Maduagwu, présentatrice et productrice sur une chaîne d’information nigériane, est morte lundi dernier en sautant du troisième étage de son immeuble pour fuir des cambrioleurs.
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Maduagwu, présentatrice et productrice sur une chaîne d’information nigériane, est morte lundi dernier en sautant du troisième étage de son immeuble pour fuir des cambrioleurs.
La DIC a bouclé son enquête et remis le dossier au parquet financier.
En Angleterre, une mère de famille a été condamnée à sept ans et demi de prison pour «négligence extrême».
Fin mars, le Portugal de Cristiano Ronaldo a affronté la Slovénie, lors d’un match amical à Ljubljana.
Les lits recyclables, qualifiés "d'anti-sexe", souffrent de leur réputation.
Le village olympique de Tokyo dispose de près de 18.000 lits recyclables avec des sommiers en carton.
Le village olympique de Tokyo dispose de près de 18.000 lits recyclables avec des sommiers en carton.
L'hebdomadaire Paris Match a publié une série de clichés d'Abdelkader Merah durant son procès. En France, il s'agit d'une infraction à la loi. L'Association de la presse judiciaire a condamné la pratique, évoquant "l'irresponsabilité" du magazine. Paris Match a délibérément choisi de publier plusieurs photos d'Abdelkader Merah durant son procès, d'abord sur son site internet mercredi, ensuite dans son magazine papier jeudi. Un procédé qui est très loin de faire l'unanimité.
Si les exemples se succèdent depuis quelques années, non, le terrorisme islamiste ne date pas d'hier dans les ex-républiques soviétiques. Sa genèse coïncide par contre avec la chute de l'URSS... L'Ouzbékistan était, jusqu'en 1991, un État membre de l'URSS. L'assaut meurtrier de Manhattan, commis par l'un de ses ressortissants, a causé la mort de huit personnes, dont une Belge en vacances à New York. Ce n'est pas la première fois que des radicaux issus d'ex-républiques soviétiques d'Asie centrale sont à l'origine d'actes terroristes
Le plan national de régularisation des étrangers, majoritairement d’origine haïtienne, a pris fin, condamnant à l’exil des milliers de personnes Habillée d’un t-shirt trop serré pour ses sept mois de grossesse, Mileyda Benacio, née en République dominicaine, est désormais contrainte de vivre en Haïti : elle a été expulsée par l’armée de son pays faute d’avoir des papiers d’identité.
Un nombre important de camions recensés au Sénégal comme étant chargés de carburant à destination du Mali n’ont pas été à bon port. C’est ce qui ressort d’un rapport du Bureau des poursuites et du recouvrement (Bpr), une branche de l’Inspection générale des finances (Igf), qui invite la justice à condamner Vivo-Energy, société mise en cause. La confiscation de l’équivalence des marchandises d’une valeur sur le marché de 16,9 milliards de F Cfa, le paiement d’une amende égale à 67,6 milliards de F Cfa et aussi d’une peine d’emprisonnement de 6 mois à 5 ans, contre les responsables, ont également été demandés.
Le feuilleton rocambolesque qui, depuis 29 mois mettait en scène la société pétrolière Oryx et l’Administration douanière est bel et bien fini comme il n’a pas commencé. Une transaction de 4,3 milliards de FCfa est venu sceller un accord à l’amiable dûment signé, mardi dernier, entre les deux parties. Longtemps annoncé plusieurs fois repoussé, le business de Oryx SA va bien reprendre d’ici à une semaine. Il a bien fallu se mettre finalement autour d’une table pour vider un contentieux qui aura perduré pendant plus de deux années, de tribunaux à tribunaux. Le ministre du Budget Cheikh Aguibou Soumaré avait annoncé, il y a quelques semaines de cela, une audience qu’il devait accorder aux responsables de la Société Oryx pour, disait-il, "discuter des termes d’une transaction" visant à vider le contentieux qui opposait l’Administration douanière à ladite société.
Le dénouement est proche dans le différend opposant depuis deux ans l'administration des douanes sénégalaises à la société pétrolière Oryx. La révélation a été faite hier par le ministre du Budget, Cheikh Adjibou Soumaré, devant le Conseil de la République pour les Affaires économiques et sociales. Et ce n'est pas la seule révélation faite par le ministre aux conseillers de la République avec qui il débattait des problèmes liés à la fraude, à la contrebande et à la contrefaçon. Le ministre du Budget était hier l'invité du Conseil de la République pour les Affaires économiques et sociales.
L’administration douanière sénégalaise n’a pas fini de réclamer son dû aux pétroliers de la Sar, de total, de Shell, mobil et du groupe Oryx qui restent lui devoir quelque 393 milliards de FCfa à titre de « sommiers non apurés ». Cependant, seule la société Oryx fait, jusqu’ici, les frais de ce qui ressemble à un « acharnement » de la part de l’Administration douanière qui, depuis 20 mois maintenant, bloque les activités de ladite société, condamnant ainsi 90 travailleurs à demeurer dans la rue, tandis que la Sar et les trois autres pétroliers qui doivent plus et refusent toujours de payer, sont bichonnés.
Dans une quinzaine de jours, les cuves de la Sar risquent d’être de nouveau à sec. Comme au Togo qui, il y a quelques années, revendiquait une des plus grosses raffineries de la région, la Société africaine de raffinage(Sar) risque tout bonnement de devenir un centre de dépôts. A défaut de raffiner, la Sar ne fait plus qu’importer du produit avec les risques qu’elle ne puisse même plus, sous peu, le faire. Cela apparaît comme un très mauvais signe. La Société africaine de raffinage (Sar) ne répond plus de sa mission première qui est de raffiner du pétrole brut et ses difficultés d’approvisionnement risquent de s’accentuer eu égard à l’énorme ardoise qu’elle traîne sur la cuve et qui a déjà échaudé ses fournisseurs. Or, si la Sar ne raffine plus, pourquoi elle importerait ?
"L'ordonnance de la doyenne des juges est parfaitement illégale" Genève, mardi 11 avril 2006- L’affaire Oryx-Douanes sénégalaises a retenti jusqu’à Genève en Suisse, où se trouve le siège du Groupe dirigé par Jean Claude Gandur, que nous avons rencontré dans ses locaux. Dans l’entretien qu’il a bien voulu nous accorder sur cette affaire qui défraie encore aujourd’hui la chronique et dont les autorités suisses viennent de se saisir, le grand patron du Groupe Addax-Oryx s’arc-boute sur sa position qui consiste à réfuter la thèse de la fraude, admettant tout de même une "infraction administrative".