Le commissariat central de Kaolack a porté un coup d'arrêt aux activités d'un réseau nigérian se livrant à l'exercice illégal de la médecine et au commerce de produits pharmaceutiques douteux.
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Le commissariat central de Kaolack a porté un coup d'arrêt aux activités d'un réseau nigérian se livrant à l'exercice illégal de la médecine et au commerce de produits pharmaceutiques douteux.
Kaolack : La fondation Crédit mutuel du Sénégal offre 50 tensiomètres à l'hôpital El Hadj Ibrahima Niasse
Mercredi 5 février, le Centre des Œuvres Universitaires de Dakar (COUD) a accueilli un événement de solidarité sans précédent
Libération donne plus de détails sur les agissements du faux docteur, qui tenait un cabinet clandestin à Liberté VI Extension.
C’est la peine que lui a infligée le Tribunal des flagrants délits de Dakar.
Mamadou Oumar Dème est retourné derrière les barreaux pour les mêmes délits.
L’infirmerie de la Grande mosquée de Touba ne manque de rien
L’hypertension artérielle est une élévation trop importante de la pression exercée par le sang dans les artères. Et cette année encore, une personne hypertendue sur deux n’atteint pas les objectifs de pression artérielle fixés par son médecin. Pourtant, le traitement antihypertenseur est le seul moyen de protéger nos artères du vieillissement et de ses complications cardiovasculaires. Voici la dernière édition de l’enquête FLASH, une photographie en 2015 de l’hypertension traitée en France.
« Le représentant du Khalife des mourides montre la voie aux fils du terroir », écrit le Quotidien qui informe qu’un don de matériel a été offert samedi au centre de santé Philippe Maguilen Senghor de Yoff. Don composé d’ordinateurs portables, de lits médicalisés, de fauteuils roulants, de matelas, de tensiomètres, entre autres matériels que Cheikh Mansour Diouf, représentant du Khalife général des mourides dans la localité, a offert à la structure sanitaire.
La Mecque (Arabie saoudite) : La mission officielle sénégalaise aux lieux saints de l’islam souffre de l’absence d’une ambulance. Heureusement que jusqu’ici aucun cas très grave n’a été déploré. «Un problème crucial» qui mérite «une solution urgente», selon le pré-rapport de l’équipe médicale.
Une nouvelle étude mondiale basée sur des données recueillies dans huit pays, dont le Sénégal, montre que de nombreux produits utilisés quotidiennement contiennent encore de fortes doses de mercure. Et les produits de dépigmentation sont les plus exposés, d’après l’étude menée par l’organisation Pesticide Action Network (Pan) Africa. Le mercure est un métal lourd qui a des propriétés physiques, électriques et chimiques uniques. Il est également connu comme une substance persistante, toxique et bioaccumulable. Elle constitue donc une grave menace pour la santé humaine et l’environnement.
Les produits de dépigmentation figurent en bonne place parmi ceux qui peuvent être de potentielles sources d’exposition à une substance toxique comme le mercure, a affirmé mercredi Marie Souzanne Traoré Soumaré, chargée de projet et des questions environnementales à l’ONG PAN Africa. Mme Soumaré s’exprimait lors d’un point de presse portant sur la restitution des résultats d’une étude, qui a pour principal objet d’identifier les problèmes généraux liés à l’utilisation de produit contenant du mercure dans les pays en voie de développement. Menée principalement dans deux pays africains en l’occurrence le Sénégal et le Kenya,
Accéder aux soins la nuit pour les malades, notamment les femmes enceintes à Dakar est devenu une problématique récurrente. Entre des services d’urgences médicales dénudés de matériels de première main et un manque criard de lits pour les accueillir, l’hôpital sénégalais est sous perfusion. L’état de dénuement total des structures sanitaires de la capitale sénégalaise ne participe pas à l’atteinte de l’objectif d’atteinte de l’accès aux soins de 50% de la population à l’horizon 2015 conformément aux objectifs du millénaire pour le développement (Omd). Pour preuve, le parcours du combattant que les malades, notamment les femmes enceintes, pour la plupart épouses de goorgoorlous (besogneux), doivent emprunter pour avoir la chance de trouver une structure sanitaire pour les accueillir.