Oumar sarr le lion du wallo macky dafa ragar vive la verite nous vaincrons inchalah assoçiation des senegalais de lexterieur derriere Oumar sarr seule la verite de courage en route combate ensemble
Certains-es, pour NOUS, dignes-nobles peuples sénégalais, un menteur-traitre-comploteur-corrompu-prédateur-arrogant-insolent-inculte-borné-impoli-manipulateur-violent-haineux-raciste, est une puante-nauséabonde ordure à incinérer!!! Et vous certains-es, quelle place ou destin réservez-vous à ce genre d'"être" que NOUS avons librement décrit d'emblée? Dites, certains-es, pouvez-vous NOUS citer une seule qualité humaine-spirituelle-culturelle de votre sinistre frère, le fasciste sarr oumar? Ou bien, certains-es, veuillez NOUS exposer sur vos balances, en déséquilibres permanents, les tares-défauts de votre sinistre frère, le fasciste sarr oumar, d'une part, d'autre part, ses qualités qualitatives-démontrables-démonstratives. Comme ça, les dignes-nobles peupes sénégalais auraient la confirmation ou non de leurs certaines certitutdes basées sur des cruels faits concrétement concrets, démontrables et démonstratifs, relatifs à votre mesquin frère, le fasciste sarr oumar. Merci d'avance, sinistres certains-es...pour votre sinistre disponibilité!
quel ignoble et grotesque personnage.....non seulement il ment mais il a insulté tous les honnêtes et probes gens de ce pays qui vivent de la sueur de leur front.
karim c'est pas un homme de valeur mais un voleur ..... alex ,, boy djinné , idy , etc et jen passe si toutes ses creatures nauseabondes , malfaitrices , immondes sont des hommes de valeur pour notre senegal ....alors là je devrai retourner à l'ecole , prendre des leçons de civisme et de français et faire ainsi mon aggiornamento . wa salam
Notre précédente libre contribution, est victime d'un charcutage. Si on se donnait sincérement de la peine pour lire attentivement-humblement entre les lignes de notre contribution charcutée, on aurait découvert les sains-saints éléments didactiques, pédagogiques qui l'enchâssent. Si les didactiques-pédagogies ont partout dans le monde civilisé les mêmes racines-fondements-objectifs, elles doivent toutefois être adaptées à la nature naturelle des "êtres" auxquels elles sont exclusivement destinées. En d'autres termes, "parler aux gens en fonction de leur entendement". Dans ce cas précis notre libre contribution victime de charcutage ne pouvait être destinée qu'à certains-es, réputés-es crânes arides, esprits faibles, terriblement limités-es, inaptes de changer leurs sombres regards, afin d'être à même d'avoir l'honneur de constater enfin les réalités réelles du Sénégal éternellement archi-pluriel en tout de tout en TOUT, pour ensuite apprendre à apprendre de ne plus se limiter à tenter de raisonner, d'agir seulement en fonction de leurs ignobles culture-nature-éducation-langue-us-coutume-modes-manières-façons sources uniques des horreurs-terreurs-déshonneurs-misères-drames-HONTES qui ravagent-souillent-déchirent-abîment le Sénégal depuis le 01.01.1963. Comment s'absternir de se faire des autocritiques, des examens de consciences, des introspections? Le Sénégal est dans les merdes depuis 53 ans! Comment? Pourquoi? Quand? Qui? Où? CHANGEZ! MESQUINS "êtres". Nous y reviendrons! Autrement! Avec d'autres argumentatifs arguments argumentés! Dans la dignité-courage-noblesse! PULAGU authentique oblige!
Cela ne doit surprendre personne que Oumar Sarr nous sorte une telle déclaration. Au PDS, les valeurs sont le vol, le crime, les détournements de deniers publics, l'enrichissement illicite et j'en passe.
