Les jihadistes ont coupé les télécommunications dans la ville de Gao (nord du Mali), afin d'éviter que les habitants ne donnent des informations aux militaires maliens et français, alors que les positions des combattants islamistes sont pilonnées, a-t-on appris auprès d'habitants.Ils ont coupé les communications, ils accusent des habitants de donner des informations aux militaires, a déclaré un habitant de Gao, l'une des principales villes du nord du Mali, un bastion d'Ansar Dine (Défenseurs de l'islam), joint par l'AFP sur un téléphone satellitaire, dont le témoignage était recoupé sur place par un enseignant.
12 Commentaires
Uboldo
En Janvier, 2013 (23:39 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (11:41 AM)Ilo Yaladi
En Janvier, 2013 (23:40 PM)Eurydice
En Janvier, 2013 (23:41 PM)Zebeu
En Janvier, 2013 (23:45 PM)Gueye
En Janvier, 2013 (23:57 PM)Que des abrutis ces gens "gnaks kilifeu"
Africain221
En Janvier, 2013 (00:09 AM)Lawson
En Janvier, 2013 (00:25 AM)Mojao
En Janvier, 2013 (00:29 AM)Mojao Bis
En Janvier, 2013 (00:53 AM)Baré waxx tek
Feug21
En Janvier, 2013 (00:57 AM)lire article çi après ou il est cité ." La longue traîne des balles iraniennes en Afrique
(Le Monde 15/01/2013)
Des armes légères et des munitions iraniennes ont circulé, depuis 2006, dans neuf pays d'Afrique, pour la plupart sur le marché noir, affirme un groupe de chercheurs indépendant. Ce rapport, fruit de six ans d'enquête, a été publié en décembre par Conflict Armament Research, une société privée britannique qui traque les flux d'armes légères à travers le monde. Le New York Times en faisait écho samedi.
Selon les éléments rassemblés par ce groupe (14 cas), l'Iran a fourni des armes à quatre gouvernements africains, au Soudan principalement, en Guinée, au Kenya et en Côte d'Ivoire. Depuis ces pays, les armes ont circulé sur le marché noir vers l'actuel Soudan du Sud, en République démocratique du Congo (RDC), au Niger et au Nigeria.
Ces découvertes ne sont pas à proprement parler une surprise. En 2010, déjà, l'Iran avait été accusé par la Gambie et le Nigeria d'avoir tenté de livrer des lance-roquettes, des armes automatiques, des grenades, des obus de mortier et des munitions à des mouvements rebelles sur leur territoire. Deux hommes présentés par les autorités nigérianes et des sources occidentales comme de hauts responsables de la branche spéciale des gardiens iraniens de la révolution, la force Al-Qods, dont le responsable de sa branche Afrique, avaient été impliqués dans ce trafic.
La Gambie avait rompu ses relations diplomatiques avec l'Iran. Le Nigeria avait adressé une notification formelle au Conseil de sécurité des Nations unies, faisant état d'une possible violation par l'Iran des résolutions de l'ONU qui, depuis 2007, lui interdisent d'exporter des armes. Le ministre des affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, avait été renvoyé deux mois plus tard par le président Ahmadinejad, durant un voyage au Sénégal où il devait s'expliquer sur ces livraisons d'armes.
Feug21
En Janvier, 2013 (00:58 AM)Kat
En Janvier, 2013 (14:08 PM)Participer à la Discussion