Sénégal et la rentrée littéraire africaine 2025 : entre mémoire et innovation
il y a 1 mois
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Sénégal et la rentrée littéraire africaine 2025 : entre mémoire et innovation
La première édition de la Rentrée littéraire au Sénégal s’ouvre ce jeudi 17 avril 2025 à la Maison de la Culture Douta Seck, à Dakar.
Kaffrine continue de vibrer au rythme de la 11e édition du Festival National des Arts et Culture (FESNAC)
Cette contribution à l’excellence de ces élèves, dont certains sont issus des milieux plutôt défavorisés, vient largement récompenser et réconforter ces familles.
La plus secrète mémoire des hommes, paru aux éditions Philippe Rey au mois d’août dernier.
À 31 ans, l’écrivain sénégalais remporte le prestigieux prix littéraire couronnant une œuvre protéiforme, moins grand public que le précédent lauréat, «l’Anomalie», mais d’une ampleur et d’une ambition détonantes.
La rentrée littéraire d'automne 2020 est lancée, avec un total de 511 titres à retrouver chez vos libraires
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La rentrée littéraire d'automne 2020 est lancée, avec un total de 511 titres à retrouver chez vos libraires
La rentrée littéraire ne se passe pas qu'à Paris. Au Sénégal, l'écrivain Felwine Sarr, auteur de romans philosophiques, a racheté avec deux autres écrivains, Boubacar Boris Diop et Nafissatou Dia Diouf la librairie Athéna à Dakar. Ils ont lancé en juin 2013 la maison d’édition Jimsaan. Au menu de la rentrée, une réédition de La Plaie, de Malick Fall, et le premier roman autobiographique de Léonora Miano.
Valérie Trierweiler et François Hollande devaient se marier à Tulle, en décembre 2012, mais le président aurait annulé un mois avant la cérémonie.
L’année 2012 s’éteint et nous laisse de belles perspectives de relance de développement des activités dans le domaine de la culture. A l’orée de la nouvelle année, le grand challenge sera certainement de garder le bon cap afin de parvenir à la réalisation des projections déjà élaborées.
« 25 mars 2012: espoirs et déception d’un peuple », c’est l’intitulé d’un ouvrage à paraître sur la gouvernance de Macky Sall. Une publication de Mamadou Kany Bèye, président du Map.Ce n’est pas la rentrée littéraire au Sénégal mais plutôt politique. Dire que Le Mouvement d’alerte pour le peuple (Map) n’a pas perdu du temps. Alors que le Premier ministre Abdoul Mbaye s’apprête à consacrer ce 10 septembre à la traditionnelle déclaration de politique générale, le Map qui a déjà enfilé le manteau d’opposant, dresse un bilan mi-parcours du président Macky Sall dont les actes posés jusqu’ici sont diversement appréciés dans l’ouvrage à paraître, le premier sur le nouveau régime en place. Le « brulot » dont les date de publication et maison d’édition n’ont pas été communiquées, listera « les 33 dérives et manquements du président Macky Sall depuis l’avènement de l’alternance le 25 mars 2012 », a informé jeudi à Thiès, l'auteur Mamadou Kany Bèye, à la tête d’un mouvement qui se donne pour ambition d’occuper le « vide » laissé par Y en amarre et le M23 qu’il juge « plus proches du pouvoir que du peuple ». Information à lire dans le journal L'Observateur.
Dans un article-portait, le quotidien régional français, L'Alsace dresse la vie de l'écrivaine sénégalaise, Fatou Diome. Elle révèle qu'elle est une enfant issue hors-mariage. Fillette, au Sénégal, Fatou Diome faussait compagnie à sa grand-mère pour aller à l’école. Aujourd’hui, elle fait partie des écrivains les plus en vue en Alsace. La tentation est forte d’y voir un conte de fée. La petite Africaine qui fréquente l’école en cachette, fait des ménages en France et devient auteur à succès : il y aurait de quoi tourner un film… Mais la vie est plus nuancée qu’un conte hollywoodien
Look tendance, démarche stylée, maquillage de nova et ça le fait… Au premier abord, on sent nettement qu’elle est une fashion - victime. En deux temps, trois mouvements, elle vous plonge droit dans son univers littéraire et humanitaire. Il suffit juste de quelques minutes pour se rendre compte que Charlotte Seck, écrivaine sénégalaise de 23 ans, est une férue d’écriture, de mode et d’humanitaire. Le titre de son roman «Sa vie entre luxe et humanitaire», paru récemment aux éditions l’Harmattan, pourrait tout aussi la résumer. Découverte, d’une jolie demoiselle libre comme l’air…
Norah, Fanta, Khady... Trois histoires entre France et Sénégal, trois combats... Un événement littéraire tant par le style que par la force du propos. Elle est une écriture de soie froissée, précieuse et provocante, bâtissant un monde d’âmes murées. C’est son style. Elle hurle des chuchotements, elle chuchote des hurlements. La romancière Marie NDiaye compose une œuvre engagée sur une société désengagée. Lutte des classes, des origines, des âges, des sentiments. Affrontements entre riches et pauvres, parents et enfants. Ecrivain de la marginalité et de la normalité, de la bonté et de la cruauté. Elle dresse trois portraits de femmes. Elles ne sont rien socialement; elles sont tout humainement.
Les préoccupations du président de la République, décidément, voyagent comme les loumas du vendredi, tantôt au plateau, tantôt à la Gueule-tapée. Après les ministres qui parlent trop, l’ère est aux députés qui travaillent peu. C’est à croire que la sainte maxime « il faut travailler, toujours travailler, encore travailler », prononcée il y a sept ans, était tombée dans les oreilles d’un bouché.
