NTics : L’ Afrique succombe à la révolution des Mooc

Par: Seneweb avec Jeune Afrique - Seneweb.com | 28 avril, 2014 à 19:04:04 | Lu 15187 Fois | 10 Commentaires

Single Post — NTics : L’ Afrique succombe à la révolution des Mooc

Avez-vous déjà entendu parler des Mooc ? Ces plateformes d’apprentissage gratuites alimentées par les plus prestigieuses universités américaines.

Avec les Massive open online courses plus couramment appelés Mooc, étudier à Harvard ou Standford n’est plus qu’un rêve. Lancées à l’initiative des plus grandes universités internationales et qui offrent des formations ouvertes à tous sur internet, ces formations séduisent de plus en plus d’africains. Vidéos, quiz interactifs, forums de discussion : les outils pédagogiques sont tous aussi variés et créent une communauté réunissant étudiants et professeurs.

Le phénomène, né aux Etats-Unis, gagne le monde. En Afrique, où il s’étend peu à peu, on dénombre à peu près un millier d’étudiants, toutes langues confondues. Et l’Afrique francophone commence déjà à y prendre goût grâce aux écoles européennes.

Même si ces cours en ligne ne permettent pas d’avoir un diplôme, il est possible d’obtenir un certificat d’aptitude moyennant 50 euros, environ 32.000fCfa. En Afrique, le réseau en Afrique réunit quatorze universités dont celui de Cheikh Anta Diop. Environ, 16% des étudiants de ses trois premiers Moocs proviennent d’Afrique, sans aucune démarche n’ait été faite pour les attirer.

Auteur: Seneweb avec Jeune Afrique - Seneweb.com

5 Commentaires

Qasidas
En Avril, 2014 (20:17 PM)
Apprenez les khassaides depuis chez vous avec votre ordi ou bien n’importe ou avec votre appareil mobile android : google play : qasidas ou bien google : qasidasproject

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Buzz

En Avril, 2014 (00:05 AM)

''faites vos ''annonces'' sur kardir.com

c'est gratuit.''

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Sow Abk

En Avril, 2014 (05:47 AM)

Dans les pays en voie de développement comme le Sénégal, l'enseignement à distance est devenu une priorité. Depuis quelques années l'Ecole de Bibliothécaires, Archivistes et documentalistes (EBAD) du Sénégal est l'une des rares établissements en Afrique de l'ouest a s'être lancé dans la formation dite à distance en opposition de celle menée en « présentielle ». L'expérience semble plutôt réussir même si on note quelques difficultés dans l'appropriation des dispositifs mis en place (les plateformes éducatives). Avec l'apparition fracassante des "Massive Open Online Courses" dans le monde de l'enseignement supérieur, on assiste à une nouvelle forme d'enseignement à distance. L'histoire de Technologie de l'Information et de la communication dans l'enseignement (TICE) a pu montrer que les TICE ont eu des appellations et des évolutions assez profondes (audiovisuelle, informatique, multimédias, internet). Les plateformes de formations à distance ne vont pas tarder à disparaître pour laisser leur place au MOOC. Le nouveau concept des MOOC est au cœur de ce que sera l’Université de demain en utilisant la mondialisation du savoir disponible grâce à la révolution numérique. Les enjeux pour les pays africains sont importants aussi bien du point de vu économique que politique. Ceci relance tout simplement le débat sur l'accès au savoir et à l'information. (Pour plus de détails se rendre à L'EBAD)

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X

En Avril, 2014 (08:33 AM)

alors pourkoi le terme de succombe dans le titre...C une excellente chose que la democratisation du savoir...!!! Non vraiment...

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Malawbe

En Avril, 2014 (16:33 PM)

Bayilene khesal bakhoul yalla boulen jape dignene pour mafe daay soup candia

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