Un vent d’instabilité souffle sur les établissements scolaires de la commune de Sédhiou.
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Un vent d’instabilité souffle sur les établissements scolaires de la commune de Sédhiou.
Le système éducatif a été paralysé, ce matin, au lycée de Gassane, situé à 75 km au sud de Linguère.
L’arrestation du teigneux secrétaire général du Cusems Authentique, Dame Mbodj, avait fini de donner une autre tournure à l’affaire Sweet Beauté
La crise scolaire qui a paralysé le système éducatif sénégalais a été au cœur de l’allocution du chef de l’église catholique sénégalais. Mgr Benjamin Ndiaye n’a pu s’empêcher de lancer un cri de cœur pour exprimer son inquiétude par ces grèves cycliques dans le secteur scolaire et universitaire.«Comment ne pas évoquer la crise scolaire et universitaire qui ne cesse d’inquiéter nos familles sénégalaises, quant à l’avenir de leurs enfants?
Des élèves du lycée Chérif Samsidine Aidara et des collèges d’enseignement moyen (CEM) ont paralysé, mardi, le système éducatif dans la commune de Vélingara (Sud), pour s’insurger contre les grèves à répétition des enseignants, a constaté l’APS. Ce mouvement a touché les écoles primaires et préscolaires. ''Les professeurs ne font plus cours régulièrement depuis des mois. Les seuls perdants sont les élèves.
Pour dénoncer, à leur manière, les troubles scolaires à Tivaouane, les enseignants ont initié une marche, hier jeudi. Point de départ : la devanture de l’inspection départementale. Point de chute : la préfecture. Résultats de la randonnée pédestre : la remise d’un mémorandum à l’autorité administrative.
Le Cadre unitaire et syndical de l’enseignement moyen secondaire a appelé hier à un débrayage à partir de 10 heures. Si le mot d’ordre a été respecté dans certains établissements comme le Lycée Blaise Diagne, tel n’a pas été le cas à Kennedy. Un début de perturbations scolaires à deux niveaux qui n’affecte cependant pas le combat que les syndicalistes à l’unanimité comptent mener jusqu’au bout.
Le nouveau régime tient vraiment à rétablir l’autorité de l’Etat. Et ce ne sont pas les membres de l’Amicale des stagiaires et étudiants du département de Fatick (Asef) ou de la Coordination des étudiants et stagiaires de la commune de Fatick (Cesf/com) qui diront le contraire.
L’artiste et compositeur sénégalais Moh Dediouf a appelé le mouvement Y en a marre à organiser, en association avec la société civile sénégalaise, une manifestation pacifique sur la place de l’Obélisque, à Dakar, ‘’pour mettre plus de pression’’ sur les pouvoirs publics et les acteurs de l’école, dans l’espoir de les amener à prendre des mesures destinées à sauver l’année scolaire.
Le Cadre unitaire des syndicats de l’enseignement moyen secondaire (CUSEMS) a annoncé, samedi, la suspension de son mot d’ordre de grève, afin de ‘’faire preuve de bonne volonté’’ suite la signature, vendredi, d’un protocole d’accord avec le gouvernement.‘’Nous avons de suspendre le mot d’ordre de grève suite à la signature d’un protocole d’accord’’, a indiqué le porte-parole du CUSEMS, Dame Mbodji, interrogé par la RFM
Lorsque le 19 mars 2000, le candidat du FAL (Front pour l’Alternance) Abdoulaye Wade réussit à déboulonner le candidat du PS (Parti socialiste) Abdou Diouf à l’issue du second tour de la présidentielle, une page entière de l’histoire du Sénégal était tournée. L’événement est d’autant plus historique que les Socialistes ont régné sans partage à la tête du Sénégal depuis son accession à l’indépendance et que l’alternance s’est déroulée dans un esprit démocratique exemplaire. Retour sur les péripéties d’un événement démocratique fondateur. « Il faut le réveiller, dites lui que c’est le Président de la République qui veut lui parler. C’est très important ! » Quelques heures plus tard, il revient à la charge : « Je vous félicite Abdoulaye, vous avez gagné l’élection présidentielle ! »
Idrissa Seck, le maire de Thiès, se heurte à une vague de contestations, animée par des étudiants. Ces derniers regroupés au sein de la Coordination des Étudiants Thiessois (Cet) ouvrent le feu sur leur édile qui selon eux, "est incompétent". ILs dénoncent la "mauvaise gestion du social" par les services de la commune. Ils ne sont pas contents de la gestion du social par le maire de Thiès. Pour manifester leur courroux, des étudiants responsables de la coordination des étudiants Thiessois (Cet), ont, avec l'appui de leurs jeunes frères des classes de seconde du lycée Ahmadou Ndack Seck de Thiès, paralysé une partie du système scolaire en délogeant les élèves de certains établissements dont le lycée Malick Sy, avant d'improviser une marche qui s'est terminée à la mairie de Thiès.
Le gouvernement et les syndicats d’enseignants ont finalement trouvé un accord définitif sur la question de l’Indemnité de recherche documentaire qui était le principal motif de grève des enseignants du primaire et du préscolaire. L’accord signé, hier, par les deux parties porte sur une prime scolaire de 25 mille francs mensuelle accordée aux instituteurs à l’horizon 2011. A l’image des autres ordres d’enseignants, ceux de l’élémentaire et du préscolaire ont désormais leur Indemnité de recherche documentaire( Ird), quoique le gouvernement préfère usiter la terminologie de ‘prime scolaire’.
