Calendar icon
Friday 10 October, 2025
Weather icon
á Dakar
Close icon
Se connecter

Le Grand Moufti de Palestine en Visite à Touba ce Samedi, Voici les images

Auteur: Seneweb News

image

Le Grand Moufti de Palestine en Visite à Touba ce Samedi, Voici les images

Le Grand Moufti de Palestine en Visite à Touba ce Samedi, Voici les images
Auteur: Seneweb News
Publié le: Dimanche 01 Décembre 2019

Commentaires (21)

  • image
    il y a 5 ans

    Amna solo ci Islam

  • image
    il y a 5 ans

    Quand un imbécile ('le Mufti ) rend visite aux crétins de Touba .....

  • image
    reply_author il y a 5 ans

    Tu es aigri

  • image
    il y a 5 ans

    Quand un imbécile ('le Mufti ) rend visite aux crétins de Touba .....

  • image
    il y a 5 ans

    CHRISTIAN PRINCE SUR YOUTUBE VOUS ECLAIRE SUR L'ISLAM

  • image
    il y a 5 ans

    CHRISTIAN PRINCE SUR YOUTUBE VOUS ECLAIRE SUR L'ISLAM

  • image
    SALAM il y a 5 ans

    SALAMUL ALEYKUM, QUE LA PAIX D’ALLAH SWT SOIT AVEC VOUS TOUS.

  • image
    JAMAL HAIDARA il y a 5 ans

    Concernant les daras, je pense que le gouvernement doit imperativement forcer les maitres coraniques a suivre un cursis pedagogique base sur l enseignement du saint Coran avant d’etre titularise comme enseignants Coraniques. Ceci reste valable pour tous les secteurs de l’enseignement. Cette strategie pourrait non seulement proteger les enfants des daras mais aussi faciliter leur surveillance par les authoritees. Ceux qui essayeront de creer leur propres daras sans l’aval de l’etat seront juges and sanctionnes.

  • image
    il y a 5 ans

    Moi je m'en fou du moufti de palestine,je supporte israel,vive tsahal,vive l'armee israelienne et ses generaux!!!
    Je suis senegalais et musulman et je supporte israel qui va casser la gueule a tous les arabes en meme temps,djeureudieuf israel.

  • image
    il y a 5 ans

    Hil ferait mieux à resté chez cette imbécile. Et hipochrite qui le reçois

  • image
    il y a 5 ans

    serigne touba moyy senegal

  • image
    il y a 5 ans

    Il est allé à Kaolack chez cheikhal islam avant d'aller à tout bas pourquoi vous ne parlez pas

  • image
    il y a 5 ans

    Ok le mufti etait a kaolack cest beaux il est parti a touba aussi cest pour ce la Les senegalaise doit gorgorlou

  • image
    ibra il y a 5 ans

    Salam, le moufti a été d´abord a medina Baye avec une revision de l´engagemenr de Cheikhal Islam pour la cause palestinienne, Seneweb nén a pas parlé, a ce que je sache !
    Bien des choses
    Gracias

  • image
    il y a 5 ans

    NE SUPPRIMEZ PAS CE COMMENTAIRE ENVOY2 IL Y A MOINS DE 30 MN PUIS SUPPRIME !!! LAISSEZ LES GENS S EXPRIMER BANDE DE CONNARDS DE CENSEURS iiiiii

  • image
    il y a 5 ans

    Hana al-Khamri – Comme les autres années, les séries télévisées lors du Ramadan de cette année ont exposé des scènes d’un racisme grossier à l’encontre des Afro/Arabes noirs.
    Pendant le mois sacré du Ramadan, les musulmans sont censés s’abstenir de nourriture, de boissons, de tabac, d’activité sexuelle et de langage vulgaire. Naturellement, au cours de ce mois, les diffuseurs de télévision dans le monde arabe ont tendance à changer leur programmation et à promouvoir un contenu ciblant le public familial.

    Pourtant, année après année, la moquerie raciste et le vocabulaire injurieux à l’égard des Afro-Arabes noirs et des migrants noirs africains, s’invitent sur les écrans de télévision de millions de familles arabes rassemblées pour jouir des séries télévisées produites spécialement pour le Ramadan.

    Le contenu des télévisions du Ramadan de cette année n’a pas « déçu » à cet égard.

    La série comique égyptienne « Azmi wa Ashgan » (Azmi et Ashgan), créée par le producteur égyptien à scandale Ahmed el-Sobki, a présenté ses principaux acteurs grimés en noir à plusieurs reprises tout au long de la série, utilisant un langage raciste à l’égard des Noirs et les représentant comme des serviteurs qui parlent un arabe hésitant et pratiquent la sorcellerie.

    La série de comédie koweïtienne « Block Ghashmara » (Le bloc de blagues), de son côté, a consacré tout un épisode à des acteurs grimés en noir dépeignant les Soudanais comme des paresseux et des cyniques.

