Depuis quelque temps, nous observons avec inquiétude un favoritisme flagrant, qui compromet l'équité et l'unité entre ASC
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Depuis quelque temps, nous observons avec inquiétude un favoritisme flagrant, qui compromet l'équité et l'unité entre ASC
La BPI France, Banque Publique d'Investissement, vient d'organiser ce 8 juillet 2025 à Dakar, à une semaine pile de la fête nationale française qui commémore l'historique '(R...)Évolution française' de 1789...
Les travailleurs des collectivités territoriales continuent leur grève, pour réclamer leurs droits liés à la revalorisation de leurs salaires, à la suite à la décision de l'ex-président Macky Sall d'augmenter les salaires dans la Fonction publique, durant son magistère.
Le professeur de droit public à l’Ucad, Alioune Sall livre, dans cette première partie, son commentaire de l’arrêt de la juridiction communautaire qui fait polémique entre l’Etat du Sénégal et les avocats de Karim Wade et Cie. L’auteur de La justice de l’intégration. Réflexions sur les institutions judiciaires de la Cedeao et de l’Uemoa (2011) est d’avis qu’en tant que membre de la Cedeao, «le Sénégal est doublement lié par les décisions rendues par la Cour». Une deuxième fois que notre pays est «en difficulté» devant la Cedeao, après l’affaire Habré, objet de son dernier ouvrage, prétexte de cet entretien. Pour le juriste, la non-exécution d’une décision de justice constitue, en principe, une violation du droit communautaire.
Très connu dans la région de Thiès, il s’est fait remarquer à Dakar par le style, révolutionnaire et audacieux, de ses émissions religieuses qui passent sur Sud FM et Sen TV. Aucun sujet n’est tabou pour Ibrahima Ndao, alias Iran. Au «daara» Serigne Babacar Sy à Tivavouane où nous l’avons trouvés, le prêcheur revient sur son parcours. De son enfance de mendiant, au ballon de football jusqu’à la chaine de télévision, Iran Ndao dit tout. Entretien.
Première sortie dans la presse, premiers mots sonnant comme un recentrage : « Les relations entre le Sénégal et la France n’ont jamais été tumultueuses ! » Son Excellence Nicolas Normand, nouvel ambassadeur de France dans notre pays, estime qu’il existe, entre amis, un devoir de vérité qui ne remet pas en cause la souveraineté de l’un ou de l’autre Etat en créant ou empruntant des réseaux d’influence occultes ou souterraines. Il existe aussi, par moments, des conséquences de ce qu’il appelle « un mélange de raison et de sentiments » qui annonce « beaucoup de passions et d’affectivité ».
Le très stratégique ministère des Affaires étrangère serait-il une « maison hantée » où les soupçons et les délations cohabitent avec la méfiance et la conspiration ? On serait tenté de répondre par l’affirmative à la lumière des « affaires louches » qui ont fini, de plus en plus, par rendre délétère l’atmosphère, sur fond d’accusations de favoritisme et de copinage. Après l’épisode des affectations qui a fait grincer beaucoup de dents, c’est autour d’une mystérieuse affaire de trafic de Cv qui pollue l’atmosphère à l’immeuble sis à la place de l’Indépendance. Les services de Cheikh Tidiane Gadio promettent d’ouvrir une enquête et de sévir de façon exemplaire contre les éventuels faussaires.
Landing Savané a-t-il transgressé l’interdit du khalife de Touba ? Hier lundi, au quartier « Xayra » de Touba, le leader de Aj/Pads s’est permis de tenir une manifestation politique. La première du genre depuis l’interdiction, sinon la fatwa du saint homme. La manifestation avait pour cadre le domicile de Serigne Modou Bousso Dieng. Cette rencontre qui se tenait incognito a été malheureusement repérée par les autorités de Touba qui sont allées se plaindre auprès du khalife. Le marabout Serigne Modou Bousso Dieng qui se dit souteneur de Idy voulait organiser cette rencontre à l’insu des responsables du Msis à Touba.
Talla Sylla, le leader de l’Alliance Jëf-Jël avait signé, dimanche dernier, un retour fracassant sur la scène politique nationale, après quelques mois d’hibernation. Il est revenu avec comme arme la résistance active mais pacifique pour faire face à ce qu’il appelle le coup d’Etat permanent que commet le régime actuel, selon ses propres intérêts, des intérêts familiaux confondus à ceux de l’Etat. Talla Sylla fustige avec véhémence la prorogation illégale du mandat des députés, l’instrumentalisation de la Justice sur des dossiers comme dans celui des Chantiers de Thiès. Talla Sylla a concocté un nouveau Plan, le Plan Njacaar, pour contrecarrer celui de Ndiombor, faisant ainsi allusion au sobriquet collé au Président Wade.