La jeune Shamima Begum, partie rejoindre le groupe Etat islamique en Syrie en 2015, a dénoncé mercredi la décision du ministre britannique de l'Intérieur de la déchoir de sa nationalité, la jeune femme pouvant selon lui en obtenir une autre. Son cas illustre le dilemme auquel sont confrontés plusieurs gouvernements européens, entre interdire le retour de leurs ressortissants jihadistes pour des questions de sécurité, ou leur permettre de revenir pour les traduire en justice.
il y a 6 ans
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