    Malgré l’indignation sur les médias sociaux, les équipes de tournage à l’origine de ces séries TV se sont défendues.

    Ahmed Mohy, le scénariste de « Azmi we Ashgan », a minimisé les insultes racistes dans son émission, disant sur Twitter que « [l’équipe] ne vise pas à insulter une partie du peuple égyptien, parce que nous sommes un seul peuple ».

    Sur Instagram, l’acteur koweïtien Hassan al-Ballam, vedette de l’épisode controversé du Block Ghashmara, s’est excusé, mais a déclaré que les critiques contre lui étaient exagérées et qu’il avait été « mal compris ».

    Cependant, ces échanges et ces critiques se sont limités aux médias sociaux et comme par le passé, n’ont pas permis de mener une discussion plus large à l’échelle de la société. Cela n’est guère surprenant étant donné que le racisme dans la culture populaire arabe et dans le cinéma arabe, en particulier est omniprésent, et il semble y avoir peu d’intérêt pour la société arabe à vouloir changer cela.

    Les troupes racistes du cinéma arabe
    « Pourquoi éteignez-vous la lumière? Vous êtes déjà sombres par nature », dit le personnage principal à une prostituée noire dans le film égyptien de 1998, Sa’eedi fil gamaa el amrekeia (Un Égyptien supérieur à l’Université américaine).

    « Y a-t-il une coupure de courant ou quoi? » – dit un personnage principal lorsqu’il voit un groupe de Noirs sortir d’une boîte de nuit dans le film égyptien de 2001, Africano.

    « Est-ce que quelqu’un a brûlé cet appartement avant ou quoi? » – disent en riant trois des personnages du film égyptien 2005, Eyal Habiba (les enfants de Habiba), alors qu’ils regardent un mur de photos de famille dans l’appartement d’un Soudanais (joué par un Arabe grimé en noir).

    Ce ne sont là que quelques exemples du langage raciste anti-noir qui domine le cinéma arabe depuis des décennies. L’industrie continue d’injecter ses séries dramatiques, ses films et ses talk-shows populaires avec une racisme ignoble pour imposer des images indignes d’Afro/Arabes noirs et de migrants noirs africains.

    La représentation des Noirs dans le cinéma arabe reflète les sentiments anti-noirs répandus et le racisme qui existe dans les pays arabophones.

    A l’écran, les Noirs sont confinés dans des rôles subalternes, réduits à des rôles de domestiques, de prostituées, de pitres, de portiers travaillant pour des familles riches.

    Les hommes et les femmes noirs sont constamment décrits comme sales et paresseux et leur couleur de peau est sujette à la moquerie raciste et associée à la malchance.

    Quand le personnage principal, Khalaf (Mohamed Henedy), dans Sa’eedi fil gamaa el amrekeia entend la nouvelle de la mort de quelqu’un, il tourne son regard vers une prostituée jouée par une femme noire, et déclare: « La dame est morte à cause de ton visage noir ». Le même film contient de nombreux commentaires racistes sur la prostituée noire illustrant combien les femmes afro/noires sont perçues comme laides et peu féminines.

    Même les enfants noirs sont les victimes de cette moquerie raciste. Dans la comédie égyptienne de 2003, Elly Baly Balak (Mes pensées sont vos pensées), le protagoniste s’adresse à sa femme après avoir confondu l’enfant d’une servante noire avec le sien, en disant « Vous êtes blanche et je suis blanc, comment pourrions-nous avoir cette ‘barre de dates’ comme enfant ? »

    Il est évident que l’industrie cinématographique arabe n’a aucun scrupule à pratiquer le « Arab-washing », suivant les traces d’Hollywood et son penchant pour les histoires et les personnages exclusivement blancs.

    Aux États-Unis, l’utilisation du grimage en noir a été en grande partie abandonnée, mais dans le cinéma arabe, il est constamment utilisé pour que des Arabes non-noirs jouent des rôles de Noirs. Ils sont grimés, enfilent des fausses fesses exagérées, d’épais cheveux bouclés de style afro et du rouge à lèvres rouge vif.

    Il est également révélateur que durant des décennies, le premier et seul acteur à peau sombre qui ait joué des rôles de premier plan dans le cinéma égyptien était Ahmed Zaki (1949-2005). Mais même lui n’a pas échappé aux qualificatifs racistes : il a été surnommé « l’étoile de bronze » et le « tigre noir ».

    Le tabou de l’esclavage
    Bien que cette représentation négative des Noirs persiste et que les stéréotypes raciaux à leur encontre se perpétuent, il n’y a pratiquement pas de débat public sur le sujet au sein de la société arabe. Au contraire, il y a un déni catégorique de l’existence d’attitudes racistes à l’égard des Noirs.

