Il ne reste plus une épine de maïs verte dans le champ de quarante quatre (44) hectares cité en exemple par les autorités de l’agriculture de Sédhiou et qui a fait l’objet de la visite du ministre Abdoulaye Bibi Baldé.
En effet, pour lutter contre les insectes prédateurs et obtenir de bons rendements, les agricultures de ce périmètre ont pulvérisé leur champ en un seul jour avec un produit phytosanitaire nocif aux plantes.
Or sur l'emballage du produit, on a bien indiqué " post levée ", c'est-à-dire à utiliser après la levée, ce qui n'est pas le cas, car les semis sont presque arrivées à maturité. Ce qui n'a pas empêché les langues de se délier.
Pour certains, c'est le produit qui n'est pas indiqué. Pour d'autres, c'est la dose qui était trop forte. D'autres encore indexent l'entreprise ou les revendeurs.
Pour en avoir le coeur net sur cet énorme gâchis, les tenants du champ ont décidé de porter l'affaire devant la justice.
6 Commentaires
Bb
En Août, 2013 (17:22 PM)Bou Ndaw
En Août, 2013 (17:39 PM)Velbédère
En Août, 2013 (18:07 PM)Diedhiou Papa M De Ugb
En Août, 2013 (19:17 PM)Ceci est un accident comme on peut en trouver hélas dans la chaine d'utilisation des pesticides, particulierement entre le conditionnement et l'utilisation finale.
Merci
Papa M. Diedhiou
Protection des cultures
Université de Saint-Louis
Boldak
En Août, 2013 (03:29 AM)Pdp
En Août, 2013 (08:19 AM)Ce n'est pas faire un retour en arrière, mais être vigilant pour garantir la fertilité de vos terres sur plusieurs décennies.
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