Prévalence et mortalité des maladies vectorielles : la radioscopie d’un scientifique sénégalais
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Prévalence et mortalité des maladies vectorielles : la radioscopie d’un scientifique sénégalais
La sous-brigade départementale d’hygiène de Dakar annonce une vaste opération de saupoudrage...
Plus de trente organisations de la société civile engagées dans la santé démontrent une capacité d’adaptation remarquable, dans un contexte où les financements se font de plus en plus rares.
La région de Saint-Louis vient de franchir une étape décisive dans sa préparation face aux crises sanitaires potentielles.
Le Sénégal se positionne comme un leader dans l’utilisation des technologies de pointe pour éradiquer le paludisme. Grâce à des avancées majeures dans le domaine de la génomique et des outils numériques, le pays révolutionne ses stratégies de santé publique.
Le projet "Seen Suuf-Appui à l’amélioration de la gestion foncière au Sénégal", financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du développement (BMZ) et mis en œuvre par la GIZ, poursuit son engagement pour une gestion foncière sécurisée et inclusive.
Une étude menée au Sénégal renseigne sur la prévalence des virus chikungunya (CHIKV) et o'nyong-nyong (ONNV), deux alphavirus responsables d’épidémies sporadiques en Afrique subsaharienne.
Pour assurer une couverture sanitaire exceptionnelle de l'édition 2024 du Mawlid Al Naby ou Gamou de Tivaouane, la brigade régionale d’hygiène de Thiès compte déployer un important dispositif de 400 agents dans la cité de Maodo. L’annonce a été faite par le colonel Idrissa Ndiaye, lors du lancement officiel du démarrage de la couverture sanitaire du Gamou, ce jeudi 29 aout 2024, à l'esplanade de la mosquée.
La 135e édition du pèlerinage marial de Poponguine se tient dans un contexte
Le virus a été créé dans un laboratoire
Le professeur Christian Perronne dénonce depuis des années le déni autour de la maladie de Lyme chronique. Pour lui, et pour la centaine de médecins qui lancent dans "l'Obs" un appel à la ministre de la Santé, il faut agir. Vite.
Après plusieurs années de mauvaise gouvernance et de pilotage à vue dans la gestion des biens publics de ce pays, le temps est venu d'arrêter les rafistolages, pansements temporaires et autres solutions d'urgence, car pour tout le monde 'Y En A Marre'.
Les récentes mesures prises par les autorités aéroportuaires ont été largement appréciées des sénégalais. Toutefois, bien d’autres changements urgents méritent d’être envisagés. En voici quelques uns.
Les changements climatiques peuvent augmenter la prévalence de certaines maladies, celle des infections respiratoires par exemple, a indiqué, samedi à Dakar, le professeur Mouhamadou Guélaye Sall de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar.''Il se peut que les changements climatiques ne fassent pas émerger de nouvelles pathologies, mais c'est possible qu'ils augmentent la prévalence de certaine pathologies. Et dans ce cas, on peut penser aux maladies vectorielles ou à certaines infections respiratoires'', a dit le professeur Sall, pédiatre nutritionniste.
Le changement climatique augmente aujourd’hui la fréquence et l’intensité des catastrophes naturelles dans le monde. L’Afrique reste le continent le plus exposé. Parmi les 20 pays les plus touchés, figurent 6 Etats africains, dont le Sénégal. Douze millions de personnes sont de plus en plus menacées de famine. En Afrique de l’Ouest et du Centre, 32% de la population vivent dans des eaux stagnantes, près de 220 millions d’Africains seront confrontés à des pénuries d’eau d’ici 2020, l’agriculture devrait diminuer de 50% avec comme conséquences gravissimes : la faim, la malnutrition, les maladies et l’instabilité politique.
Dakar, Seneweb.com - «Les malheurs enregistrés prennent une dimension et une ampleur jamais égalée à Dakar, ce qui est gros de tous les périls : les inondations et son corollaire, les délestages intempestifs d’électricité et ses dégâts, les coupures et fissures de routes et ses embouteillages, les ordures et ses maladies vectorielles». C’est du moins l’avis d’Oumar Faye président de Leeral Askanwi. Autant de problèmes qui font croire que «le pouvoir de Wade est un crime, une catastrophe qui a dégradé la dignité du peuple et métamorphosé le visage du pays».