    Tous ceux qui ont la peau plus foncée au Moyen-Orient ont eu à subir toutes sortes de qualificatifs racistes et de surnoms méprisants. L’insulte raciale la plus courante est « abd », qui signifie « esclave » ou « serviteur ». Ce langage raciste est un héritage de l’histoire de l’esclavage dans la région.

    Cet héritage, cependant, est toujours considéré comme un sujet tabou et lorsqu’il est évoqué, les Arabes essaient souvent de contourner le problème en parlant de Bilal Ibn Rabah, un esclave noir que le prophète Mohammed a libéré et qui est devenu le premier muezzin (la personne qui appelle à la prière). Cet épisode de l’histoire islamique est présenté comme la preuve de l’existence d’une société islamique égalitaire et inclusive dans laquelle il n’y avait pas et il n’y a pas de discrimination fondée sur la race.

    Cependant, l’émancipation de Bilal n’a pas vraiment mis fin à l’esclavage dans la région. Au contraire, pendant des siècles, diverses interprétations de l’Islam ont été utilisées pour justifier une traite négrière florissante et la culture des concubines au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

    L’esclavage a été complètement aboli dans les pays arabes en 1970 (à l’exception de la Mauritanie, qui l’a fait en 1981). Bien que toutes les personnes à la peau foncée de la région ne soient pas des descendants d’esclaves et que tous les esclaves n’aient pas été noirs, les personnes à la peau foncée sont stigmatisées et considérées, à priori, comme ayant de tels antécédents, même si elles en revendiquent d’autres.

    Ceci, à son tour, a un impact sur les relations sociales, les perceptions et les positions sociales et politiques. En 2008, par exemple, lorsque Adel Al-Kalbani, un imam saoudien noir, a été nommé pour diriger la prière à la Grande Mosquée de la Mecque, il a dû faire face à un déluge d’insultes racistes, certains musulmans protestant ouvertement contre sa nomination.

    Une identité arabe qui exclut et discrimine
    En dehors de l’esclavage, le colonialisme occidental a certainement contribué au racisme présent dans la société arabe en attribuant la beauté à la blancheur et la laideur à la noirceur et en favorisant certains groupes ethniques par rapport à d’autres. Pourtant, ce n’est pas le principal facteur qui a façonné l’identité et la perception raciales dans la région.

    C’est l’idéologie panarabe coercitive qui a établi l’hégémonie d’une identité arabe spécifique et racialisée sur toutes les autres. Elle a contribué à la discrimination socio-économique systémique et a créé des hiérarchies raciales strictes qui relèguent les Noirs dans une position subordonnée au sein de la société arabe.

    Les pays arabes les plus peuplés se trouvent sur le continent africain et les Arabes noirs font partie de la société arabe blanche depuis la conquête musulmane de la région. Mais il y a un mépris stupéfiant pour tout ce qui est africain ou noir.

    On n’est donc pas surpris que les industries dominées par des Arabes blancs comme celle du cinéma reflètent ce sentiment et n’embrassent pas la diversité raciale du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.

    Ce racisme ambiant a des répercussions négatives sur de nombreux jeunes Noirs qui ont du mal à trouver des modèles positifs, car ils restent largement non représentés dans les médias grand public. La stigmatisation sociale a poussé certains d’entre eux à se dissocier de leur identité noire. Certains nient leur héritage africain, participent au racisme intra-racial, tentent de s’assimiler et même de changer la couleur de leur peau par le blanchiment de la peau.

    Cette situation est également source des graves préjudices dont souffrent les migrants et les travailleurs migrants. Les histoires pénibles d’abus de femmes éthiopiennes au Liban et les pratiques choquantes de torture et d’esclavage des migrants africains en Libye ne sont que deux exemples du danger que peut représenter ce courant sous-jacent séculaire de racisme enraciné dans les pays arabes.

    Les préjugés raciaux dans le cinéma et la société arabes persistent parce que nous n’avons pas réussi à promouvoir un débat ouvert et des mesures efficaces contre le racisme. Il ne faut ni tolérer ni normaliser la représentation dégradante d’enfants et d’adultes afro-noirs, ni encourager l’industrie cinématographique arabe à multiplier moqueries et comportements violents dans les films.

    Pour surmonter la stigmatisation des Noirs, nous devons nous débarrasser de l’héritage de notre regrettable passé et mettre fin à la « culture du silence ». C’est ce « refus d’engager des discussions sur l’esclavage et les attitudes racistes » qui, au nom de « l’hégémonie arabo-islamique », a permis de mettre cette question sous le tapis – comme l’a noté l’historien marocain Chouki El Hamel.

    Nous, les Arabes afro-noirs, devons accepter notre propre identité, décoloniser notre propre perception de nous-mêmes, réclamer et embrasser notre noirceur et militer contre les préjugés raciaux et les images et traitements dégradants auxquels nous sommes exposés sur les écrans et dans la vie quotidienne.

