L’ancienne candidate socialiste à la présidentielle de 2007 Ségolène Royal a estimé mercredi qu’”aujourd’hui, il est évident que le vote utile à gauche, c’est le vote Mélenchon”, le chef de la France insoumise...
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L’ancienne candidate socialiste à la présidentielle de 2007 Ségolène Royal a estimé mercredi qu’”aujourd’hui, il est évident que le vote utile à gauche, c’est le vote Mélenchon”, le chef de la France insoumise...
Elle sera la représentante spéciale du gouvernement français
L'ancienne ministre de l'Écologie Ségolène Royal a annoncé vendredi qu'elle ne serait pas candidate aux européennes de mai 2019, le rassemblement de la gauche n'ayant pas été possible. "Je ne serai pas sur une liste", a affirmé Mme Royal sur France Inter, tout en assurant qu'elle serait "présente dans le débat européen". Elle avait annoncé à l'automne réfléchir à l'hypothèse d'une candidature à la tête d'une liste dépassant l'appareil socialiste, précisant qu'elle donnerait sa réponse en janvier.
Favori de la Primaire de la gauche française, Benoît Hamon a passé une partie de son enfance au Sénégal. Élève au Cours Sainte-Marie de Hann, du CE2 à la 5e, il a vécu dans cet établissement dakarois « dans un contexte où le religieux se mixait à la diversité sociale ». Explication du caractère généreux de son programme de campagne??
La ministre française de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie, Ségolène Royal, et le vice-président de la Commission européenne, en charge de l’Union énergétique, Maroš Šef?ovi?, sont attendus à Dakar, lundi, "pour une mission d’information et d’échanges", annonce un communiqué.
Les principales négociations sont terminées. Quarante-deux heures après sa nomination à Matignon,Manuel Valls a livré à François Hollande la liste de son gouvernement. Le président de la République l'a validée et a fait annoncer les noms par le secrétaire général de l'Elysée, Pierre-René Lemas.
Le dernier homme de gauche à avoir dirigé la France s'appelait aussi François. Dix-sept ans après que Mitterrand a tiré sa révérence, la cinquième puissance mondiale bascule à gauche. Ereintée par 5 ans de Sarkozie vainement hyperactive. Offusquée par son indécence. Essorée par 5 ans de crise économique qui ont fini de détricoter le tissu industriel du pays. En 2012, l'Hexagone, à rebours du reste de l'Europe dominé par des dirigeants libéraux, a voté pour le socialisme. Portrait.
Ousmane Tanor Dieng Sur La Visite De Ségolène Royale à Dakar
Une forte délégation du parti socialiste français conduite par Ségolène Royale rendra visite à Ousmane Tanor Dieng au lendemain de son investiture. Mme Royal vient ainsi e’apporter le soutien du parti socialiste français à celui du Sénégal. Comme en 2007 même si, cette année, Mme Royale n’est pas candidate à la présidentielle française renseigne le quotidien "Direct infos"
Elle est française, mais n’oublie pas sa terre natale. Ségolène Royal pour ne pas la nommer évoque son amour pour le Sénégal quand l’occasion lui est offerte.
Plusieurs leaders politiques venus du monde entier prendront part à la 11e édition du Forum social mondial, qui se tient à Dakar du 6 au 11 février 2011. L’annonce a été faite par le comité d’organisateur lors d’un atelier de partage avec les médias sénégalais.
La dernière université d’été du Parti socialiste a vu la participation de plusieurs anciens socialistes qui avaient quitté le parti. Certains ont même manifesté le souhait de revenir au bercail. Ce n’est pas le cas de Souty Touré. Cet ancien ministre de la Décentralisation, puis de l’Environnement sous Abdou Diouf croit qu’il détient le parti socialiste authentique. D’ailleurs, c’est le nom de son parti. Depuis qu’il a rompu les amarres avec Oumane Tanor Dieng et ses camarades, il fait son bonhomme de chemin. Avec beaucoup de prudence. C’est pourquoi il s’est gardé de boycotter les législatives de 2007. Devenu député, puis sénateur, Souty Touré avoue que s’il devait retourner au Ps, ce serait sur des bases claires.
« Quelqu’un est venu ici vous dire que “l’homme africain n’est pas entré dans l’histoire”. Pardon pour ces paroles humiliantes et qui n’auraient jamais dû être prononcées, et qui n’engagent pas la France. Car vous aussi, vous avez fait l’histoire, vous l’avez faite bien avant la colonisation, vous l’avez faite pendant, et vous la faites depuis. ». Ces propos de Mme Ségolène Royal, en visite à Dakar, et répondant au Président Sarkozy, sont bien appréciés par le Coordonnateur de l’ouvrage « L’Afrique répond à Sarkozy », le Pr Makhily Gassama.
