Une opération menée par la Brigade régionale des stupéfiants (BRS) de Kédougou a permis de démanteler, jeudi dernier vers les coups de 22 heures, un réseau présumé de trafic de chanvre indien et de comprimés de Tramadol dans le village de Bantaco.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Une opération menée par la Brigade régionale des stupéfiants (BRS) de Kédougou a permis de démanteler, jeudi dernier vers les coups de 22 heures, un réseau présumé de trafic de chanvre indien et de comprimés de Tramadol dans le village de Bantaco.
[MEDIA'TEK] Coordonnatrice des rédactions de D-média : Evelyne Mandiouba, la voix du courage
Saisie de drogue à Kolia : un ressortissant malien arrêté avec du chanvre indien et du Tramadol
La première édition du Salon International des Médias d’Afrique (SIMA) qui s’est ouverte ce lundi, à Dakar, sous le thème « L’Afrique face aux nouveaux enjeux des médias »...
Kédougou : Nouveau rebondissement dans l’affaire de trafic de drogue de Kharakhéna
Kédougou : Un individu interpellé avec 480 comprimés de Tramadol et 70 sachets de kush
Chaque année, des milliers de jeunes Sénégalais rejoignent les universités publiques et privées du pays avec l'espoir de décrocher un diplôme qui leur ouvrira les portes du marché de l'emploi
Mariam, désormais sans Amadou: "Sur scène, je sens encore sa présence"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Les éléments du Secteur Frontalier de Moussala, en poste avancé à Kolia, ont procédé à une importante saisie de produits prohibés. L’opération, menée en fin de semaine dernière, a abouti à l’arrestation d’un ressortissant burkinabé en possession de drogue et de médicaments détournés de leur usage médical.
Aucun blessé n’a été signalé sur le site à la suite de l’explosion, survenue à proximité immédiate d’un campus universitaire norvégien. Une personne a été arrêtée par la police.
Dakar n’a pas été bâtie pour nous ; la ville a été pensée pour la France, pour l’Europe, pour l’extérieur
Un vaste coup de filet a été mené ce dimanche par les éléments de la Brigade du commissariat central de Kédougou.
Le 11 septembre 2025, vers 21h30, une opération de la Brigade régionale des stupéfiants (BRS) de l’OCRTIS à Dakar a conduit à l’arrestation de trois ressortissants sierra-léonais impliqués dans un trafic de drogue.
La Brigade régionale des stupéfiants de Kédougou de l'OCRTIS a réussi un coup de filet avec l'arrestation de trois ressortissants guinéens pour offre et cession de drogue, vente illégale de médicaments, tentative de corruption et blanchiment de capitaux.
Aux États-Unis, Iryna Zarutska, une réfugiée ukrainienne a été poignardée à mort, le 22 août dernier, dans un tramway de Charlotte, une ville de l’État de Caroline du Nord. L’information a été divulguée, il y a seulement quelques jours. Le président américain, Donald Trump, a commenté le meurtre, après avoir vu les images.
Le 24 août 2025, un père de famille s'est immolé par le feu avec ses enfants; pour s'opposer à la demande de divorce de son épouse.
Tambacounda : Un Malien arrêté par l'OCRTIS avec 100 comprimés de tramadol
Aux Etats-Unis, le meurtre choquant d'une réfugiée ukrainienne agite le débat politique