La cour d’assises de Paris a condamné vendredi deux ex-skinheads à 11 et 7 ans de prison et en a acquitté un autre pour la mort de Clément Méric, jeune militant antifasciste, survenue en 2013 lors d’une rixe à Paris.
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La cour d’assises de Paris a condamné vendredi deux ex-skinheads à 11 et 7 ans de prison et en a acquitté un autre pour la mort de Clément Méric, jeune militant antifasciste, survenue en 2013 lors d’une rixe à Paris.
Trois ex-“skinheads” comparaissent à partir de mardi devant la cour d’assises de Paris pour répondre de la mort, il y a cinq ans, du jeune militant antifasciste Clément Méric, qui a alors entraîné la dissolution de groupuscules d’extrême droite. Les principaux accusés, Esteban Morillo, agent de sécurité, et Samuel Dufour, boulanger, 25 ans tous les deux, sont jugés pour coups mortels aggravés, précise l’accusation
Phénomène marginal surmédiatisé ou réelle radicalisation des idées? Depuis plusieurs mois, les journaux italiens se déchirent sur l'importance à accorder à cette résurgence de manifestations, de violences voire de comportements "fascisants" à travers le pays, commente Le Courrier international.
Il aurait eu 39 ans en 2017. Il s’appelait Samba Lampsar Sall et a été tué à l’âge de 28 ans. Onze ans après sa mort, la condamnation de ses 14 assassins apparaît comme le symbole d’une lutte anti raciste en Russie où les Africains vivent dans l’oppression.
« Je ne suis pas Charlie » : la phrase était inscrite sur le colis suspect trouvé, ce vendredi 9 janvier, dans la salle des professeurs du lycée Paul-Eluard de Saint-Denis. « Il n'y avait pas de bombe, mais des câbles et un détonateur », soufflent Maryam et Marie-Hélène, deux élèves de 1re, à la sortie des cours, encore chamboulées par « cette semaine de fous ».
Les Africains de Moscou soutiendraient-ils les velléités de rattachement de la Crimée à la Russie ? La question se pose après qu’une photo a fait le tour des réseaux sociaux : on y voit deux jeunes hommes noirs dans une manifestation organisée vendredi dernier par le parti au pouvoir, Russie unie, en soutien aux russophones de Crimée. Estimant très peu probable que des Noirs prennent part spontanément à une manifestation en Russie, des Africains vivant à Moscou s’interrogent sur les raisons de leur participation.
Trois hommes ont été mis en examen, mercredi, pour une bagarre au centre-ville de Metz, au cours de laquelle une victime a reçu un coup de couteau.
Un militant d'extrême gauche de 19 ans se trouvait mercredi soir en état de mort cérébrale à la suite d'une agression "à connotation politique" commise en plein coeur de Paris par des skinheads.L'agression perpétrée vers 18 heures a été annoncée dans un communiqué par le Parti d'un Gauche affirmant que "l'horreur fasciste vient de tuer en plein Paris".
Quatorze jeunes russes d’extrême droite comparaîtront, à partir de lundi prochain, devant la Cour d’assises de Saint-Pétersbourg pour répondre de l’assassinat de Samba Lampsar Sall, un jeune étudiant sénégalais en télécommunications tué, le vendredi 7 avril 2006, dans cette ville située dans le nord-ouest de la Russie. Sur le banc des accusés, le skinhead qui l’a abattu d’une balle dans la tête. Trois ans après l’assassinat à Saint-Pétersbourg de l’étudiant sénégalais en télécommunications, Samba Lampsar Sall, ses meurtriers passent en jugement.
Les Africains vivant en Belgique ne sont pas contents. Et ils l’ont manifesté hier. Ils étaient en effet plus de mille deux cents manifestants, selon les derniers chiffres de la police, cinq mille selon les organisateurs à s’être donnés rendez-vous à la place Madou à Saint-Josse devant le siège du Vlaams Belang, dont l’entrée avait été barricadée par les forces de l’ordre. Les manifestants voulaient rendre hommage aux deux victimes tuées jeudi à Anvers par un jeune homme dont des membres de la famille sont des sympathisants et des membres du VB. Ils entendaient également dénoncer la dangerosité de la politique de ce parti d’extrême droite. "Le Vlaams Belang tue" pouvait-on lire sur un calicot. Aucune demande de manifestation n’avait été sollicitée. Les participants avaient été avisés de la date et de l’heure par textos envoyés en chaînes. Un important dispositif de sécurité était assurée par les polices des zones de Bruxelles-Nord et de Bruxelles-Ixelles ainsi que fédérale.
Le gouvernement du Sénégal a condamné samedi l'assassinat vendredi d'un étudiant sénégalais, Samba Lampsar Sall, dans la ville russe de Saint-Pétersbourg, et exigé une punition des auteurs du crime, indique un communiqué officiel. "Le gouvernement du Sénégal condamne avec force cet acte criminel qui serait le fait de groupe d'obédience raciste", note le texte signé du ministère sénégalais des Affaires étrangères. Le Sénégal "exige que toute la lumière soit faite sur cette affaire et que les auteurs de ce crime soient recherchés, poursuivis et sévèrement sanctionnés".
Un étudiant sénégalais a été tué vendredi matin en pleine rue à Saint-Pétersbourg par des inconnus munis d'un fusil à pompe ornée d'une croix gammée. Nouvel épisode d'une longue série d'agressions et de meurtres racistes contre les étrangers dans la deuxième ville de Russie. « La Patrouille blanche », une organisation raciste, a salué le crime comme participant d’une opération de nettoyage. Samba Lamsar, un étudiant en télécommunication, originaire du Sénégal, a été tué d'une balle dans la tête alors qu'il sortait, avec un groupe d'Africains, du club Apollo, une boîte de nuit où était organisée une fête estudiantine. [Video]
Un étudiant sénégalais a été tué vendredi matin en pleine rue par des inconnus munis d'un fusil à pompe ornée d'une croix gammée. Un nouvel épisode dans la série d'agressions racistes qui frappe la deuxième ville de Russie. Samba Lampsar Sall, un étudiant en télécommunications originaire du Sénégal, a été tué d'une balle dans la tête alors qu'il sortait d’une boîte de nuit où était organisée une fête estudiantine. Les policiers ont indiqué avoir retrouvé l'arme présumée du crime: un fusil à pompe orné d'une croix gammée. « En raison de l'absence apparente de raison pour ce crime, nous considérons que le mobile est la haine raciale », déclaré le vice-procureur de Saint-Pétersbourg.