Le collectif des habitants du quartier Saré Guilel, communément appelé "Cité Charbon" de la commune de Tambacounda interpellent les plus hautes autorités en premier chef le Premier Ministre Ousmane Sonko et son ministre de l'Urbanisme.
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Le collectif des habitants du quartier Saré Guilel, communément appelé "Cité Charbon" de la commune de Tambacounda interpellent les plus hautes autorités en premier chef le Premier Ministre Ousmane Sonko et son ministre de l'Urbanisme.
Le village historique de Nder a vibré ce 7 mars 2025 au rythme de la commémoration de la bravoure de ses femmes, héroïnes d’un épisode tragique, mais symbolique de l’histoire sénégalaise.
« Nous avons marre de vivre sans électricité ni eau potable, de vivre dans l'insécurité et dans la peur, sans route goudronnée ! ».
L'accident routier le plus tragique de notre histoire est à la fois cause d'émoi, de stupeur, de vives émotions mais...
Privés d’électricité et d'eau potable, les habitants du village de Kamatan situé à sept kilomètres de la commune de Djilor Saloum dans le département de Foundiougne souffrent le martyr...
Accusée depuis quelques jours d'avoir reçu une importante somme d'argent, une villa et deux voitures de la mouvance présidentielle, la coordinatrice du...
Mais ce mal-vivre est accentué par les vols, agressions et délinquances.
La police scientifique a commencé à enquêter et a procédé à des prélèvements sur le terrain
Des conducteurs de "Waar gaïndé" ou taxis clandestins sont peu loquaces sur le sujet de cette voie routière qui relierait Dakar à Saint-Louis par la côte.
C'est L'Observateur qui donne la nouvelle dans sa parution de ce vendredi.
« Nous avons marre de vivre sans électricité ni eau potable, de vivre dans l'insécurité et dans la peur, sans route goudronnée ! ».
Si dans certaines localités du pays on se contente des bus, taxis ou véhicules de confort, à Linguère par contre des véhicules 4X4, non couverts et sur des quelles des branches d’arbres servent de sièges aux clients, assurent le transport rural. On les appelle ici le «Wopouya», qui signifie en langue poular : «laisse partir». Ces cercueils roulants provoquent pour la plupart des accidents mortels, même s’ils sont très utiles pour desservir le monde rural.
Un mort et plusieurs blessés ont été enregistrés en banlieue de Conakry lors de violents heurts entre forces de l'ordre et jeunes manifestants voulant observer la journée ville morte initiée par l'opposition guinéenne à Conakry, a appris APA lundi auprès des témoins.
Méconnu des Sénégalais, le Lac de Guiers est pourtant vital pour le pays. Principale source d'approvisionnement en eau potable de Dakar, il demeure un carrefour économique tant du point de vue de l'exploitation agricole, de l'élevage que d'autres activités, pour les 125 villages répertoriés qui vivent autour. Mais entre la préservation du lac au plan environnemental et les urgences auxquelles font face les populations, l'équilibre n'est pas facile à trouver. L'importance du Lac de Guiers vient ainsi poser la nécessité de protéger ce joyau naturel autour duquel gravitent plusieurs écosystèmes.
Méconnu des Sénégalais, le Lac de Guiers est pourtant vital pour le pays. Principale source d'approvisionnement en eau potable de Dakar, il demeure un carrefour économique tant du point de vue de l'exploitation agricole, de l'élevage que d'autres activités, pour les 125 villages répertoriés qui vivent autour. Mais entre la préservation du lac au plan environnemental et les urgences auxquelles font face les populations, l'équilibre n'est pas facile à trouver. L'importance du Lac de Guiers vient ainsi poser la nécessité de protéger ce joyau naturel autour duquel gravitent plusieurs écosystèmes.
La Casamance est une petite bande de terre qui porte le nom du fleuve majestueux qui la traverse. Elle est coincée entre l’océan atlantique, la Guinée-Bissau et la Gambie. La Casamance, c’est aussi le récit des gens qui y vivent. On y est fier de ses forêts luxuriantes et rivières majestueuses qui accordent au visiteur le sentiment de ne faire qu’un avec la nature. Mais du centre-ville de Ziguinchor aux plages de la basse-Casamance, les difficultés de la région préoccupent. Son économie est encore dominée par la pêche et l’agriculture. La Casamance est victime de sa réputation de « zone dangereuse ». Le secteur du tourisme y est moribond.
En face du quartier Mermoz se trouve un autre quartier aux antipodes des réalités de son voisin d’en face. Dans le quartier Vdn, il n’y a ni électricité, ni égout, et un seul point d’eau pour ravitailler des milliers de personnes y est noté. Ces populations ne vivent pas entre quatre murs, mais plutôt entre quatre tôles et des planches. Entre les ateliers de mécaniciens et de forgerons, des familles entières, livrées à elles-mêmes, vivent dans le dénuement total.
Constituées d’îles et de presqu’îles, la Petite Côte et les îles du Saloum subissent, depuis plus de deux décennies, les assauts répétés du grand bleu. Petit à petit, l’océan Atlantique dévore ces terres pendant que le gotha international cogite sur les conséquences du réchauffement climatique. Loin du sommet mondial de Copenhague, où les chefs d’Etat, les climatologues et les responsables des Ong intervenant dans la protection de l’environnement, réfléchissent aux conséquences du réchauffement et des changements climatiques sur la nature,
Le rallye auto, c’est son dada, même si elle reste et demeure une passionnée du football et aussi du rugby. Normal que l’entretien que Syndiély Wade a accordé au Quotidien soit consacré, en grande partie, à la course automobile, avec comme prétexte la 19e édition du rallye Aïcha des Gazelles. Un rallye raid 100% féminin, prévu du 18 au 29 mars 2009 sur le désert marocain, et que Syndiély connaît bien. Car, ce sera sa 4e participation, après les 10e, 3e et 5e places, obtenues respectivement en 2005, 2006 et 2008. Actualité oblige, avec la fille du président de la République, nous avons abordé l’affaire du stade Assane Diouf, les élections locales et le cas Farba Senghor. Au volant avec Syndiély…
Qu'est ce qui peut bien inciter une grande chaîne de télévision française à faire un documentaire sur un Sénégalais, en l’occurrence Cheikh Tall Dioum, celui-là même qu’un confrère a surnommé le Golden Boy ? Cette question nous a taraudés lorsque nous avons constaté qu’il venait de faire l'objet de la curiosité d'une télévision étrangère, et qu’en plus, il venait d'accorder une interview à un de nos confrères. Au point que nous avons décidé d’en savoir davantage sur l'homme. Nous avons donc, par le biais de son ami Dago, tenté de contacter ce grand agitateur d'idées. Après maints coups de téléphone, nous prenons rendez-vous avec M. Dioum qui, pour notre peine, se trouve dans sa ville natale, Louga, où il nous invite à venir le rencontrer. Voyage classique pour des reporters en compagnie de leur photographe et d'un chauffeur. Nous traversons Rufisque et ses embouteillages, Thiès et sa fameuse voie de contournement nord, Tivaouane la pieuse, Kébémer, ville natale du président Wade... Après plus de deux heures de route, voilà enfin Louga, la capitale du Ndiambour.