“Mysticisme, soufisme. Très tôt dans l’histoire de l’islâm, des Femmes et des hommes en soulignent les finalités supérieures, qui sont le rapprochement avec Dieu et Son amour (L’aimer et être aimer par Lui). Hassa al-Basrî (mort en 728) évoque l’éloignement du monde, la tristesse de la vie et l’espérance de la proximité de Dieu. Sa quête fait écho à celle de la célèbre mystique Râbi`a al- `Adawiyyah (793) qui, elle, n’entend agir que mue par le seul amour de Dieu, non par l’espérance du paradis et la crainte de l’enfer. Sans doute cette quête de Dieu dans l’amour nécessite-t-elle de respecter le rituel et les règles, mais Râbi `a les considère comme des moyens et des conditions. Il ne saurait être question de cautionner un formalisme qui se suffirait des rituels comme justification de la foi».
«Un verset du Coran (Sourate 49, verset 14), interpellant des Arabes des tribus bédouines qui ont accepté l’islâm, marque clairement cette différence: Les Arabes (Bédouins) disent : «Nous avons cru». Dis: «Vous n’avez pas cru», mais dites plutôt : «Nous nous sommes soumis [aux règles]» car la foi n’est pas entrée dans votre cœur». Or l’islâm a dessiné une Voie (sharî ‘ ah), une méthodologie et une praxis (minhaj) pour y parvenir et ainsi s’élever dans la proximité de l’Unique. Le courant mystique originel des «zuhhâd», qui privilégiait l’éloignement du monde pour se concentrer sur l’amour exclusif de Dieu, s’est peu à peu diversifié et institutionnalisé à travers des cercles (turuq, sing. Tarîqah) et autres structures locales (ribât, khanaqah, zawiyah), avec des ramifications nationales et internationales. Chacun de ces cercles a développé sa méthodologie, avec ses étapes, ses niveaux et ses stations (marâtib, maqâmât) auquel le croyant initié (murîd) doit accéder par l’effort pour s’approcher de Dieu et vivre des états spirituels de grande intensité (ahwâl) qui sont des dons de Dieu».
«Les enseignements sûfîs sont très divers, mais on peut mettre en évidence un nombre de points communs : la finalité de la foi en Dieu est Son amour ; les rituels et les actions, impératifs en tant que moyens de libération de l’égo, n’en sont pas la finalité ; l’élévation vers Dieu nécessite des enseignements, une initiation et des étapes et se présente comme un voyage (à l’image du pèlerinage, dont c’est le sens symbolique) ; enfin, la foi doit être visible par l’agir, le comportement et la vertu, autant de signes qui indiquent et confirment l’évolution spirituelle du croyant en quête d’initiation».
«Au sein de la tradition musulmane, les mystiques sont ceux qui ont le plus insisté sur le comportement, la moralité et l’éthique (akhlâq), mettant en avant un rapport triangulaire important : le respect du rituel et des règles doit avoir pour conséquence le changement de comportement ; cette réforme du comportement clarifie la finalité des règles et du rituel ; enfin, tous deux – le rituel respecté et le comportement réformé – permettent la réalisation et l’élévation spirituelles du fidèle qui s’approche de Dieu, libéré de son ego et empli de Son amour. Formulé en ces termes, ce message est le cœur de l’islâm, au-delà de la diversité des écoles et des tendances».
«Il existe un nombre incalculable de cercles mystiques à travers le monde. Certains sont restés fidèles à la tradition ; d’autres, non sans excès, ont voulu se déprendre de l’obsession de la règle au point de la négliger, ou encore ont insisté sur des éléments qui pouvaient s’apparenter à des déviations vis-à-vis des exigences de la foi. Des cercles anciens et contemporains, sérieux et rigoureux, préservent la tradition de l’enseignement mystique originel. D’autres ont fait du guide ou du maître spirituel un être presque parfait ou infaillible que l’on vénère aveuglement, comme s’il s’agissait d’un dieu ou d’un saint».
«De telles dérives relèvent du «shirk» (qui consiste à associer un être à l’adoration de Dieu unique). Le rituel prescrit est parfois négligé et il arrive que certaines pratiques commandées ou recommandées soient, dans l’ordre du credo (‘aqîdah), des innovations réprouvées (bida). Comme le littéralisme ou le légalisme, le soufisme n’est donc pas épargné par les dérives qui le minent de l’intérieur, à tel point que certains cercles ont été instrumentalisés à des fins politiques et fort peu mystiques».
