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Le nom de Halima Gadji, comédienne au talent reconnu, revient au cœur des conversations, non pour un rôle ou une performance, mais pour une épreuve intime : les troubles de la personnalité.
Dans les sociétés africaines, la santé mentale demeure l’un des derniers bastions du non-dit.
J’ai été interpellé à plusieurs reprises ce matin sur des propos allant dans ce sens dans une émission télé
![[Gros Plan] Troubles mentaux et du développement : Entre indifférence et déficit de structures adaptées](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//ada709463ddb869b97ef4107eff1117f9467e320.jpg)
Au Sénégal, les troubles mentaux et du développement demeurent un fléau silencieux, marqué par l’indifférence et le manque criant de structures adaptées.
![[Gros Plan] Troubles mentaux et du développement : Entre indifférence et déficit de structures adaptées](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//d2690607563b98c21516f2f968ea7fc60527ae7c.jpg)
Au Sénégal, les troubles mentaux et du développement demeurent un fléau silencieux, marqué par l’indifférence et le manque criant de structures adaptées.
« Il est primordial que les pouvoirs publics, les employeurs, les organisations qui représentent les travailleurs et travailleuses ainsi que les autres parties prenantes responsables de la santé et de la sécurité au travail collaborent pour améliorer la santé mentale en milieu professionnel.
“Ma pire ennemie, c’est moi”, Lady Gaga évoque ses problèmes mentaux
La prostitution semble trouver dans la Petite Côte un terrain de prédilection, ceci du fait du tourisme et de la pêche. Les travailleuses du sexe, c'est le nom qu'on donne maintenant aux prostituées, font légion. On distingue les professionnelles qui se font examiner régulièrement et celles-là qui se prostituent dans la clandestinité, une concurrence déloyale, qui ne fait pas l'affaire des « legal whores ». Incursion dans l'univers bien singulier du commerce de la Chair...
Au Sénégal, de nombreuses femmes refusent d’emmener avec elles dans les transports en commun les enfants handicapés mentaux ; les familles cachent les enfants atteints de troubles mentaux ou neurologiques, et certains parents les renient purement et simplement. Autant de comportements qui reflètent la stigmatisation virulente dont font l’objet les parents d’enfants atteints de ces maladies généralement méconnues. « Au Sénégal, on utilise la notion d'anormalité, quel que soit le handicap, mental ou physique », a dit Ngor Ndour, psychologue spécialiste des troubles mentaux chez l’enfant.