    Nous devons nous faire entendre à tous les niveaux de la société arabe, et l’industrie cinématographique arabe devrait être à la tête de cette révolution sociale. Nous devons rentrer en nous-mêmes et prendre conscience de nos attitudes racistes pour mettre fin au racisme culturel et aller de l’avant.

    * Hana Al-Khamri est écrivaine et analyste basée en Suède. Elle a travaillé comme journaliste en Arabie Saoudite. Elle est également l’auteur du prochain livre Female Journalists in Gender-Apartheid in Saoudi Arabia. Elle peut être jointe à @hanaalkhamri

  • image
    reply_author il y a 5 ans

    merci de rapeller au gens le racisme des arabes envers les noirs,en fait il ya que ceux qui ne veulent rien savoir qui les aime,moi il ya bien longtemps que je suis pire qu,eux

  • image
    Ô kafiroubès dèdado rèdaabè il y a 5 ans

    Tiédo Fal est un kafir chrétien Antibalaka sénégalais !
    Il faut parler du traitement abominable des juifs noirs falachas en Israël ! Sale kafar !
    Tu ne réussiras jamais à nous séparer de nos frères musulmans Arabes ! Jamais !
    Et le kafar de ton engeance de vipère qui efface mes commentaires lui non plus ne pourra jamais arrêter la mer avec ses bras de cafard !

  • image
    Ô kafiroubès dèdado rèdaabè il y a 5 ans

    Tiédo Fal est un kafir chrétien Antibalaka sénégalais !
    Il faut parler du traitement abominable des juifs noirs falachas en Israël ! Sale kafar !
    Tu ne réussiras jamais à nous séparer de nos frères musulmans Arabes ! Jamais !
    Et le kafar de ton engeance de vipère qui efface mes commentaires lui non plus ne pourra jamais arrêter la mer avec ses bras de cafard !

  • image
    il y a 5 ans

    Pétrole, gaz, électricité, santé, on nous pille et distrait avec foot pour les hommes et telenovelas pour les femmes. Ces joueurs n'ont pas de soucis comme pour les franc maçons et homosexuels, drogue, esclavage moderne,faux billets et parle ment taire. Peuple africains y'a quoi même. Les hommes ne sont pas nayy ils ont été pillés par des politiciens et faux marabouts

  • image
    il y a 5 ans

    Hana al-Khamri – Comme les autres années, les séries télévisées lors du Ramadan de cette année ont exposé des scènes d’un racisme grossier à l’encontre des Afro/Arabes noirs.
    Pendant le mois sacré du Ramadan, les musulmans sont censés s’abstenir de nourriture, de boissons, de tabac, d’activité sexuelle et de langage vulgaire. Naturellement, au cours de ce mois, les diffuseurs de télévision dans le monde arabe ont tendance à changer leur programmation et à promouvoir un contenu ciblant le public familial.

    Pourtant, année après année, la moquerie raciste et le vocabulaire injurieux à l’égard des Afro-Arabes noirs et des migrants noirs africains, s’invitent sur les écrans de télévision de millions de familles arabes rassemblées pour jouir des séries télévisées produites spécialement pour le Ramadan.

    Le contenu des télévisions du Ramadan de cette année n’a pas « déçu » à cet égard.

    La série comique égyptienne « Azmi wa Ashgan » (Azmi et Ashgan), créée par le producteur égyptien à scandale Ahmed el-Sobki, a présenté ses principaux acteurs grimés en noir à plusieurs reprises tout au long de la série, utilisant un langage raciste à l’égard des Noirs et les représentant comme des serviteurs qui parlent un arabe hésitant et pratiquent la sorcellerie.

    La série de comédie koweïtienne « Block Ghashmara » (Le bloc de blagues), de son côté, a consacré tout un épisode à des acteurs grimés en noir dépeignant les Soudanais comme des paresseux et des cyniques.

    Malgré l’indignation sur les médias sociaux, les équipes de tournage à l’origine de ces séries TV se sont défendues.

    Ahmed Mohy, le scénariste de « Azmi we Ashgan », a minimisé les insultes racistes dans son émission, disant sur Twitter que « [l’équipe] ne vise pas à insulter une partie du peuple égyptien, parce que nous sommes un seul peuple ».

    Sur Instagram, l’acteur koweïtien Hassan al-Ballam, vedette de l’épisode controversé du Block Ghashmara, s’est excusé, mais a déclaré que les critiques contre lui étaient exagérées et qu’il avait été « mal compris ».

    Cependant, ces échanges et ces critiques se sont limités aux médias sociaux et comme par le passé, n’ont pas permis de mener une discussion plus large à l’échelle de la société. Cela n’est guère surprenant étant donné que le racisme dans la culture populaire arabe et dans le cinéma arabe, en particulier est omniprésent, et il semble y avoir peu d’intérêt pour la société arabe à vouloir changer cela.