Demain, Babacar Mbaye Ngaraf, au même titre que certains proches de Macky, va répondre à une convocation à la Sûreté urbaine. On se demande aujourd’hui si l’Etat n’est pas en train de glisser vers un autre chef d’accusation. Mais il va falloir trouver un lien entre cet homme qui est présent dans tous les combats de la banlieue et Macky Sall. Les convocations se suivent, mais ne se ressemblent pas. Après les auditions à la Sûreté urbaine de Macky Sall, Abdoulaye Sall, Abou Abel Thiam, Farba Ngom, Modou Mbaye et Mansour Faye, tous proches de l’ex-Premier ministre, la police a franchi un nouveau palier dans sa quête de preuves dans le dossier de blanchiment d’argent.
Le baccalauréat de cette année a encore enregistré une baisse significative : 42,9 % de réussite cette année contre 48,5% en 2007 et 50% en 2000. Des syndicalistes, en tant qu’acteurs majeurs du système éducatif, apportent ici leurs éclairages en expliquant les raisons d’une telle contre-performance. D’après leurs analyses, ces résultats insuffisants sont beaucoup moins dus aux perturbations intervenues au cours de l’année scolaire écoulée, qu’à un véritable malaise qui paralyse le système éducatif sénégalais. Les mauvais résultats du baccalauréat 2008 ne sont pas liés aux perturbations notées dans le système éducatif. Mouhamadou Mbodj du Cadre unitaire des syndicats de l’enseignement moyen du Sénégal (Cusems) en veut pour preuve que son organisation n’est pas allée en grève cette année.
Université, Casamance, Ecole sénégalaise… Tous ces dossiers ont eu à subir l’immixtion de Farba Senghor. Pour le chargé de la mobilisation du Pds, il n’y a pas cloison étanche entre les ministères. La solidarité gouvernementale et la République, en général, en prennent une vilaine balafre. Le chargé de la mobilisation et de la propagande du Pds vient de s’illustrer, une fois encore, de manière particulière, prouvant, si besoin en était, que les anciens de l’Ecole nationale d’administration de l’Italie n’avaient pas tort de lui décerner une mention suivie de l’appréciation ‘Elément hors du commun’. Farba Senghor a réussi, contre toute attente, à faire parapher par les responsables de l’Intersyndicale le document consacrant la fin de la grève dans l’élémentaire ayant paralysé le système scolaire durant presque toute l’année
A la suite du constat selon lequel la grève de 72 heures déclenchée par une partie de l’Intersyndicale des enseignants a été « très peu suivie », le ministre de l’Education, Moustapha Sourang, pense que le mouvement est inopportun. Il en donne les raisons dans cet entretien. Il y revient aussi sur le bilan de l’année scolaire écoulée, et, entre autres, sur les efforts faits par le gouvernement pour améliorer la qualité dans le système éducatif, de l’éducation de base au supérieur. M. le ministre, une partie de l’Intersyndicale des enseignants est allée en grève les 24, 25 et 26 octobre derniers. Quel commentaire en faites-vous ? Je dois dire que la grève n’a concerné que 25 % des enseignants dans l’Elémentaire, et encore dans les villes. Car dans les zones rurales, les écoles ont bien fonctionné.
Le ministre de l'Education Nationale était, le week-end dernier, l'hôte de Ziguinchor. En marge du Comité Régional de Développement (CRD) qu'il a présidé et consacré à la rentrée scolaire et universitaire dans la région méridionale du pays, Moustapha Sourang a soutenu que le système éducatif est paralysé depuis près de cinq ans maintenant du fait des enseignants qui demandent de l' argent. Il a, en outre, révélé d'importantes mesures notamment l'érection, à la demande du président de la république, du centre universitaire de Ziguinchor en une université en bonne et due forme avec, à terme, une faculté de médecine. Si notre système éducatif est "bloqué" et "paralysé" c'est, non à cause des questions pédagogiques : manque de lycées et collège ou de maîtres ou encore de manuels et de formation ; mais pour des raisons d'argent que posent souvent les enseignants.
2006: ça a bouillonné partout. Éducation, santé, justice, collectivités locales, nettoiement, travailleurs sociaux, fonctionnaires de l’État. Dans tous les secteurs, les acteurs ont râlé. Bref, hormis la presse, aucun secteur n’a été épargné par la grève. Une situation aggravée par un mutisme de l'État... Janvier 2006. L’année est partie pour être bouillante. Les enseignants ouvrent le bal des grèves. Ils mettent à exécution le préavis de grève arrivé à expiration depuis longtemps. Ils revendiquent l'indexation de l'indemnité d'enseignement à la solde indiciaire, la fixation de cette indemnité à 50 % de la solde indiciaire et l'extension de l'indemnité d'enseignement à tous les corps émergents (volontaires, vacataires).
Débrayages et grève générale du Cusems depuis hier, mardi jusqu’à vendredi prochain, des mouvements d’humeur des enseignants à Kolda et des potaches à Saint-Louis alors même que les signes annonciateurs étaient si manifestes… Telles sont les premières actions engagées en ce début d’année scolaire et qui présagent de lourdes menaces sur l’avenir de notre projet d’école. A la décharge d’un Etat qui semble se complaire dans une sorte de blocage systématique du dialogue dans l’espace éducatif sénégalais. Les établissements publics d'enseignement, à Dakar comme à l'intérieur du pays, ont subi hier encore le courroux du cadre unitaire des enseignants du moyen et du secondaire (Cusems).