«De façon schématique, quatre principes (ou conditions) permettent d’identifier, de prime abord, un cercle mystique respectueux de la tradition musulmane : 1) le rituel et les règles de bases sont respectés (certaines pratiques peuvent être ajoutées, mais non pas retranchées, comme l’indique la tradition prophétique) ; 2) le guide ou le maître rapproche de Dieu et non de lui-même, au grè d’une vénération qui le sacralise dangereusement ; 3) le cercle ou l’ordre sûfî ne sert aucun régime ou pouvoir politique, il préserve jalousement son indépendance ; 4) l’institution ne soustrait pas de l’argent aux fidèles à des fins peu transparentes ou pour le seul profit du guide et de son entourage, qui vivent dans le luxe tout en appelant les fidèles à dédaigner les biens de ce monde».
«Pour réelles et observables qu’elles soient dans différents courants, ces dérives ne suffisent pas à entacher la crédibilité de la longue tradition sûfî, qui n’a de cesse de rappeler aux musulmans que les règles ne peuvent s’appliquer sans compréhension, que la peur de Dieu et la culpabilité ne sont pas des garanties d’élévation et, enfin, que la voie du salut et de la félicité passe par la réforme de soi dans la confiance». Fin de citation. Certains-es....?
vriament le PDS est entrain de rendre le dernier soupir avec des energumènes comme oumar sarr, je comprends maintenant pourquoi ils tiennent à avoir un karim wade à leur tete. il n y a que des nullards dans ce parti...
Omar tu es gordjiguene un hom de valeur ne déchire pzd une convocation de la gendarmerie devant tele tu ne merite pas d etre le cord du pds borom guemegne bou toy baal youttttt
Mr Sarrrr les hommes de valeur sont en rupture dans ce monde il n y a plus d sommes de valeurs . seuls les voleurs' les vendeurs de drogue, les assassins, les menteurs, les violeurs, les usurpateurs, les gens qui commettent l adultères avec les femmes de leur collègue, les hommes qui croient il n y a pas de rassemblement demain devant Dieu, qui croient que après la mort c est fini , les gent qui croient que quand on leur confié des deniers publique c est pour construite leur belle maison épousé une belle femme, et un compte en banque bourré de ribas c est ces gens là qui méritent la prison et toi tu en fais parti. Ces hommes de valeurs dont tu parles ce sont des hommes qui investis dans les champs de Dieu, les soufis, et pas des politiciens qui passent leur temps à mentir, à voler, à faire l adultaire, à trahir leur prochain, à tromper se faire passer pour des gens bien, alors que il en est rien.
Vous tous qui insultez Oumar Sarr ici, vous ne vous en êtes jamais privés pour le faire depuis toujours! Vous n' y manquez pas, à chaque fois qu' il dit quoi que ce soit... comme lorsqu' il prononce cette fois-ci une toute simple boutade au PR macky! Car ce n' est qu' une boutade et vous le savez mieux que quiconque! Mais qu' à celà ne tienne, c' est pour vous du pain bénit pour encore déverser votre bassesse et votre venin sur lui! NIAKKA NGUÈN DIOMM LOOOL!!!
ça se comprend. Ce Monsieur n'a pas de charisme. Le verbe lui manque énormément de même que l'éducation, le savoir et la culture. C'est dommage pour le PDS.
Une chose est sur c'est un homme qui a les couilles et la politique n'est rien d'autre que ça, il va continuer à defier Macky ce n'est que le début du movie.
Une chose est sur ce mec peut être la tête de liste du PDS si Karim est toujours mis hors jeu par l'actuel gouvernement. Car il reste fidèle au parti et comme digne héritier de Wade il n'a pas froid aux yeux il va défier chaque fois que nécessaire le président.
VOILA le SENEGAL daujourdhui tu insultes tu voles tu commets des meurtres tu mens,tu fais la prison tu sors tu es un homme de valer gaayi diok jonta niou wakh ak yeene poly tique chien
Si tu es un homme de valeur et conteste les raisons de ton incarcération, et estime que tu as parfaitement raison, il suffit de les réitérer publiquement et on verra ce qu'on verra! Gueule de con, Il n 'y a pas de lion du walo qui tienne. Le Sénégal n'est pas le walo!