    Les troupes racistes du cinéma arabe
    « Pourquoi éteignez-vous la lumière? Vous êtes déjà sombres par nature », dit le personnage principal à une prostituée noire dans le film égyptien de 1998, Sa’eedi fil gamaa el amrekeia (Un Égyptien supérieur à l’Université américaine).

    « Y a-t-il une coupure de courant ou quoi? » – dit un personnage principal lorsqu’il voit un groupe de Noirs sortir d’une boîte de nuit dans le film égyptien de 2001, Africano.

    « Est-ce que quelqu’un a brûlé cet appartement avant ou quoi? » – disent en riant trois des personnages du film égyptien 2005, Eyal Habiba (les enfants de Habiba), alors qu’ils regardent un mur de photos de famille dans l’appartement d’un Soudanais (joué par un Arabe grimé en noir).

    Ce ne sont là que quelques exemples du langage raciste anti-noir qui domine le cinéma arabe depuis des décennies. L’industrie continue d’injecter ses séries dramatiques, ses films et ses talk-shows populaires avec une racisme ignoble pour imposer des images indignes d’Afro/Arabes noirs et de migrants noirs africains.

    La représentation des Noirs dans le cinéma arabe reflète les sentiments anti-noirs répandus et le racisme qui existe dans les pays arabophones.

    A l’écran, les Noirs sont confinés dans des rôles subalternes, réduits à des rôles de domestiques, de prostituées, de pitres, de portiers travaillant pour des familles riches.

    Les hommes et les femmes noirs sont constamment décrits comme sales et paresseux et leur couleur de peau est sujette à la moquerie raciste et associée à la malchance.

    Quand le personnage principal, Khalaf (Mohamed Henedy), dans Sa’eedi fil gamaa el amrekeia entend la nouvelle de la mort de quelqu’un, il tourne son regard vers une prostituée jouée par une femme noire, et déclare: « La dame est morte à cause de ton visage noir ». Le même film contient de nombreux commentaires racistes sur la prostituée noire illustrant combien les femmes afro/noires sont perçues comme laides et peu féminines.

    Même les enfants noirs sont les victimes de cette moquerie raciste. Dans la comédie égyptienne de 2003, Elly Baly Balak (Mes pensées sont vos pensées), le protagoniste s’adresse à sa femme après avoir confondu l’enfant d’une servante noire avec le sien, en disant « Vous êtes blanche et je suis blanc, comment pourrions-nous avoir cette ‘barre de dates’ comme enfant ? »

    Il est évident que l’industrie cinématographique arabe n’a aucun scrupule à pratiquer le « Arab-washing », suivant les traces d’Hollywood et son penchant pour les histoires et les personnages exclusivement blancs.

    Aux États-Unis, l’utilisation du grimage en noir a été en grande partie abandonnée, mais dans le cinéma arabe, il est constamment utilisé pour que des Arabes non-noirs jouent des rôles de Noirs. Ils sont grimés, enfilent des fausses fesses exagérées, d’épais cheveux bouclés de style afro et du rouge à lèvres rouge vif.

    Il est également révélateur que durant des décennies, le premier et seul acteur à peau sombre qui ait joué des rôles de premier plan dans le cinéma égyptien était Ahmed Zaki (1949-2005). Mais même lui n’a pas échappé aux qualificatifs racistes : il a été surnommé « l’étoile de bronze » et le « tigre noir ».

    Le tabou de l’esclavage
    Bien que cette représentation négative des Noirs persiste et que les stéréotypes raciaux à leur encontre se perpétuent, il n’y a pratiquement pas de débat public sur le sujet au sein de la société arabe. Au contraire, il y a un déni catégorique de l’existence d’attitudes racistes à l’égard des Noirs.

    Tous ceux qui ont la peau plus foncée au Moyen-Orient ont eu à subir toutes sortes de qualificatifs racistes et de surnoms méprisants. L’insulte raciale la plus courante est « abd », qui signifie « esclave » ou « serviteur ». Ce langage raciste est un héritage de l’histoire de l’esclavage dans la région.

    Cet héritage, cependant, est toujours considéré comme un sujet tabou et lorsqu’il est évoqué, les Arabes essaient souvent de contourner le problème en parlant de Bilal Ibn Rabah, un esclave noir que le prophète Mohammed a libéré et qui est devenu le premier muezzin (la personne qui appelle à la prière). Cet épisode de l’histoire islamique est présenté comme la preuve de l’existence d’une société islamique égalitaire et inclusive dans laquelle il n’y avait pas et il n’y a pas de discrimination fondée sur la race.

    Cependant, l’émancipation de Bilal n’a pas vraiment mis fin à l’esclavage dans la région. Au contraire, pendant des siècles, diverses interprétations de l’Islam ont été utilisées pour justifier une traite négrière florissante et la culture des concubines au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

    L’esclavage a été complètement aboli dans les pays arabes en 1970 (à l’exception de la Mauritanie, qui l’a fait en 1981). Bien que toutes les personnes à la peau foncée de la région ne soient pas des descendants d’esclaves et que tous les esclaves n’aient pas été noirs, les personnes à la peau foncée sont stigmatisées et considérées, à priori, comme ayant de tels antécédents, même si elles en revendiquent d’autres.

