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Mardi, dans un média, des accusations ont été faites à la SOMIVA (Société minière de la Vallée du Fleuve Sénégal), concernant un rapport interne de la Douane qui aurait fuité.
Les travailleurs de la Société d'études et de réalisation des phosphates de Matam (SERPM) sont sortis dans la rue, pour manifester leur mécontentement contre la fermeture de la petite mine...
Le Ministère des Mines et de la Géologie tient à apporter les précisions, d’une part, sur la concession minière de Matam...
Malgré tout, le préfet de Matam avait menacé de fermer la petite mine avant de franchir le pas le 17 août.
On n’a pas fini de parler de la petite mine de phosphates de Ndendory.
![[Vidéo] "Arriérés de salaire à la SERPM" : Les employés de Cheikh Amar démentent et annoncent une plainte](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//9f61be539e5544a70e2415349c856fa3817dea4f.jpg)
Des jeunes en brassards rouges, se présentant comme des employés du site d’exploitation de phosphates de Cheikh Amar, ont récemment fait une sortie médiatique pour dénoncer 32 mois d'arriérés de salaire...
Les travailleurs de la Société d’études et de réalisation des phosphates de Matam sont en poste. Les personnes filmées ce samedi par la TFM en train de manifester pour, disent-elles, réclamer des arriérés de salaires, sont «inconnues de la direction de la mine».
La justice avait tranché, mais le préfet de Kanel est en passe d’ouvrir une autre manche judiciaire qui risque de faire beaucoup de dégâts
Face aux services de Oumar Sarr, qui semblent continuer d’ignorer le décret présidentiel et la décision de la Cour suprême
La Cour suprême a suspendu la décision. Remettant en cause sa légalité et considérant qu’elle porte préjudice «de manière suffisamment grave et immédiate à un intérêt public».
Les travailleurs de la Société d'études et de réalisation des phosphates de Matam (SERPM) sont sortis dans la rue, pour manifester leur mécontentement contre la fermeture de la petite mine...
Des jeunes en brassards rouges, se présentant comme des employés du site d’exploitation de phosphates de Cheikh Amar, ont récemment fait une sortie médiatique pour dénoncer 32 mois d'arriérés de salaire...
Les travailleurs de la Société d’études et de réalisation des phosphates de Matam sont en poste. Les personnes filmées ce samedi par la TFM en train de manifester pour, disent-elles, réclamer des arriérés de salaires, sont «inconnues de la direction de la mine».
La justice avait tranché, mais le préfet de Kanel est en passe d’ouvrir une autre manche judiciaire qui risque de faire beaucoup de dégâts
Après la formation d'un nouveau gouvernement intervenu, lundi dernier, le président de la République, Macky Sall, a commis un décret, en date du 04 septembre 2013, portant répartition des services de l'Etat entre la Présidence de la République, la Primature et les ministères. Nous vous en proposons les grandes lignes.
Au moment où la presse annonçait que le chiffre d’affaires de sa holding passait de 42 milliards à 92 milliards -et cela, en moins deux de deux ans-, Cheikh Amar était à Paris en train de finaliser des projets avec ses partenaires. Dans moins d’un mois, il apportera 500 millions d’euros au Sénégal et fera progresser l’exploitation des phosphates de Ndendory (Matam)...
![[ VIDEO ] EN VISITE A MATAM : Wade flingue Senghor et Diouf puis encense Cheikh Amar](/sites/seneweb-com/v9/img/posts/content-horizontal/1.webp)
Des gouvernements se sont succédé depuis l'Indépendance, mais aucun d'entre eux n'a pensé exploiter les phosphates de Matam qui «aurait pu déjà propulser son développement depuis fort longtemps». Mais «Dieu est juste», dira le Président Wade, inaugurant, hier, l'usine des Phosphates de Ndendouri Ouali-Diala de la région de Matam, non sans déclarer que ces gisements ont été cachés par le Tout-Puissant «aux prédateurs» qui l'ont précédé à la tête de l'Etat. En inaugurant la première usine de granulation des phosphates de la région de Matam, le président de la République, Me Abdoulaye Wade, n'a pas manqué de «taquiner» ses prédécesseurs à la tête de l'Etat.
Ndendory (Matam), 20 jan (APS) – Le président de la République, Abdoulaye Wade, a fait part de son ‘’attachement continu’’ et de sa ‘‘grande sollicitude’’ pour la région de Matam où il venait d’inaugurer, mercredi à Ndendory (750 km de Dakar), l’usine de granulation des phosphates de Matam. Les travaux de recherche des phosphates de Matam ont commencé en 1936 sous la houlette de J. Jacquet. Les indices ont été confirmés plus tard, et les premières prospections effectuées en 1965-66. D’une superficie de 9 km2, le gisement est estimé à 40, 5 millions de tonnes. Il est délimité par Ndendory, Hamady Hounaré, Wendou Bossayabé, Waly Diala et Polel Awloubé.
C’est ce matin que le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, inaugure l’unité industrielle de granulation des phosphates de Ndendouri, village situé à 750 km de Dakar et 460 km de Saint-Louis. Les réserves de ces deux gisements sont évalués à 40,5 millions de tonnes d’une teneur de 28%. Avec la mise en service de cette unité, les spécialistes s’attendent à une explosion de nos productions agricoles qui seront décuplées par cet engrais biologique. En attestent les résultats enregistrés par l’an II de la Goana. Le gisement de Ndendouri Ouali-Diala, communément appelé « Phosphates de Matam », se situe dans l’arrondissement de Orkadiéré, département de Kanel.
Les phosphates de Matam n'ont pas encore fini de révéler toutes leurs facettes. Après le démenti du ministre de l'Energie et des Mines, Me Madické Niang, dans les colonnes du quotidien L'As, Jérôme Godart a réagi pour apporter, lui aussi, sa part de vérité dans la cession des phosphates de Matam. Même s'il déclare ne pas avoir lu la réaction du ministre de l'Energie et des Mines (voir L'As du lundi 12 février dernier), Jérôme Godart se dit très choqué par la réaction de Me Madické Niang. Joint, hier, par téléphone, l'homme d'affaires français n'y est pas allé par le dos de la cuillère pour dénoncer la sortie du ministre