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55 Commentaires
Anonyme
En Janvier, 2016 (08:18 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (08:18 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (08:25 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (08:26 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (08:28 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (08:34 AM)Bandellame
En Janvier, 2016 (08:36 AM)Lynx
En Janvier, 2016 (08:45 AM)à croire ce con les tueurs, violeurs, voleurs, dealers, prostitués etc. sont des hommes valeurs !!!! il se fout de qui cet énergumène ????
Il est vraiment temps qu'on cesse au Sénégal de valoriser le passage en prison.
La prison c'est d'abord une MAISON DE CORRECTION à ce que je sache on ne corrige pas ce qui est déjà bon.
Payenne
En Janvier, 2016 (08:48 AM)Iba Mbodji
En Janvier, 2016 (08:55 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (09:03 AM)Y'A DE QUOI AVOIR PEUR.....
Foulbés,
En Janvier, 2016 (09:11 AM)Foulbés
Anonymesawallo
En Janvier, 2016 (09:14 AM)Kheuz
En Janvier, 2016 (09:16 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (09:17 AM)King Dou
En Janvier, 2016 (09:22 AM)karim c'est pas un homme de valeur mais un voleur ..... alex ,, boy djinné , idy , etc et jen passe si toutes ses creatures nauseabondes , malfaitrices , immondes sont des hommes de valeur pour notre senegal ....alors là je devrai retourner à l'ecole , prendre des leçons de civisme et de français et faire ainsi mon aggiornamento . wa salam
Deug
En Janvier, 2016 (09:27 AM)un bon musulman ne ment pas.
un homme de valeur n invente pas.
un homme de valeur ne prend pas la femme d autrui .
Un homme de valeur ne vole pas.
Cela prouve que la justice sénégalaise est indépendante.
C tout ....
Anonyme
En Janvier, 2016 (09:36 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (09:41 AM)Baddiop
En Janvier, 2016 (09:47 AM)Foulbés,
En Janvier, 2016 (09:55 AM)Foulbés,
Anonyme
En Janvier, 2016 (09:56 AM)amateur de whisky
Anonyme
En Janvier, 2016 (10:26 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (10:42 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (10:42 AM)Anonyme Salam
En Janvier, 2016 (10:58 AM)Foulbés,
En Janvier, 2016 (11:02 AM)«Un verset du Coran (Sourate 49, verset 14), interpellant des Arabes des tribus bédouines qui ont accepté l’islâm, marque clairement cette différence: Les Arabes (Bédouins) disent : «Nous avons cru». Dis: «Vous n’avez pas cru», mais dites plutôt : «Nous nous sommes soumis [aux règles]» car la foi n’est pas entrée dans votre cœur». Or l’islâm a dessiné une Voie (sharî ‘ ah), une méthodologie et une praxis (minhaj) pour y parvenir et ainsi s’élever dans la proximité de l’Unique. Le courant mystique originel des «zuhhâd», qui privilégiait l’éloignement du monde pour se concentrer sur l’amour exclusif de Dieu, s’est peu à peu diversifié et institutionnalisé à travers des cercles (turuq, sing. Tarîqah) et autres structures locales (ribât, khanaqah, zawiyah), avec des ramifications nationales et internationales. Chacun de ces cercles a développé sa méthodologie, avec ses étapes, ses niveaux et ses stations (marâtib, maqâmât) auquel le croyant initié (murîd) doit accéder par l’effort pour s’approcher de Dieu et vivre des états spirituels de grande intensité (ahwâl) qui sont des dons de Dieu».
«Les enseignements sûfîs sont très divers, mais on peut mettre en évidence un nombre de points communs : la finalité de la foi en Dieu est Son amour ; les rituels et les actions, impératifs en tant que moyens de libération de l’égo, n’en sont pas la finalité ; l’élévation vers Dieu nécessite des enseignements, une initiation et des étapes et se présente comme un voyage (à l’image du pèlerinage, dont c’est le sens symbolique) ; enfin, la foi doit être visible par l’agir, le comportement et la vertu, autant de signes qui indiquent et confirment l’évolution spirituelle du croyant en quête d’initiation».