    Ceci, à son tour, a un impact sur les relations sociales, les perceptions et les positions sociales et politiques. En 2008, par exemple, lorsque Adel Al-Kalbani, un imam saoudien noir, a été nommé pour diriger la prière à la Grande Mosquée de la Mecque, il a dû faire face à un déluge d’insultes racistes, certains musulmans protestant ouvertement contre sa nomination.

    Une identité arabe qui exclut et discrimine
    En dehors de l’esclavage, le colonialisme occidental a certainement contribué au racisme présent dans la société arabe en attribuant la beauté à la blancheur et la laideur à la noirceur et en favorisant certains groupes ethniques par rapport à d’autres. Pourtant, ce n’est pas le principal facteur qui a façonné l’identité et la perception raciales dans la région.

    C’est l’idéologie panarabe coercitive qui a établi l’hégémonie d’une identité arabe spécifique et racialisée sur toutes les autres. Elle a contribué à la discrimination socio-économique systémique et a créé des hiérarchies raciales strictes qui relèguent les Noirs dans une position subordonnée au sein de la société arabe.

    Les pays arabes les plus peuplés se trouvent sur le continent africain et les Arabes noirs font partie de la société arabe blanche depuis la conquête musulmane de la région. Mais il y a un mépris stupéfiant pour tout ce qui est africain ou noir.

    On n’est donc pas surpris que les industries dominées par des Arabes blancs comme celle du cinéma reflètent ce sentiment et n’embrassent pas la diversité raciale du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.

    Ce racisme ambiant a des répercussions négatives sur de nombreux jeunes Noirs qui ont du mal à trouver des modèles positifs, car ils restent largement non représentés dans les médias grand public. La stigmatisation sociale a poussé certains d’entre eux à se dissocier de leur identité noire. Certains nient leur héritage africain, participent au racisme intra-racial, tentent de s’assimiler et même de changer la couleur de leur peau par le blanchiment de la peau.

    Cette situation est également source des graves préjudices dont souffrent les migrants et les travailleurs migrants. Les histoires pénibles d’abus de femmes éthiopiennes au Liban et les pratiques choquantes de torture et d’esclavage des migrants africains en Libye ne sont que deux exemples du danger que peut représenter ce courant sous-jacent séculaire de racisme enraciné dans les pays arabes.

    Les préjugés raciaux dans le cinéma et la société arabes persistent parce que nous n’avons pas réussi à promouvoir un débat ouvert et des mesures efficaces contre le racisme. Il ne faut ni tolérer ni normaliser la représentation dégradante d’enfants et d’adultes afro-noirs, ni encourager l’industrie cinématographique arabe à multiplier moqueries et comportements violents dans les films.

    Pour surmonter la stigmatisation des Noirs, nous devons nous débarrasser de l’héritage de notre regrettable passé et mettre fin à la « culture du silence ». C’est ce « refus d’engager des discussions sur l’esclavage et les attitudes racistes » qui, au nom de « l’hégémonie arabo-islamique », a permis de mettre cette question sous le tapis – comme l’a noté l’historien marocain Chouki El Hamel.

    Nous, les Arabes afro-noirs, devons accepter notre propre identité, décoloniser notre propre perception de nous-mêmes, réclamer et embrasser notre noirceur et militer contre les préjugés raciaux et les images et traitements dégradants auxquels nous sommes exposés sur les écrans et dans la vie quotidienne.

    Nous devons nous faire entendre à tous les niveaux de la société arabe, et l’industrie cinématographique arabe devrait être à la tête de cette révolution sociale. Nous devons rentrer en nous-mêmes et prendre conscience de nos attitudes racistes pour mettre fin au racisme culturel et aller de l’avant.

    * Hana Al-Khamri est écrivaine et analyste basée en Suède. Elle a travaillé comme journaliste en Arabie Saoudite. Elle est également l’auteur du prochain livre Female Journalists in Gender-Apartheid in Saoudi Arabia. Elle peut être jointe à @hanaalkhamri

  • image
    Dane Khary Dieye il y a 5 ans

    Tiédo Fal est un yéfer chrétien Antibalaka sénégalais pro-Israël
    Demandes à tes maîtres spirituels sionistes kharamatanjay de se prononcer sur le statut de sous-hommes / sous-citoyens / sous-israélites des juifs Noirs falachas qui vivent en Israël ! Obligés de prier seuls entre juifs noirs , les arrivants d’Éthiopie sont quasi-systématiquement soupçonnés d’être des juifs au rabais et envoyés dans des espèces de camps spéciaux où ils sont « éprouvés » !
    Parles sur ça, sale yéfér kharam !

