À quelques jours de la présidentielle du 24 mars, des responsables locaux du département de Mbacké ont quitté les rangs de l'opposition pour soutenir la candidature d’Amadou Ba.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
À quelques jours de la présidentielle du 24 mars, des responsables locaux du département de Mbacké ont quitté les rangs de l'opposition pour soutenir la candidature d’Amadou Ba.
À quelques jours de la présidentielle du 24 mars, des responsables locaux du département de Mbacké ont quitté les rangs de l'opposition pour soutenir la candidature d’Amadou Ba.
Aphone depuis plusieurs mois, l'ex-secrétaire général de la Ligue démocratique sort de sa réserve.
Macky Sall n'a pas fait de cadeaux à ses adversaires, ce mercredi.
À moins d’un an de l’élection présidentielle au Sénégal, la pratique de la transhumance politique semble atteindre des propensions, à la limite, inquiétantes. De l’avis du professeur en Science politique à l’Ugb, Amadou Kah, le Sénégal fait face à que l’on appelle « blanchiment de légitimité», d’autant plus que ceux qui ont été sanctionnés par le peuple se font recycler par le régime en place. Toutefois, le professeur soutient, sans ambages, que cette pratique n’a jamais été payante par leurs auteurs, tout comme pour ceux qui l’encouragent.
L’homme ne fait pas dans la langue de bois. Lui, c’est Mamadou Ndoye. Dans cet entretien accordé à EnQuête, ‘’Mendoza’’ qui estime que les changements attendus par le peuple sénégalais n’ont pas encore eu lieu, invite ses alliés du pouvoir à continuer de travailler au lieu de se lancer dans une campagne électorale. Sans détour, il nie toute connexion des forces de la gauche avec Khalifa Sall.
Jean Paul Dias n'est pas d'accord avec le président Macky Sall qui défend la transhumance. Selon lui, elle ne doit pas être encouragée. “Elle n'a pas permis la réélection de ceux qui l'ont encouragée.
Nous respectons bien en tant que libéraux le droit et l’entière libertéde ceux qui soutiennent que le débat sur les idéologies des partis politiques est aujourd’hui un faux débat stérile, qui n’est d’aucune utilitédans la marche d’un Etat, et sans incidence dans le quotidien des sénégalais.
Le leader des jeunesses socialistes s'est prononcé sur l'appel lancé par le Président Macky Sall à d'autres politiques pour un largement rassemblement.
La coalition Macky2012 a invité son leader Macky Sall à fermer la porte aux "transhumants" politiques, mais les premiers alliés du président de la République lui ont réaffirmé leur soutien dans le déroulement de son programme Yoonu Yokute.
La coalition Macky2012 a invité son leader Macky Sall à fermer la porte aux "transhumants" politiques, mais les premiers alliés du président de la République lui ont réaffirmé leur soutien dans le déroulement de son programme Yoonu Yokute.
L’option du président Macky Sall appuyé par certains alliés de BBY de maintenir le Sénat, quoique absurde aux yeux de bon nombre de nos compatriotes, relève à la fois d’une logique mais plus de calculs politiciens qui portent les empreintes du Maître. Abdoulaye Wade, dans son mimétisme atlantiste, a laissé en héritage à notre pays une monstruosité institutionnelle : le Sénat, dont le maintien ou la suppression, fait l’objet de tous les débats.
Les lendemains de défaite sont souvent amers. Mais, Awa Diop reste zen malgré la chute du pouvoir libéral. La présidente du mouvement des Femmes du Parti démocratique sénégalais a ausculté sa conscience dans tous les sens. La conclusion est invariable : «Je n’ai rien à me reprocher.» Ce qui n’est pas le cas de tout le monde : Dans cet entretien, l’honorable député revient sur la fin de règne de Wade, l’ambiance pathétique au Palais avec la distribution d’argent, la bousculade des leaders pour l’obtention de leur part du butin, les transhumants. Au finish, elle réclame l’audit de tous les services pour éclairer certains enrichissements rapides de certaines personnalités du pouvoir. Awa Diop sans fard.