«Au sein de la tradition musulmane, les mystiques sont ceux qui ont le plus insisté sur le comportement, la moralité et l’éthique (akhlâq), mettant en avant un rapport triangulaire important : le respect du rituel et des règles doit avoir pour conséquence le changement de comportement ; cette réforme du comportement clarifie la finalité des règles et du rituel ; enfin, tous deux – le rituel respecté et le comportement réformé – permettent la réalisation et l’élévation spirituelles du fidèle qui s’approche de Dieu, libéré de son ego et empli de Son amour. Formulé en ces termes, ce message est le cœur de l’islâm, au-delà de la diversité des écoles et des tendances».
«Il existe un nombre incalculable de cercles mystiques à travers le monde. Certains sont restés fidèles à la tradition ; d’autres, non sans excès, ont voulu se déprendre de l’obsession de la règle au point de la négliger, ou encore ont insisté sur des éléments qui pouvaient s’apparenter à des déviations vis-à-vis des exigences de la foi. Des cercles anciens et contemporains, sérieux et rigoureux, préservent la tradition de l’enseignement mystique originel. D’autres ont fait du guide ou du maître spirituel un être presque parfait ou infaillible que l’on vénère aveuglement, comme s’il s’agissait d’un dieu ou d’un saint».
«De telles dérives relèvent du «shirk» (qui consiste à associer un être à l’adoration de Dieu unique). Le rituel prescrit est parfois négligé et il arrive que certaines pratiques commandées ou recommandées soient, dans l’ordre du credo (‘aqîdah), des innovations réprouvées (bida). Comme le littéralisme ou le légalisme, le soufisme n’est donc pas épargné par les dérives qui le minent de l’intérieur, à tel point que certains cercles ont été instrumentalisés à des fins politiques et fort peu mystiques».
«De façon schématique, quatre principes (ou conditions) permettent d’identifier, de prime abord, un cercle mystique respectueux de la tradition musulmane : 1) le rituel et les règles de bases sont respectés (certaines pratiques peuvent être ajoutées, mais non pas retranchées, comme l’indique la tradition prophétique) ; 2) le guide ou le maître rapproche de Dieu et non de lui-même, au grè d’une vénération qui le sacralise dangereusement ; 3) le cercle ou l’ordre sûfî ne sert aucun régime ou pouvoir politique, il préserve jalousement son indépendance ; 4) l’institution ne soustrait pas de l’argent aux fidèles à des fins peu transparentes ou pour le seul profit du guide et de son entourage, qui vivent dans le luxe tout en appelant les fidèles à dédaigner les biens de ce monde».
«Pour réelles et observables qu’elles soient dans différents courants, ces dérives ne suffisent pas à entacher la crédibilité de la longue tradition sûfî, qui n’a de cesse de rappeler aux musulmans que les règles ne peuvent s’appliquer sans compréhension, que la peur de Dieu et la culpabilité ne sont pas des garanties d’élévation et, enfin, que la voie du salut et de la félicité passe par la réforme de soi dans la confiance». Fin de citation. Certains-es....?
Foulbés.
Anonyme
En Janvier, 2016 (11:07 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (11:37 AM)Contraire
En Janvier, 2016 (11:44 AM)Vos valeurs ne sont pas les nôtres: gardez les vôtres et nous gardons les nôtres!
Anonyme
En Janvier, 2016 (11:46 AM)Africando
En Janvier, 2016 (11:52 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (12:13 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (12:24 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (12:37 PM)Batch
En Janvier, 2016 (13:09 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (13:20 PM)-Mais nak, Barou moolène gueuneu euss téméri diounni yonn!
Ay ca rék
Xxx3
En Janvier, 2016 (13:21 PM)Mahamba
En Janvier, 2016 (13:55 PM)Le Niominka
En Janvier, 2016 (13:58 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (14:10 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (15:15 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (16:02 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (16:18 PM)Souroumigan
En Janvier, 2016 (16:32 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (16:37 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (16:46 PM)Efo
En Janvier, 2016 (17:32 PM)Daz
En Janvier, 2016 (17:42 PM)Rignseu
En Janvier, 2016 (18:15 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (18:24 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (18:44 PM)Heuch
En Janvier, 2016 (21:21 PM)Kalle
En Janvier, 2016 (06:51 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (08:29 AM)Participer à la Discussion