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Après leur client, les avocats de Papa Malick Ndour de l'Alliance pour la République (Apr) ont réagi. Ils déclarent avoir constaté une interprétation tendancieuse des propos tenus par leur client, lors de la marche de Ñoo Lank.
Le Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (Frapp) dénonce vigoureusement la tenue, du 19 au 22 juin 2025 à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, des Assises Africaines de la Démocratie.
Elou Mawa fait encore parler d’elle. Elle a franchi une autre étape de sa vie, dira-t-on.
![[Vidéo] La travestie Elou Mawa refait surface](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//c2e4dd575a9bc5802e767260b05f7fb45fe2b68a.jpg)
Elou Mawa est apparue sur le réseau social TikTok dansant et montrant sa joie. Une façon sans doute de montrer qu’elle n’a pas été ébranlée par les polémiques qui ont entouré son cas, il y a quelques mois...
Celui ou celle qui se fait appeler Elou Mawa, connu pour son travestissement, n'a pas fini de faire parler de lui.
Le profil Facebook d'une jeune fille du nom de "Elou Mawa" a dernièrement suscité beaucoup de polémiques.
Elou Mawa fait encore parler d’elle. Elle a franchi une autre étape de sa vie, dira-t-on.
Elou Mawa est apparue sur le réseau social TikTok dansant et montrant sa joie. Une façon sans doute de montrer qu’elle n’a pas été ébranlée par les polémiques qui ont entouré son cas, il y a quelques mois...
Celui ou celle qui se fait appeler Elou Mawa, connu pour son travestissement, n'a pas fini de faire parler de lui.
Le profil Facebook d'une jeune fille du nom de "Elou Mawa" a dernièrement suscité beaucoup de polémiques.
Il me plaît, à travers la présente tribune, que je partage avec mes amis, mes camarades et mes partisans, de récuser avec force, les pratiques politiques et publiques déviantes manifestées avec véhémence par un certain type de politiciens, et qui sont aux antipodes de nos valeurs communes.
La présente contribution est une réplique à l’article intitulé «Ah, ces censeurs» publié dans le journal Le Témoin et dans lequel l’auteur, à la signature anonyme, s’attaque à ceux qui dénoncent la perversité ostentatoire que véhicule la série «Maitresse d’un homme marié»
La place de la femme dans l’histoire du Sénégal a été, ce samedi, au centre des discussions au Musée de la femme Henriette Bathily sise à la place du Souvenir. Des sociologues et des professeurs d'université s'y étaient donné rendez-vous pour parler du livre "Femmes de l’ombre et grandes royales dans la mémoire du continent africain".
![[CHRONIQUE] Pour Assane Diouf et les autres](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//30dca43ccd567f6153af6e2a2bde12eec6dd7756.png)
Wade avait "son" Jules Diop. Et Macky, "ses" Ouley Mané, Ami Collé, Penda Bâ et last but not least, son "As de cœur", Assane Diouf, le web-man-show que le pouvoir refuse de voir. Pas même en photomontage... Malgré l'apparente gravité des accusations, savoir raison garder, dépassionner le débat. Et surtout, relativiser les faits.
Les ex-travailleurs d’Ama Sénégal et de la Sias n’ont toujours pas baissé les bras. La grève de la faim entamée depuis deux mois, se poursuit toujours. «Depuis deux mois, l’Etat les marginalise, personne ne va discuter eux. On les laisse mourir dans cette grève de la faim», a déclaré Cheikh Diop, le Secrétaire général de la Cnts/Fc sur les ondes de la Rfm. Il demande, toutefois, aux grévistes de suspendre leur diète. «La Cnts/Fc ne peut pas accepter ça.
La saison des njuulis s’ouvre avec les grandes vacances scolaires mises à profit par les parents pour faire circoncire leurs garçons. Plus qu’une tradition prônée par la sunnah musulmane la circoncision demeure en fait un phénomène socioculturel en Afrique noire et un passage obligé pour tout homme. Antérieure à l’avènement des religions révélées sur le vieux continent, elle obéit de facto à des considérations superstitieuses dont certaines se gomment malheureusement avec la modernité. Ce qui en rien n’altère le caractère exquis du rite initiatique de la circoncision. Entre prépuce servant de talisman, lingué (bâton de circoncis) pour saluer ou tunique blanche bouffante assortie à un bonnet à la forme pyramidale comme habit d’usage, Le Quotidien vous replonge dans ce rite initiatique qui fait l’homme dans notre société.
Dans l’opposition, leur discours est distinctement audible. Une fois au pouvoir, repus de privilèges et de pouvoir, ils parlent si hautement que leur langage n’est plus perceptible que par les délicates oreilles de leurs partisans et autres laudateurs. Ainsi va la vie de nos politiciens, selon qu’ils aspirent à nous gouverner où qu’ils sont en position de pouvoir et se mêlent de nous gouverner.
Pendant 43 ans, cette femme égyptienne s’est travestie en homme, pour trouver du travail et nourrir ses enfants, après le décès de son époux. Veuve à l’âge de 20 ans seulement, Sissa Abu Daooh, enceinte à l’époque, trouvera une astuce bien particulière pour gagner sa vie au lieu de tendre la main comme elle s’y refuse. «Dans une Égypte ultraconservatrice et misogyne, elle ne voit qu'un moyen pour trouver du travail : cacher sa féminité», écrit le magazine Jeune Afrique, qui informe que «Pendant 40 ans, Sissa se travestit en homme, enchaînant les métiers manuels sans jamais être démasquée par ses collègues ou ses patrons.
Le Sénégal vient de vivre deux moments cruciaux pour son avenir, que sont les récentes manifestations du PDS et la visite de Mm Lagarde. En prendre la pleine mesure de leur portée pour en tirer toutes les leçons me semble d’une nécessité vitale pour l’avenir de notre peuple.
C’est l’Ong Jamra qui donne la nouvelle. L’Etat a fait fermer tous les sites d’exposition qui faisaient l’apologie de l’homosexualité. Notamment celui de la Route de Rufisque (à l’Espace Biennale Off), où il est mentionné à l’entrée : « Ma première expérience en tant que lesbienne » (appuyé par un suggestif portrait d’une travestie, sanglée, bien en saillie au niveau de la ceinture, d’un « sextoy ») et la galerie « Raw Art », sise à la Sicap rue 10, à proximité du centre de santé Gaspard Camara, où le visiteur est accueilli par une affichette avec l’écriteau-slogan : « Pour une visibilité gay au Sénégal ».
