pour le traitement du cancer du sein et du col de l’utérus, de l’ordre de 10 à 60%, a annoncé, vendredi à Dakar, la ministre de la Santé et de l’Action sociale, Awa Marie Coll Seck.
L’insuffisance rénale continue sa progression au Sénégal, ce qui induit une mobilisation de l’Etat, pour soulager les malades. Mais ceux-ci ne sont pas encore au bout du tunnel, malgré la convention avec les centres privés et la subvention d’un médicament. Aujourd’hui, les malades veulent une augmentation dans la subvention des médicaments, pour pouvoir faire face au traitement qui demeure cher.
Bureaux, hôpitaux, écoles, entreprises, peu de secteurs de la vie active nationale échappent à l’absentéisme des travailleurs. Les prétextes sont légion : certificat médical de complaisance, décès de proche, cérémonies familiale et religieuse. La liste est loin d’être exhaustive. Et pourtant, les chefs religieux, musulmans comme catholiques, lors des grands événements surtout, ne cessent d’appeler les Sénégalais au travail. Récemment, c’est le président de la République, Macky Sall, de retour de la Chine et de la réunion du Groupe consultatif de Paris, qui avait réitéré cette invite à ses compatriotes.
Après l’homologation aux États-Unis et en Europe d’un nouveau médicament pour le traitement de l’hépatite C en décembre, des militants luttent pour que ce traitement soit accessible aux pays pauvres. Cette action rappelle le militantisme qui avait permis de faire baisser les prix des médicaments contre le VIH/SIDA il y a dix ans au Brésil, en Afrique du Sud et en Thaïlande.
Au-delà de cette ténébreuse affaire d’infiltration de narcotrafiquants nigérians au cœur du système sécuritaire sénégalais - lequel est justement sensé lutter contre le trafic de stupéfiants -, et qui laisse encore abasourdie toute une conscience collective; après les cérémonies officielles ayant marqué il y a juste un mois la journée du "26 Juin", décrétée en 1988 par les Nations-Unies "Journée Internationale de Lutte contre la Drogue"
C’est connu de tout le monde entier, que parmi les problèmes structurels dont le Sénégal sous Abdoulaye Wade est confronté, on note l’énergie comme étant centrale.
Les insuffisants rénaux chroniques du Sénégal poussent un ouf de soulagement. La séance d’hémodialyse est désormais facturée à 10.000 contre 50.000 FCfa. Cette mesure, d’une haute portée sociale annoncée, hier, par le ministre de la Santé et de la Prévention, Modou Diagne Fada, sera accompagnée par la construction de 7 centres d’hémodialyse. Le ministre de la Santé et de la Prévention, Modou Diagne Fada et le Pr. Iba Der Thiam, vice-président de l’Assemblée nationale, regardent une technicienne de la Santé s’affairer autour de Djiby Seck qui fait sa dialyse.
Les personnes atteintes d’insuffisance rénale chronique ont tout dépensé. Certains malades ont vendu leurs maisons et autres biens pour se soigner. Une séance d’hémodialyse tourne autour de 650.000 FCfa par malade et par mois. Aucune famille, aucune personne ne peut supporter une telle dépense, confessent les malades. L’édifice à l’architecture coloniale situé derrière le Service de néphrologie de l’Hôpital Aristide Le Dantec grouille de monde, en ce jeudi 11 mars 2010. Des malades, des médecins viennent saluer, avec déférence, Ibrahima Diaw.
Un instrument d’aide à la prise de décision peut être un qualificatif de l’étude prospective « Sénégal 2025 ». Celle-ci a fait hier l’objet d’un atelier de validation des scénarii et de partage du rapport d’étape. Elle place l’alimentation au premier rang des soucis des Sénégalais pour les trente années à venir. Selon Ousmane Ndoye de la Direction des Stratégies de développement au ministère de l’Economie et des Finances, les priorités des Sénégalais pour les années à venir et par ordre d’importance sont la sécurité alimentaire, la santé, l’habitat, l’emploi et l’éducation. C’est ce qu’il appelle le « paquet de départ » ou le « minimum ».
Les structures sanitaires, notamment les Etablissements publics sanitaires (Eps) ne répondent plus aux besoins des malades encore moins à ceux de leurs personnels. Pour cause, elles traînent de lourdes ardoises financières dues à l’insuffisance des subventions qui leur sont allouées annuellement, à la charge salariale et à l’inefficacité du personnel soignant…Autant de défis à relever par le nouveau ministre de la Santé et de la prévention médicale, le Dr Safiétou Thiam, qui s’est confiée à Sud Quotidien pour décliner sa feuille de route visant à remettre sur les rails un secteur qualifié de stratégique. Pour elle, la solution aux problèmes du système passera nécessairement par l’évaluation de la réforme hospitalière.