De la paralysie du réseau internet estonien en 2007 à celle d'un oléoduc américain la semaine dernière, retour sur quinze ans de cyberattaques :
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De la paralysie du réseau internet estonien en 2007 à celle d'un oléoduc américain la semaine dernière, retour sur quinze ans de cyberattaques :
Un vieil ordinateur portable contenant six virus informatiques parmi les plus dangereux et symbolisant les dangers de l'internet, a été vendu aux enchères 1,345 million de dollars, a indiqué mardi le site de l'artiste chinois qui le mettait à l'encan à New York.
La Corée du Nord a démenti jeudi avoir été derrière la cyberattaque mondiale via le logiciel de rançon Wannacry comme l'en accuse Washington, ajoutant que les Etats-Unis cherchaient à la diaboliser. L'attaque WannaCry avait infecté en mai dernier 300.000 ordinateurs dans 150 pays, verrouillant les fichiers des utilisateurs et exigeant des centaines de dollars pour les libérer.
Les Etats-Unis ont officiellement accusé lundi la Corée du Nord d'être à l'origine de la cyberattaque mondiale "Wannacry", qui avait affecté quelque 300.000 ordinateurs dans 150 pays. La Corée du Nord est soupçonnée d'être à l'origine de ce virus informatique et des rançons exigées afin de pouvoir en recouvrer l'usage.
Le gouvernement britannique a accusé vendredi la Corée du Nord d'être à l'origine de la cyberattaque mondiale "Wannacry" en mai, qui avait notamment mis à mal le service public de santé britannique (NHS). "Nous pensons que la Corée du Nord est l'Etat impliqué dans cette attaque mondiale", a déclaré le ministre britannique de la Sécurité, Ben Wallace, sur BBC Radio 4. Selon lui, cette attaque aurait pu être motivée par la volonté de Pyongyang, isolé sur la scène internationale, d'accéder à des devises étrangères.
La cyberattaque mondiale au rançongiciel, démarrée en Ukraine et en Russie, semblait contenue mercredi après avoir touché des milliers d'ordinateurs. Elle a rappelé, un mois et demi après WannaCry, la menace de telles attaques sur des infrastructures critiques. Si l'ampleur des dégâts paraît minime par rapport aux centaines de milliers de victimes de WannaCry début mai, le virus, qui bloque des ordinateurs jusqu'au paiement d'une rançon de 300 dollars en monnaie virtuelle, a notamment affecté des bureaux de multinationales dans le monde entier.
La vague de cyberattaques mondiales apparue mardi a utilisé une faille de Windows pour laquelle Microsoft avait déjà diffusé un correctif, a indiqué le groupe, une attaque qui semble avoir d'abord ciblé l'Ukraine selon des spécialistes en cybersécurité. Selon les premières analyses de Microsoft, "le rançongiciel utilise plusieurs techniques pour se propager, y compris celle qui a été traitée par une mise à jour de sécurité déjà diffusée pour tous les systèmes, de Windows XP à Windows 10, appelée MS17-010", a indiqué à l'AFP un porte-parole du groupe.
Des entreprises majeures ukrainiennes ont été touchées ce mardi 27 juin par une vague massive de cyberattaques. Le géant pétrolier Rosneft a également été frappé, tout comme l’industriel français Saint-Gobain.
Le développement des infrastructures de télécommunications, la croissance de la démocratisation d’internet ainsi que la faiblesse des outils de défense font du Sénégal une proie facile pour les cybercriminels.
Le groupe de pirates informatiques Lazarus, soupçonné d'avoir partie liée avec la Corée du Nord, est très vraisemblablement responsable de la récente cyberattaque mondiale WannaCry, a jugé Symantec, éditeur américain de logiciels anti-virus. Pyongyang a déjà démenti tout lien avec cette attaque informatique massive qui a infecté des centaines de milliers d'ordinateurs. Les pirates réclamaient des rançons en bitcoins aux victimes pour leur permettre d'en recouvrer l'usage.
La Chine encourage les utilisateurs de logiciels Windows à se protéger contre un nouveau rançongiciel similaire au virus WannaCry qui a frappé des centaines de milliers d'ordinateurs de par le monde la semaine dernière. Le virus UIWIX crypte et renomme des fichiers grâce à une faille dans le système d'exploitation de Windows, a expliqué mercredi le Centre national de réponse d'urgence aux virus informatiques,
Une nouvelle cyberattaque de grande ampleur touche des centaines de milliers d'ordinateurs dans le monde dans le but de créer et récupérer de la monnaie virtuelle à l'insu des utilisateurs, ont indiqué mercredi à l'AFP des experts en cybersécurité.
Les auteurs de la cyberattaque mondiale lancée vendredi exigent le versement des rançons en bitcoins car cette monnaie immatérielle permet l'anonymat, mais face à la mobilisation internationale, cela ne suffira peut-être pas pour couvrir leurs traces, assurent des experts. Le bitcoin, qui tire son origine d'un logiciel mis en ligne en février 2009 par un ou plusieurs informaticiens se cachant sous le pseudonyme de Satoshi Nakamoto, est une monnaie virtuelle autorégulée, qui préserve l'anonymat de ses propriétaires.
Des organismes gouvernementaux, des universités, en passant par des distributeurs de billets et des hôpitaux, ont été "infectés" au cours de cette attaque.
Des ordinateurs dans au moins 150 pays ont été touchés depuis vendredi par une attaque informatique "sans précédent", mais dont la progression semblait contenue lundi en Europe. Voici ce que l'on sait sur cette attaque:
La cyberattaque sans précédent qui a frappé au moins 150 pays depuis vendredi alimente la crainte d'un «cyberchaos» alors que les experts redoutent une recrudescence du virus aujourd'hui lorsque des millions d'ordinateurs seront rallumés.
Une attaque informatique "de portée mondiale" et qualifiée d'"incident majeur" par le service public de santé britannique (NHS) a bloqué les ordinateurs de nombreux hôpitaux du pays, une atteinte similaire ayant frappé de grandes entreprises espagnoles dont Telefonica.