Senghor l'avait envoyé au camp militaire de Dodji pour punition, Diouf le conduit à l'hémicycle pour "participation responsable", Wade l'amène à la retraite pour fidélité...C'est en résumé le parcours sinueux d'un vieux routier appelé Madia Diop. L'un des derniers mohicans du Ps, qui a coupé finalement les amarres avec Ousmane Tanor Dieng, revient dans cet entretien sur la fronde qu'il a menée contre le successeur de d'Abdou Diouf... Etes-vous comblé par votre carrière de syndicaliste ?Madia Diop: Je pense bien que j'ai atteint le sommet de ma carrière ;
Il y a deux semaines, deux brillants journalistes, Jacques Julliard et Jean Daniel, tous deux du Nouvel Observateur, ont pris une position courageuse, en appelant à voter contre Nicolas Sarkozy, pour Ségolène Royale. Là-bas, on s’est émancipé du complexe de l’objectivité journalistique, qui veut qu’on n’appelle pas un mal un mal. Prendre position quand la situation l’exige relève d’un impératif catégorique. Dans notre pays, une telle attitude aurait fait scandale. Dans l’euphorie de la victoire, les wadistes ont mêlé à leurs appels au meurtre analystes politiques et intellectuels, tous coupables d’avoir prédit la défaite de leur chef. C’est déjà un mal de le « souhaiter », un crime de le proclamer.
La candidate socialiste à la présidentielle française, Mme Ségolène Royal classée seconde à l’issue du scrutin de ce dimanche derrière Nicolas Sarkozy qu’elle affrontera au second tour, l’emporte largement au Sénégal. Elle est passée largement en tête au Sénégal, devançant largement son principal adversaire Nicolas Sarkozy, mais également François Bayrou. Ségolène Royal obtient 43% des votes, suivie de Nicolas Sarkozy 32% et de François Bayrou 16,5%. Pour sa grande majorité, la communauté française vivant au Sénégal a donc choisi de voter pour la candidate socialiste. Pourtant certains craignaient avant la tenue du scrutin, de voir se répéter ce qui s’était passé lors de l’élection présidentielle française de 2002 où la majorité des ressortissants de ce pays avaient voté en faveur du candidat de l’extrême droite, Jean Marie Le Pen.
Nicolas Sarkozy est arrivé en tête du premier tour de l'élection présidentielle en France, avec un peu plus de 29% des voix, suivi Ségolène Royale, 26,3%. François Bayrou, surprise attendue de cette élection, réalise 18%, un peu moins que les 23% dont il était crédité par les sondages quelques jours avant l'élection. On célèbre déjà cette victoire dans le camp de l'UMP, celui de sarkozy, qui prononstiquait 30%. Cette élection a battu des records de participation pour les deux précédentes élections. C'est la première fois dans l'histoire de la droite française et du centre qu'un candidat obtient un tel résultat au premier tour.
De l'indépendance à nos jours, les femmes ont incontestablement joué un rôle assez important dans les partis politiques. Confinées hier au rôle « d'applaudisseurs » voire d'animatrices des manifestations politiques, elles se logeront d'abord au Parlement avant d'intégrer, toujours sous Léopold Sédar Senghor, le gouvernement. Sous le magistère du successeur du premier président du Sénégal indépendant, Abdou Diouf, elles prétendront à l'exercice des affaires. Sous Me Abdoulaye Wade, Mame Madior Boye dirigera l'exécutif. Pour cette présente campagne présidentielle, leur cercle s'élargit autour de bien des candidats.
Parmi les 100 propositions faîtes dimanche par Ségolène Royal aux électeurs français, à travers son « Pacte présidentiel », certaines intéressent les Africains et la diaspora. La candidate socialiste prévoit la création d’un visa à entrées multiples, la réforme du Ceseda, la création d’une « police de quartier » ou encore l’enseignement de l’esclavage dans les ouvrages scolaires. Ségolène Royal brise le silence. La candidate socialiste à la présidentielle française a dévoilé dimanche son « Pacte présidentiel » devant près de 15 000 militants réunis à Villepinte, dans la banlieue nord de Paris.
Dans cet entretien, le journaliste-politologue analyse la question de la candidature unique ou plurielle de la coalition populaire pour l’alternative. Pour lui, la Cpa porte les germes de sa dislocation. Mais malgré tout, Moustapha Niasse présente plus d’atouts que les autres leaders pour porter la candidature de la Cpa. Que pensez-vous du débat autour de la candidature unique ou plurielle qui agite la Cpa depuis quelque temps ? A mon avis, la Cpa qui porte mal son nom, est plutôt la coalition de la profusion des ambitions. La Cpa porte dans son sein les germes de sa dislocation. Dans la galaxie de l’opposition des vaincus d’hier, en l’occurrence les socialistes, se retrouvent les co-vainqueurs d’hier en l’occurrence les progressistes et les militants de la ligue démocratique (Ld).