Le président du groupe parlementaire ‘libéral et démocratique’ se dit favorable à la proposition du Pdg du groupe Wal Fadjri d’organiser un referendum sur la candidature de Wade à la présidentielle de 2012. Mais Doudou Wade prône un ‘referendum présidentiel, comme ça, si Wade obtient 51 %, ce ne sera plus la peine d’aller aux élections’.
Par Idrissa FALL* 2009, a été l’année de l’investiture du premier Noir à la Maison Blanche, ici même aux Etats-Unis. 2009 a été aussi l’année où le Président Abdoulaye Wade a choisi Washington D.C. pour déclarer sa candidature à la présidentielle de 2012. Faire un état des lieux ou une rétrospective des événements est un exercice difficile pour le Sénégalais qui vit hors de son pays.
2009, a été l'année de l'investiture du premier Noir à la Maison Blanche, ici même aux Etats-Unis. 2009 a été aussi l'année où le Président Abdoulaye Wade a choisi Washington D.C. pour déclarer sa candidature à la présidentielle de 2012. Faire un état des lieux ou une rétrospective des événements est un exercice difficile pour le Sénégalais qui vit hors de son pays. Des tragédies se vivent sans bruit. Ce sont les chemins du désespoir que sont obligés de prendre des Sénégalais en quête de vie meilleure. Combien d'entre eux ont été engloutis dans l'océan Atlantique ?
La première chose qui frappe le visiteur qui entre au domicile de Serigne Modou Mbacké Bara Doly, c’est le grand poster de Karim Wade. Cela veut peut-être tout dire : le président des guides religieux du Sénégal est un grand ami du patron de la ‘Génération du Concret’. Farouche défenseur de Me Wade et de son régime, Serigne Modou Bara Doly continue à s’opposer au retour de Idrissa Seck au Pds. Le marabout estime que l’ancien Premier ministre a des comptes à rendre d’abord aux Sénégalais. Et à l’endroit de l’opposition, qui brocarde le fils du chef de l’Etat, Serigne Modou Bara Doly dit qu’elle ne vaut pas autant que la chaussure de Karim Wade.
Selon les députés du Parlement paritaire Afrique Caraïbes et Union européenne, le transfert d'argent des immigrés africains a diminué de 40 %. C'est la révélation faite, lors d'une conférence de presse tenue vendredi dernier, par Amadou Ciré Sall, député des Sénégalais de l'extérieur et membre de cette assemblée paritaire. Il a également informé sur les propositions que ses collègues et lui vont faire à l'Union européenne. Il a donné son point de vue sur la nomination de Sada Ndiaye comme ministre des Sénégalais de l'extérieur et sur l'actualité politique nationale. Extraits.
Les Sénégalais sont dans le désarroi total. Sur le plan politique, des interrogations fusent, sur le plan économique, cela va de mal en pis et quant au social, n’en parlons même pas. Une situation qui transparait dans les questions relevées auprès de citoyens sénégalais choisis au hasard, en toute objectivité sur leur âge, leur fonction, leur sexe. Un véritable micro-trottoir croustillant que M. Youssouph Mbargane Guissè a bien voulu examiner, minutieusement, pour les lecteurs du journal Le Quotidien. Dans sa globalité. Monsieur le Président, où va le Sénégal ?
Dans cette deuxième et dernière partie de l’entretien qu’il nous accordé, Ousmane Tanor Dieng, secrétaire général du Ps, aborde la lancinante question des Assises nationales, les défections qui y ont été enregistrées, les nouvelles adhésions, l’analyse qu’en fait le Front Siggil Sénégal. Le cas Idrissa Seck, l’avenir de son parti, le Ps. Sans oublier l’état de ses relations avec Abdou Diouf. Entretien. Pour parler des assises nationales, l’on a constaté un bon démarrage, mais on y a noté des défections. Qu’en pensez-vous ? D’abord, nous pensons comme l’écrasante majorité des Sénégalais, que ce lancement a été une grande réussite, qui a même surpris le pouvoir. Parce que Abdoulaye Wade disait que ces gens-là n’iront nulle part, ils n’ont même pas de termes de références.