  • image
    il y a 5 ans

    Lii amna solo
    Yalla na Yalla may wa Palestine jam

  • image
    reply_author il y a 5 ans

    ak waa cono mali centre af... arique yeepe d'ailleurs c'est le bordel partout.

  • image
    il y a 5 ans

    les palestiniens doivent se prononcer sur l'esclavagisme dans le monde arabe et surtout en paslestine même, ainsi que l'invasion de nos pays par les hordes islamistes avec entre autres le génocide du soudan. Les palos n'ont qu'à se débrouiller avec les israéliens. Nous, on s'occupe de la barbarie islamiste dans nos pays. A chacun ses problèmes.

  • image
    Dane Khary Dieye il y a 5 ans

    Tiédo Fal est un yéfer chrétien Antibalaka sénégalais pro-Israël
    Demandes à tes maîtres spirituels sionistes kharamatanjay de se prononcer sur le statut de sous-hommes / sous-citoyens / sous-israélites des juifs Noirs falachas qui vivent en Israël ! Obligés de prier seuls entre juifs noirs , les arrivants d’Éthiopie sont quasi-systématiquement soupçonnés d’être des juifs au rabais et envoyés dans des espèces de camps spéciaux où ils sont « éprouvés » !
    Parles sur ça, sale yéfér kharam !

  • image
    Ô kafiroubès dèdado rèdaabè il y a 5 ans

    Tiédo Fal est un kafir chrétien Antibalaka sénégalais !
    Il faut parler du traitement abominable des juifs noirs falachas en Israël ! Sale kafar !
    Tu ne réussiras jamais à nous séparer de nos frères musulmans Arabes ! Jamais !
    Et le kafar de ton engeance de vipère qui efface mes commentaires lui non plus ne pourra jamais arrêter la mer avec ses bras de cafard !

  • image
    Bamba il y a 5 ans

    Pourquoi porter des lunettes noires fumée même quand on a des hôtes et dans son salon où il n'y a pas de rayons de soleil ?

    Quelqu'un doit aider le marabout à comprendre que c'est un peu irrespectueux.

    Wassalam. Nguene Balma akkh.

  • image
    reply_author il y a 5 ans

    Le marabout n'a pas porté de noir fumé regarde bien avant de déverser vos méchancetés et vos idioties

  • image
    reply_author il y a 5 ans

    Yaw topal feulé vas la bas. Ndaw dou fonto moromou bayam. Té nga changer ton pseudo nak. Soff

  • image
    reply_author il y a 5 ans

    Walahi il n’a pas mis des lunettes noires fumées sur ces photos. En plus dès fois amna niou am pb beut souniou guissé lumière dafay méti seen beut. Mane mi meuss na meu dal. Li eup solo c’est la tolérance envers l’autre. Di dogal nitt ngante. Et après faire son introspection et être très dur envers soi même. Sans aucune complaisance. Di deuké diang alkhourane ak diouli ak woor ak oute kham kham ak sellal ak mandou té am yaarr té am yeurmandé etc

  • image
    reply_author il y a 5 ans

    on le porte generalement pour se protèger des flashs et des projecteurs des photographes et cameramen.
    Ca gate les yeux si c'est trop proche.

  • image
    il y a 5 ans

    AHLANE WA SAHLANE

  • image
    Volai414 il y a 5 ans

    NGUIR YALLA AK YONANTAM
    Dans mon incantation, je souhaiterais qu'aucun compatriote sénégalais ne voit malice ou arrière-pensée malveillante. Elle est là simplement parce que je vois, comme tout le monde, la situation difficile et dangereuse dans laquelle nous sommes empêtrés. Parmi tant de problématiques, celle des daaras et de la religion en général me préoccupe et je soumets mon interrogation à ceux qui peuvent la partager avec moi : quel(s) objectif(s) souhaitons-nous assigner aux daaras que je ne souhaite pas voir disparaître ?
    Comme beaucoup, je souhaite réfléchir à des solutions mais avant, je veux être sûr de bien cerner le problème. Au stade où nous en sommes, je veux seulement comprendre ce que nous attendons des daaras, la mission que nous souhaitons leur assigner et rien d'autre pour le moment. Ceci est donc, vous l'aurez compris, un appel à l'aide et non une provocation.

  • image
    reply_author il y a 5 ans

    Personnellement je pense que l'objectif ne change pas avec la modernisation des daaras. L'apprentissage du coran restera au coeur des daraas modernes mais le tout sera fait avec dignité et respect des enfants. On peut bien apprendre le coran sans violence. Ensuite il faudra au fil du cursus scolaire apprendre aux talibés un metier qui leur permettra ensuite de pouvoir vivre et faire vivre leurs familles. Sinon ils vont devenir à leur tour des maitres coraniques (avec les memes maltraitances) ou un wathié katou kamil.

    ce pays peut et doit aller de l'avant et l'apport de tous ses fils est necessaire.

