Les habitants du village de Thiéo, dans la commune de Notto-Diobass, ont tenu un point de presse, ce samedi 28 juin 2025, pour dénoncer une « nouvelle tentative de spoliation de leurs terres » et...
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Les habitants du village de Thiéo, dans la commune de Notto-Diobass, ont tenu un point de presse, ce samedi 28 juin 2025, pour dénoncer une « nouvelle tentative de spoliation de leurs terres » et...
Entre Thiès et Sindia, au cœur des collines de Thiéo, un paisible village de la commune de Notto-Diobass, s’étend une zone d’exploitation minière intense.
La commune de Notto Diobasse se prépare à un avenir ambitieux avec le projet Notto Diobasse Smart City (NDSMC)
Les habitants du village de Thiéo, dans la commune de Notto-Diobasse (département de Thiès), ont tenu un point de presse pour lancer une alerte au chef de l'État et prendre...
La mairie de Notto Diobasse s’engage fermement contre la spéculation foncière dans sa commune.
« La Mairie de Notto Diobasse, dans le département de Thiès, a fait opposition auprès des services de l’Etat et de la Justice, de lotissements illégaux et clandestins, sans délibération du Conseil municipal et sans autorisation de lotir ».
Fin d’un calvaire qui a duré plus de 10 ans
Les populations du village de Thiéo dans le département de Thiès, ont battu le macadam pour crier leur soif.
M. Alioune SARR, Maire de la commune de Notto Diobasse a réceptionné, ce Jeudi 15 juillet 2021, d’importants ouvrages d’adduction d’eau potable à Pout Diack en présence du Sous-Préfet, du Directeur de SEOH, du chef de village de Pout Diack et autres autorités administratives, religieuses et coutumières.
Les habitants du village de Thiéo, dans la commune de Notto-Diobasse (département de Thiès), ont tenu un point de presse pour lancer une alerte au chef de l'État et prendre...
Les populations du village de Thiéo dans le département de Thiès, ont battu le macadam pour crier leur soif.
Entre 1960 et 1980, le Sénégal, dirigé par celui que Sékou Touré appelait « Le garde suisse de l’impérialisme français », son premier président, Léopold Sédar Senghor, a vu passer 78 ministres. De 1980 à 2000, sous Abdou Diouf, le pays connut 109 ministres et quatre Premiers ministres – au terme de 20 remaniements et réaménagements, précise Le Populaire. Depuis la sopique élection du divin chauve Abdoulaye « Gorgui » Wade, en mars 2000, les Sénégalais ont pu rigoler en écoutant les sornettes de… 122 ministres !
Cinquante (50) pères et mères de familles de la cité Malicounda carrefour (nord aérodrome) sur l’axe Mbour/Dakar se sont réunis récemment pour identifier les axes de développement prioritaires à poser sur la table des autorités locales et nationales afin de permettre l’épanouissement des populations de cette zone en situation de sinistre depuis 2006. ‘’ Les victimes des inondations sont des sinistrés circonstanciels. Nous, nous sommes d’éternels sinistrés car, depuis 2006, certains d’entre nous sont là sans aucune infrastructure de base (eau, électricité, téléphone, route, poste de santé, école) comme si nous ne vivons pas avec nos enfants et nos femmes ’’, lit-on dans le procès-verbal de réunion transmis aux autorités administratives, policières et politiques. ‘’ Nous pouvions tous rester dans les grands centres urbains, se plaindre des inondations comme tous et exiger de l’état des relogements. Mais nous ne l’avons pas fait parce que nous estimons que l’Etat ne peut pas reloger tout le monde. Donc si nous acceptons de venir ouvrir des chantiers dans les lots de la communauté rurale de Malicounda, nous devons être soutenus et accompagnés ’’, a écrit le comité provisoire de gestion du quartier aux autorités locales. Interpellé, le président du conseil rural de Malicounda, Thiéoulé Cissokho, renseigne qu’il y a bel et bien un programme d’électrification de la zone bien ficelé. Seulement, selon lui, c'est le changement de régime qui a ralenti son exécution. Mais les populations, qui entendent cette chanson depuis plus de 6 ans n’y croient plus. Elles veulent des choses plus concrètes, surtout l’accès à l’électricité pour réduire l’insécurité ambiante qui hante leur sommeil.
Au lendemain de la publication de l’article sur les «excentriques hommes du Président» Wade, l’ancien ministre Adama Sall s’est déplacé à la Rédaction du journal Le Quotidien pour livrer sa part de vérité. Réfutant d’emblée être «un cas d’école» en matière de mauvaise gestion, M. Sall brandit des documents comme preuve de sa bonne foi et de la cabale politique dont il fait l’objet, pour justifier les faits pour lesquels il a été épinglé par un rapport de la Cour des comptes, condamné par le Tribunal correctionnel avant d’être relaxé par la Cour d’appel. Des décisions de justice qui le blanchissent des délits de détournement de deniers publics, corruption, faux et usage de faux, prélèvement illégal d’intérêt mais surtout qui le réhabilitent par rapport à l’interdiction de gestion publique. Un entretien à bâtons rompus, ponctué d’invocations coraniques d’un homme jurant à chaque bout de phrase : «Bilahi, walahi, watalahi».
Au lendemain de la publication de l’article sur les «excentriques hommes du Président» Wade, l’ancien ministre Adama Sall s’est déplacé à la Rédaction du journal Le Quotidien pour livrer sa part de vérité. Réfutant d’emblée être «un cas d’école» en matière de mauvaise gestion, M. Sall brandit des documents comme preuve de sa bonne foi et de la cabale politique dont il fait l’objet, pour justifier les faits pour lesquels il a été épinglé par un rapport de la Cour des comptes, condamné par le Tribunal correctionnel avant d’être relaxé par la Cour d’appel.
Pendant cette douzaine d’années, des hommes, du fait de leur proximité avec le chef de l’Etat se croyaient autorisés à toutes sortes d’arrogance et imbus d’un droit de violation sur des personnes et des biens. Sans le devoir d’avoir à en répondre devant la Justice. Il est temps aujourd’hui, ne serait-ce que pour l’exemple, de lever leur immunité «présidentielle» dont ils se sont toujours targués pour mettre un terme à l’impunité. Mais surtout pour une mise en garde aux prochains hommes du pouvoir.
- Listes des ministres Sous Wade -Il n'y a eu que 78 ministres durant le magistère de Senghor - Flagrant délit continue de remaniement sous Souleymane Ndéné Ndiaye Cent vingt-deux (122) personnes ont défilé autour de la table du Conseil des ministres en dix années d'exercice du pouvoir par Abdoulaye Wade sanctionnées par 17 modifications au niveau du gouvernement - principalement des ministres détenant des portefeuilles.
Ce qui perd la plupart des hommes politiques, ce n’est pas le fait d’avoir des ambitions. C’est d’ailleurs ce qui fait un homme politique. C’est le fait d’avoir de mauvaises ambitions. Viviane Wade en a pour son fils, et elle a réussi à lui mettre cette idée dans la tête. Cette femme va, dans les prochaines années, jouer un rôle majeur dans les décisions de son époux, et nous gagnerions à la connaître davantage. Nous aurons à faire avec elle, avant de faire avec Abdoulaye Wade.