
L’épouse de Laurent Gbagbo, Nady Bamba a célébré la fête des mères avec les femmes de La Mé, le samedi 28 juin dernier à Agou. Dans le discours prononcé à l’occasion , l’ancienne journaliste a décoché quelques flèches au président Ouattara , louangeant dans le même temps son mari.
« Tout cela est banal »
« Peu importe ce qui se passera, Il sera toujours retenu que (Laurent Gbagbo) a été l’homme qui a apporté le multipartisme à la Côte d’Ivoire. Mais que retiendrons-nous du passage du président Ouattara ? Les ponts, les routes, les buildings ne parlent jamais pour un homme politique parce que dans un monde moderne, tout cela est banal.» a chargé Nady Bamba.
Elle rappelle que « les infrastructures n’ont pas commencé avec le président Alassane Ouattara ». La Côte d’Ivoire d’après elle était « déjà construite et bien construite ». Ce qu’il faut aujourd’hui construire dans le pays, c’est « l’alternance pacifique entre un ancien président et un nouveau président de la république » croit savoir l’épouse du natif de Gagnoa.
« Notre chef est candidat »
« La Côte d’Ivoire mérite de voir les deux personnages politiques ivoiriens qui ont cristallisé et déchaîné les passions, réussir une passation de charges entre un ancien président et un nouveau président. Le président Alassane Ouattara aura ainsi réussi sa sortie et rentrera dans l’histoire en tant que 1er chef de l’Etat qui transmet le pouvoir à son successeur. Et le président Laurent Gbagbo réussira son entrée en tant que nouveau chef de l’Etat à qui le pouvoir sera transmis » a-t-elle poursuivi.
De toute évidence, Nady Bamba continue de croire que son mari participera à la Présidentielle d’octobre prochain malgré sa radiation du fichier électoral.
« Notre chef est candidat. Réussissez donc le parrainage. Si nous voulons que le chef soit président de la République , nous le pouvons et il le sera ! » a-t-elle lancé aux femmes de La Mé.
La CEI « n’a pas à interférer dans le choix des candidats. Ce n’est pas son rôle »
La stratégie est simple : faire le forcing jusqu’au bout.
« Même si la CEI (Commission électorale indépendante) vous met des bâtons dans les roues, trouvez les parrains du chef et peu importe la forme que cela prendra. La CEI ne reçoit que les candidatures. Elle n’a pas à interférer dans le choix des candidats. Ce n’est pas son rôle. C'est au Conseil constitutionnel de décider qui est éligible et qui ne l’est pas » a-t-elle déclaré à la foule.
Rappelons que la Cour africaine des droits de l’homme a rendu une décision défavorable à Laurent Gbagbo, la semaine dernière.
Celle-ci a estimé que les droits fondamentaux de l’ancien dirigeant n'ont pas été violés dans le cadre du processus ayant conduit à sa radiation de la liste électorale.
Pour Nady Bamba, l’ arrêt de la juridiction panafricaine prouve qu’ « un crime n’est jamais parfait ».
« Tout cela est banal »
« Peu importe ce qui se passera, Il sera toujours retenu que (Laurent Gbagbo) a été l’homme qui a apporté le multipartisme à la Côte d’Ivoire. Mais que retiendrons-nous du passage du président Ouattara ? Les ponts, les routes, les buildings ne parlent jamais pour un homme politique parce que dans un monde moderne, tout cela est banal.» a chargé Nady Bamba.
Elle rappelle que « les infrastructures n’ont pas commencé avec le président Alassane Ouattara ». La Côte d’Ivoire d’après elle était « déjà construite et bien construite ». Ce qu’il faut aujourd’hui construire dans le pays, c’est « l’alternance pacifique entre un ancien président et un nouveau président de la république » croit savoir l’épouse du natif de Gagnoa.
« Notre chef est candidat »
« La Côte d’Ivoire mérite de voir les deux personnages politiques ivoiriens qui ont cristallisé et déchaîné les passions, réussir une passation de charges entre un ancien président et un nouveau président. Le président Alassane Ouattara aura ainsi réussi sa sortie et rentrera dans l’histoire en tant que 1er chef de l’Etat qui transmet le pouvoir à son successeur. Et le président Laurent Gbagbo réussira son entrée en tant que nouveau chef de l’Etat à qui le pouvoir sera transmis » a-t-elle poursuivi.
De toute évidence, Nady Bamba continue de croire que son mari participera à la Présidentielle d’octobre prochain malgré sa radiation du fichier électoral.
« Notre chef est candidat. Réussissez donc le parrainage. Si nous voulons que le chef soit président de la République , nous le pouvons et il le sera ! » a-t-elle lancé aux femmes de La Mé.
La CEI « n’a pas à interférer dans le choix des candidats. Ce n’est pas son rôle »
La stratégie est simple : faire le forcing jusqu’au bout.
« Même si la CEI (Commission électorale indépendante) vous met des bâtons dans les roues, trouvez les parrains du chef et peu importe la forme que cela prendra. La CEI ne reçoit que les candidatures. Elle n’a pas à interférer dans le choix des candidats. Ce n’est pas son rôle. C'est au Conseil constitutionnel de décider qui est éligible et qui ne l’est pas » a-t-elle déclaré à la foule.
Rappelons que la Cour africaine des droits de l’homme a rendu une décision défavorable à Laurent Gbagbo, la semaine dernière.
Celle-ci a estimé que les droits fondamentaux de l’ancien dirigeant n'ont pas été violés dans le cadre du processus ayant conduit à sa radiation de la liste électorale.
Pour Nady Bamba, l’ arrêt de la juridiction panafricaine prouve qu’ « un crime n’est jamais parfait ».
2 Commentaires
Ar
il y a 1 semaine (18:16 PM)Reply_author
il y a 1 semaine (11:43 AM)Reply_author
il y a 6 jours (12:12 PM)Cote D'ivoire
il y a 1 semaine (21:50 PM)les étrangers s'intéressent à la C I et vous voulez que cela ne nous regarde pas, non la CI et le Sgl sont si liés ... Les allées et venues entre nos pays, les échanges, les liens historiques, la fraternité ... La CI ne nous est pas étrangère !!
Participer à la Discussion