À Touba , les déplacements se multiplient dans la ville sainte de Touba.
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À Touba , les déplacements se multiplient dans la ville sainte de Touba.
Les populations ressentent durement le couvre-feu et l’état d’urgence décrété pour stopper la propagation du Covid-19.
Un camion sénégalais chargé d'arachide. La traversée de la Gambie par les poids lourds sénégalais constitue un problème récurrent dans les relations entre les deux pays.
Le départ en exil du fondateur du Mouridisme, Cheikhoul Khadim survenu un 18 Safar, dans le calendrier musulman, sera célébré demain mardi 1er janvier à Touba. En débarquant dans la ville sainte, on sent une grande effervescence avec l’arrivée en masse des talibés, mais aussi avec les khassaides (écrits de Serigne Bamba) diffusés de toutes parts. Les habitants de la cité mettent les bouchées doubles pour accueillir les talibés.
Panneaux publicitaires , véhicules d’entreprises portant logos , avec ou sans sonorisation , affiches , stands, charrettes , taxis … A l’image des années d’avant , rien n’a été gratuit pour cette édition 2012 du Magal de Touba De sources sûres , les tarifs ont été revus à la hausse . Chaque véhicule aura payé entre 50 000 et 75 000 francs alors que les panneaux publicitaires ont été taxés à hauteur de 15 000 l’unité . D’où , d’emblée , plusieurs millions de francs empochés . Seulement aucun chiffre n’est encore tombé . Qui pour les donner ?
Contrairement aux années précédentes où le difficile accès à l’eau potable causait d’énormes désagréments aux milliers de Mourides rassemblés à Touba pour les besoins du Magal, cette année, c’est le transport qui constitue un véritable casse-tête pour les pèlerins. En dehors du trafic interurbain où les transporteurs maximisent leurs profits en doublant les tarifs, le transport à l’intérieur de Touba pose aussi problème. S’il faut payer 3000 dans les cars «Ndiaga-Ndiaye» au lieu de 1500 F Cfa - et 5000 F Cfa dans les «7 places» -,
Après les dernières pluies qui ont chassé les populations de leurs maisons inondées, le calvaire continue pour les habitants de la banlieue qui constatent, impuissants, la flambée du loyer et la hausse vertigineuse des tarifs imposés par les «cars rapides», clandos, charrettes et autres «ndiaga ndiaye». Ailleurs, dans les autres quartiers, les écoles, jusque-là fermées, sont prises d'assaut par les populations sinistrées. Boire le calice jusqu’à la lie. Tels des damnés de la terre, les populations sinistrées des zones inondées de la banlieue ne savent plus où donner de la tête.
Erigée en région depuis la loi du 2 février 2008, l’ancien département de Kaffrine, de la région de Kaolack, entame aujourd’hui une nouvelle étape dans son développement économique et social. Pourra-t-il vivre par lui-même, quelles opportunités lui ouvrent ce nouveau statut ? Les interrogations de la jeunesse sont fortes également dans cette terre riche d’histoire. Une équipe de reporters du « Soleil » est allée sur place pour faire le tour de toutes ces interrogations. La route est cahoteuse à souhait et notre chauffeur est obligé de se livrer à un véritable gymkhana entre les nids de poule. La chaleur est torride et chaudement vêtus en quittant Dakar, nous commençons à transpirer à grosses gouttes.
Entre ‘’borom mbaam’’ (conducteurs de charrettes tirées par des ânes) qui font le siège des puits environnants et camions-citernes, le rituel et les techniques des chercheurs d’eau présents au Magal 2008 n’ont pas changé, comparés aux précédentes éditions. C’est toujours la course au liquide précieux, avec en prime l’espoir de remplir une mission ou d’améliorer ses revenus. A Affé, bourgade située à l’entrée de Mbacké, les charrettes tirées par les ânes se mêlent subitement au décor des véhicules en attente de déposer leur flux de passagers qui affluent vers la ville sainte.