  • image
    reply_author il y a 5 ans

    Ce n'est pas aux gens d'assigner ou demander une mission ou des objectifs aux daaras. ça devrait plutôt être le contraire.
    Il faudrait tout d'abord essayer de connaitre historiquement la véritable mission de l'enseignement coranique, dont l'état n'apporte aucune aide ni subvention pour aspirer à les conditionner.
    Depuis l'arrivée de l'islam, elle a eu comme objectif d'inculquer une éducation religieuse et une formation intellectuelle aux musulmans.
    A l'arrivée des colons, ils ont eu peur de l'avancée notoire de la religion islamique, n'étant pas en mesure de manipuler et d'assimiler des sujets français comme ils le souhaitent pour les coloniser. Ils ont eu trouvé comme solution, à long terme de créer des écoles française pour les faire subir un lavage de cerveau et les préparer petit à petit à être des sujets de l'intérêt français.
    Chaque système éducatif a un objectif précis. Celui des daaras a comme objectif de créer un homme modèle et préparé à affronter les périples de la vie. Le système français a pour objectif de nous préparer à être des éternels esclaves qui ont été anesthésiés par l'orgueil.
    Ils ont créé tout d'abord à Saint Louis l'école des fils de chefs, qui formait les enfants des rois et notables ceddo déchus par l'armée française car, il devait les préparer à être des sujets de l'intérêt Français, de peur que lorsqu"ils seront devenus mature, ne fassent alliance pour venger leurs royauté.
    Ce sont ces fils de chefs qu'ils ont formés qui ont mené la majeur parti des combats coloniaux, notamment contre Serigne Touba par exemple, que fut Mbakhane Diop qui était le fils de LAT DIOR et tant d'autres.
    C'est ce même système éducatif dont l'objectif d'origine n'a pas été réformé depuis l'époque coloniale, qui est toujours en cours à notre époque. Raison pour laquelle elle forme des gens sans base religieux, de " mauvais musulmans", les mêmes prototypes de Mbakhane Diop, qui sont sur internet avec des pseudo caché pour dire des choses malsaines sur les chefs religieux, qui sont pourtant les garants de notre paix sociale.
    Aujourd'hui ces produits du système français sont au sommets de l'administration du pays , pour la majeur parti des délinquants économiques, qui ne sont là que pour leur intérêt personnel et pensent que c'est en copiant sur le modèle français que le Sénégal se développera, ce qui est totalement faux. Tous les pays développés se sont basés sur leur propre histoire et leur modèle de société pour être un Etat puissant et prospère. Depuis près de 60 ans après notre indépendance, nous avons toujours du mal à décoller.
    Ce qui fait qu'il y a lieu de remettre ce système de fonctionnement en question.
    Serigne Touba a mis en place un mode de fonctionnement qui est la seule qui a réellement montré ses preuves depuis lors. C'est ce système qui a permis de bâtir une ville étant la 2ème économie du Sénégal après Dakar, les mosquées les plus coûteuses sont construits par les disciples, la dernière en date, Massalikoul Djinane coutant plus de 20 milliards construit sur fond propre, une université de plus de 37miliards est aussi en cours et j'en passe. A Touba, il y a un dahira qui s'appelle Touba ca kanam qui veut, sur contribution des disciples, développer la Ville sainte par des infrastructures, sans aucune aide de l'état, qui a construit plusieurs projets pour que la population en bénéficié. A même acheté fait des dons de matériels d'hémodialyse à l'Etat, des voitures de sapeurs, et camions d'éboueurs et bien d'autres. Dans quelques années, la ville de touba n'aura plus besoin de l'état pour se développer, ce ce qu'on appelle le don de soi.
    Voilà le système que Serigne Touba a mis en place et seul, celle ci nous permettra de propérer.
    Nous en sommes arrivé à un stade où les gens pensent que c'est en allant à l'école française qu'on devient un bon modèle de société, ce qui est encore tout faux. Les produits des daaras sont les vrais citoyens qui font fonctionner l'économie car ils occupent la majorité du commerce et du système économique informel, les plus grandes fortunes du pays sont issus des daaras, et ont des milliers d'emplois à leur actifs.
    Un produit du français quant à lui va à l'université, après ses études, se donne un nouveau métier qui s'appelle "chômeur", et pourtant n'étant pas dépourvu de force physique, n'est en mesure d'éxercer aucun métier, car alimenté par l'orgueil inculqué par le système français. Il yen a tant d'exemples que je pourrais citer mais, préfère vous laisser constater les méfaits qu'ont créé ce système.
    Moi qui vous écrit, j'ai été à l'école, j'ai fait une formation en architecture, ce qui n'empêche que j'ai très tôt constaté les méfaits de ce système car n'étant pas en mesure de créer des vrais modèles hommes sénégalais.

Participer à la Discussion