Invité du "Jury du dimanche" sur iRadio, Mamadou Ibra Kane, le président du Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (CDEPS)...
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Invité du "Jury du dimanche" sur iRadio, Mamadou Ibra Kane, le président du Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (CDEPS)...
Médias «non conformes» bannis : les patrons de presse ripostent ce lundi
Alors que le président Bassirou Diomaye Faye entame sa deuxième année au pouvoir, Reporters sans frontières (RSF) appelle les autorités sénégalaises à intensifier les réformes pour garantir la soutenabilité économique des médias
Des faits marquants, il n’en a pas manqué au Sénégal en 2024. Que ce soit en politique, en société, en sport, ou encore dans le secteur des médias, 2024 n’a pas du tout été de tout repos au Sénégal.
À la date du 29 novembre, l’État du Sénégal ne reconnaît que 112 entreprises en conformité avec les dispositions du Code de la presse. Parmi elles, les journaux ne sont qu’au nombre de quatorze (14). Pourtant, quotidiennement, c’est une vingtaine de « Une » qui sont lues et partagées sur les réseaux sociaux. À interroger ces chiffres, l’on se demande comment s’en sortent financièrement ces entreprises de presse écrite ? Entre le modèle économique jugé obsolète et la multiplication des sites d’informations en ligne, quel avenir pour la presse écrite sénégalaise ?
Les patrons de presse en ont gros sur le cœur.
Début août, Mamadou Ibra Kane annonçait la suspension de publication des journaux sportifs « Stades » et « Sunu Lamb ».
Chaque année, le gouvernement sénégalais attribue une aide financière aux médias pour soutenir le secteur de la presse.
La grande majorité des médias sénégalais ont suivi mardi le mot d'ordre de la "journée sans presse".
Les mois passent et les tensions entre les acteurs des médias privés et les nouvelles autorités ne s’apaisent pas.
À travers un communiqué, la Coordination des Associations de Presse (CAP) dit être rès préoccupée par la situation très difficile que vit le secteur des médias au Sénégal, marquée par une pression multiforme sur les entreprises de presse.
L’Association des patrons et éditeurs de presse du Sénégal (APEPS) appelle « à un traitement équitable, juste et équilibré dans la distribution des fonds d'appui de l'État à la presse ».
L’actualité sur la presse a été marquée ces derniers jours par deux tristes faits majeurs.
Suspension de la parution des quotidiens "Stades" et "Sunu Lamb"
D’après Sunu Lamb, Ada Fass (écurie Fass Benno) a écrit une demande de grâce au comité national de gestion (CNG) de lutte suite à sa suspension pour une durée d’un an.
L’arène retient son souffle. Siteu (écurie Lansar) défie le roi des arènes, Modou Lô (Rock Énergie).
Modou Lô remet en jeu son titre de Roi des arènes. Après Ama Baldé et Boy Niang, il affronte Siteu.
Il s’est montré philosophe, refusant manifestement d’alimenter quelque polémique avec le chef du gouvernement.
Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (Cdeps) sera en réunion demain mercredi 5 juin, à 10 h.
La joie des patrons de presse a été de courte durée. Après avoir promis un effacement fiscal de 40 milliards au bénéfice des médias, Macky Sall est parti sans rien acter.