Le collectif des habitants de la cité Famara Ibrahima Sagna de Thiaroye-sur-Mer a tenu une conférence de presse pour réaffirmer leur détermination à obtenir la délocalisation définitive de l'usine Indorama.
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Le collectif des habitants de la cité Famara Ibrahima Sagna de Thiaroye-sur-Mer a tenu une conférence de presse pour réaffirmer leur détermination à obtenir la délocalisation définitive de l'usine Indorama.
Le président de la République Bassirou Diomaye Faye a réitéré sa volonté de faire baisser les prix des denrées de premières nécessités.
Nommée dans la foulée secrétaire générale de la FIFA, en 2016, lors du 66e Congrès de la Fédération
Une 16e journée des Tirailleurs en hommage au Pr Iba Der Thiam
18 ans après le naufrage du Joola, l'homo-senegalensis ne cesse de tenter le diable par des comportements aux antipodes des normes de sécurité publique
17 ans après le naufrage du Joola, l'homo-senegalensis ne cesse de...
Le Président de la République son Excellence Monsieur Macky SALL a présidé ce mercredi 22 MAI 2019, le Conseil des ministres.
De graves risques guettent les populations de Thiaroye.
Selon des informations révélées par Libération, les autorités sénégalaises ont décidé de fermer définitivement la société Senchim pour des raisons de sécurité. Cette dernière s'occupait jusque-là, entre autre, à commercialiser les produits des industries chimiques du Sénégal.
La société Senchim, sise au Km 13, route de Rufisque, à Thiaroye sur mer, a fermé ses portes, sur décision des autorités, conformément aux dispositions du Code de l'Environnement, informe “Libération”. Les autorités ont invoqué des raisons de sécurité pour prendre une telle mesure. Mesure prise à la suite d'une mission de l'Inspection générale d'Etat (Ige).
Noyées dans une crise aiguë depuis plusieurs années, les Industries chimiques du Sénégal commencent à sortir la tête de l’Eau. En effet, depuis l’arrivée du repreneur Indorama, en 2014, ce mastodonte du tissu industriel sénégalais a repris un nouveau souffle. Mais, avant, la situation des Ics était catastrophique. Et le chef de l’Etat ne s’en est pas caché.
La nouvelle centrale électrique des Industries chimiques du Sénégal (Ics) a été inaugurée ce vendredi. De 20 Mw, elle a été conçue pour 22 milliards de francs Cfa par Indorama, le repreneur des Ics, dans l’optique de rendre leur usine totalement autonome sur le plan énergétique. Mais, l’entreprise qui n’aura pas besoin de la totalité des 20 Mw pour sa consommation personnelle, injectera une partie de la production de la centrale dans le réseau de la Senelec, avec qui elle a signé un contrat de cession.
La Sénégalaise Fatma Samoura, 54 ans, jusque-là agent de l’ONU, est chargée de redorer le blason de la FIFA. Mais qui est vraiment la nouvelle secrétaire générale de l’instance mondiale de gestion du football? Portrait.
L’agriculture constitue, au Sénégal, la principale activité économique, en milieu rural, et occupe plus de 65% de la population active. Malgré ses potentialités, elle tarde à décoller du fait de nombreux problèmes structurels et conjoncturels.
Certains candidats n’ont pas besoin d’être présentés aux Sénégalais. Ils sont connus pour avoir été plusieurs fois candidats à cette compétition ou pour s’être fait un autre dans un domaine autre que la politique. Walf Quotidien vous fait découvrir les candidats à la magistrature suprême. Le futur locataire du Palais de l’avenue Roume est parmi ces quinze personnalités classées ici par ordre alphabétique de leur (s) prénom(s).
Le président de la République, Me Abdoulaye Wade, a manifesté ‘sa volonté’ de procéder à la privatisation de la Senchim (Sénégal Chimie) en cédant des parts de l’Etat, majoritaire, au secteur privé, a appris l’Aps de source officielle.
Le Conseil des Ministres s’est réuni le jeudi 06 janvier 2011, à partir de 10 heures, au Palais de la République, sous la présidence de Son Excellence Maître Abdoulaye WADE, Président de la République.
Faute d’investissement, le géant de l’industrie sénégalaise, pour dire les Industries chimiques du Sénégal (ICS), bat de l’aile. Sa capacité de production atteint difficilement 400 000 tonnes l’an, depuis 2007, alors que sa capacité potentielle tourne autour de 600 000 tonnes par an. Ce qui fera dire au secrétaire général du syndicat des ICS, Bougouma Thiobane, que les ICS ont besoin, pour tourner en plein régime, d’un investissement de l’ordre de 100 milliards alors que seuls 35 milliards de francs Cfa sont jusque là, injectés. Ce qui fait qu’à cette date, les sites des ICS Mbao et de Senchim sont aux arrêts techniques.
Neuf mois après le lancement de la recapitalisation des Ics, la boîte semble ressortir la tête du soufre dans lequel elle était enfoncée. Déjà au mois de septembre dernier, c’est un bénéfice de 15 milliards de FCfa, qui pourrait évoluer à 20 milliards, que les Industries chimiques du Sénégal auraient réalisé et les perspectives s’annoncent heureuses. Par les temps qui courent, les bonnes nouvelles ne sont pas flores. Aussi, lorsqu’on sait dans quels méandres abyssales de la mal gouvernance l’ancien fleuron industriel, les Industries chimiques du Sénégal (Ics) étaient empêtrées, on ne peut qu’apprécier positivement l’évolution de la situation de l’entreprise (même s’il faut souhaiter qu’elle garde ainsi le cap)
La société des Industries chimiques du Sénégal (Ics) bénéficie depuis hier, jeudi 27 mars d’un concordat qui devrait lui permettre de mettre en application son plan de restructuration et de « renaissance ». Un plan, fruit d’un business plan proposé par le repreneur stratégique « Indian Farmer Fertiliser cooperative limited » (IFFCO) qui n’avait que jusqu’au 31 mars prochain pour être appliqué ou être caduque. Si principalement le pool bancaire ne s’inscrit pas contre la décision du tribunal en faisant appel à la prononciation du concordat, les Ics et le Sénégal peuvent pousser un ouf de soulagement. L’épilogue ?