Le département de Koungheul (Kaffrine) a abrité le lancement de la campagne nationale de formalisation des organisations en sociétés coopératives agricoles et communautaires
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Le département de Koungheul (Kaffrine) a abrité le lancement de la campagne nationale de formalisation des organisations en sociétés coopératives agricoles et communautaires
Ce 25 juillet 2025, dans une atmosphère mêlant fierté et humilité, le Premier ministre Ousmane Sonko a lancé une initiative inédite qui pourrait bien reconfigurer les rapports entre jeunesse, territoire et nation.
L’agriculture sénégalaise, pilier de notre économie et socle de nos communautés, est à la croisée des chemins. Nous avons hérité d’un modèle hérité de la colonisation, marqué par la monoculture, la dépendance à la saison des pluies, la faiblesse des infrastructures et l’accès limité aux marchés et à la transformation. Malgré les efforts et les réformes, la majorité de nos producteurs restent prisonniers d’un cycle où l’abondance des récoltes ne rime pas avec prospérité. Surproduction invendue, prix effondrés, revenus précaires, sentiment d’abandon?: tel est le quotidien de milliers de petits exploitants, pourtant porteurs d’un savoir-faire et d’une résilience admirables.
Présidé par le Premier ministre Ousmane Sonko ce vendredi à Diamniadio, le Conseil interministériel consacré à la préparation de la campagne de production agricole a été un riche moment d’échanges entre État et acteurs. Pour le succès de cette campagne 2024, les 23 décisions ci-après ont été prises par le chef du gouvernement de concert avec les acteurs à différentes échelles de la chaîne de valeur.
Les 96 heures de l’entrepreneuriat féminin ont atteint leurs objectifs et...
Le Programme d’appui à la compétitivité en Afrique de l’Ouest (PACAO) lancé à Dakar
Les besoins de financement du Sénégal en matière de services agricoles sont évalués à 16 milliards de francs CFA dont 500 millions déjà disponibles, en attendant la contribution des sociétés privées et organisations de producteurs, a indiqué, jeudi à Paris, le directeur exécutif du Fonds national de développement agro-sylvo-pastorale (FNDASP), Jean Charles Faye.
Un discours de fin d’année devrait être avant tout, un bilan officiel sur l’état de la Nation, décliné au plan économique, social, culture, et au plan de sa sécurité intérieure et extérieure, afin de mettre l’accent sur les principaux défis auxquels le pays aurait à faire face durant l’année nouvelle qui pointe à l’horizon, et les voies et moyens qu’il faudrait mettre en œuvre pour les relever.
Dans cet entretien accordé à EnQuête, le sémillant sociologue distille ses vérités et choisit ses cibles dans un contexte politique qui commence à devenir lourd.
L’agriculture sénégalaise, qui représente environ 20 % du PIB et emploie 60 % de la population active et une proportion importante des recettes d’exportations, revêt une importance capitale pour les perspectives de développement du Sénégal. Avec quatre cinquièmes des ménages pauvres vivant dans les zones rurales, aucune stratégie de réduction de la pauvreté ne peut atteindre son objectif sans accorder une place importante au développement rural et à l’agriculture. Malgré tout, pendant 60 ans, l’évolution de la production a été décevante
La chute de Mamadou Dia, Président du Conseil de la République du Sénégal en Décembre 1962, peut être analysée à partir de deux documents historiques qui mettent en lumière les enjeux politiques et économiques des Indépendances africaines de 1960.
Préjugés, clichés, lieux communs donnent une vision caricaturale du Sud-Sahara. Comment rétablir la vérité ? L’Afrique noire est une terre de violence et de sauvagerie. Elle est minée par le sida et la corruption. Ses habitants ne connaissent que le tribalisme. Ils sont tous polygames, leurs femmes font trop d’enfants. Qui n’a entendu, en Europe, déclamer ce genre d’« évidences » ? Il n’est pas question de nier les difficultés qu’affrontent les pays subsahariens. Malgré les progrès récents, le processus démocratique reste un peu partout fragile.
Après avoir soutenu Abdoulaye Wade au deuxième tour de la présidentielle de 2000, soutien qui, de manière incontestable, a fait accéder l’actuel président à la magistrature suprême du Sénégal pour sept ans, Moustapha Niasse qui jouit d’une très grande popularité au Sénégal, va à nouveau se lancer dans la bataille de la présidentielle de février 2007. Cette fois-ci, ce sera pour le compte de la Coalition Alternative 2007 (CA 2007) qui regroupe onze partis politiques et plusieurs associations. Moustapha Niasse est un Homme d’Etat dans tous les sens du terme, qui jouit d’une très bonne image en Afrique et dans le monde.
Après 40 ans de règne du Parti Socialiste (PS), l’avènement de l’alternance politique en 2000, a été un immense soulagement pour les populations sénégalais. Ce fait historique n’a été rendu possible qu’avec une coalition de partis politiques contre le régime socialiste. La paternité d’un tel changement est à mettre plus à l’actif du peuple sénégalais que d’un parti politique. Ayant fait mes débuts dans la sphère politique sein de l’Observatoire national des Elections (O.N.E.L), en citoyen averti, notre devoir est de participer au renforcement de la démocratie dans notre pays par des propositions concrètes. La crise politique de notre pays, marquée par des conflits entre l’opposition et le pouvoir, résulte du non-respect de la volonté populaire. A savoir un gouvernement d’union nationale jusqu’aux prochaines élections. Même si, à un moment donné, le Président de la République a fait appel aux services de Leaders de l’opposition, le Parti Démocratique Sénégalais a finalement opté à « gouverner seul ».