
Une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux et autres sites d’informations, depuis quelques jours, montre une séance de punition publique d’une femme prise pour des faits d’adultère dans le village de Guédé Bousso, une bourgade à la lisière de Touba. Un châtiment de cent coups de fouet lui a été infligé, devant les caméras et des personnes conviées comme témoins pour faire l’exemple. La première question qui viendrait à l’esprit est de se demander si la femme a commis l’adultère seule. Bien sûr que non ! Quel sort a été réservé à son partenaire ? Seule la femme a été jetée en pâture, humiliée ainsi publiquement et violentée. Son partenaire de l’autre sexe est épargné, sans doute protégé par ces juges qui sont tous des hommes. Une certaine forme de discrimination à moins qu’on ne considère que la femme pécheresse aurait violé son partenaire. Mais l’histoire ne le dit pas ; comme elle ne dit pas non plus comment le bourreau a installé la condamnée sur ses propres cuisses et ne s’est nullement pressé que la drôlesse se lève.
L’autre problème moral est de savoir si le ou les bourreaux eux-mêmes peuvent lever la main pour dire n’avoir jamais péché car dans ce bas monde, chacun a ses petits ou grands péchés à l’occasion. Mais là n’est pas le propos. Il se trouve que personne ne pourra dire n’avoir pas regardé cette vidéo, mais tout le monde semble détourner le regard, faire comme si le fait ne le regardait pas, ne le concernait pas. Pourtant si…
L’Etat ne peut pas faire la politique de l’autruche
Au premier chef, les autorités de l’Etat ne peuvent pas faire le dos rond devant une telle situation attentatoire aux droits humains. Ce traitement cruel, inhumain et dégradant est aux antipodes de la règle de droit dans notre pays. Plus grave, en laissant s’installer et prospérer cette forme de Justice privée ou parallèle, l’Etat se dépouille de l’une de ses principales missions régaliennes. L’acte de flagellation de personnes adultérines à Guédé village ne serait pas le premier. Les médias avaient relayé un acte similaire dans le village de Thiénaba en novembre 2020. On évoque aussi les mêmes pratiques dans d’autres contrées comme dans le village de Maîmounatou (Sagatta) et à Médina Gounass dans la région de Kolda. On voudrait qu’une loi islamique, la charia, y soit de rigueur, or les seuls cas recensés d’application de cette charia sont relatifs à des affaires de sexualité. Cela pousse à se demander si ces mollahs ne se préoccupent que des questions de sexualité ?
L’urgence pour les autorités républicaines d’intervenir pour mettre un terme à de telles pratiques s’impose d’autant que le risque est encore grand que d’autres échelles de peines édictées par cette charia pourraient se voir appliquer un jour dans ces localités. Que dira-t-on si demain un voleur se fait amputer d’une main ou des deux mains ? Ou encore que la lapidation à mort ou la pendaison publique soit appliquée pour punir un quelconque crime ? Dans quelles conditions cette forme de Justice s’exerce-t-elle ? Assurément, la passivité de l’Etat a fait le nid de la prolifération de milices d’obédience religieuse qui ont fini par se muer en polices religieuses pour arrêter et bastionner jusqu’à des personnes trouvées en train de fumer une cigarette ! Des femmes présumées être des travailleuses du sexe, trouvées dans des lieux privés, ont été molestées et certains de leurs bourreaux les ont punies en profitant de ces proies pour satisfaire leur libido. D’autres femmes mal vêtues à leur goût, se font arracher publiquement leurs coiffures ou leurs faux-cils. Quid de ces gaillards, torse nu, avec toute leur masculinité offerte aux regards de femmes et qui passent pour être des fidèles dévoués ? C’est une certaine forme d’injustice de sexe qu’on constate jusqu’à voir des femmes abattues d’une balle dans la tête ou éventrées par leur époux pour avoir osé demander le divorce. Ces féminicides passent presque inaperçus alors que l’indignation, la réprobation et la condamnation sont systématiques et générales, à chaque fois qu’un homme a eu le malheur d’être ébouillanté ou même battu par sa femme.
Les autorités publiques marchent sur des œufs et poussent le «ponce pilatisme» jusqu’à proscrire l’intervention des Forces de l’ordre dans des localités. On a vu des milices religieuses arrêter (on ne sait dans quelles circonstances et conditions) des personnes et les conduire, dans un rare instant de mansuétude, devant la police d’Etat qui prend ainsi la suite. Quelle forme de coopération pourrait-on envisager entre une police religieuse et une police républicaine d’un Etat démocratique, alors qu’elles ne partagent pas les mêmes règles de droit positif ? Le Président Abdou Diouf avait eu l’habileté de convaincre le Khalife général des Mourides, Serigne Abdoul Ahad Mbacké (1968-1989), à installer les forces de police d’Etat dans la ville de Touba, qui tendait à devenir un repaire de malfrats, de bandits de tout acabit et de trafiquants de drogue. Par exemple, quand des unités cynophiles avaient été déployées dans la ville, l’émoi était tel que le khalife a pu instaurer d’autorité et faire accepter la présence des chiens renifleurs dans toute l’enceinte de la ville, avec une formule restée dans les mémoires : «Ces chiens ne traquent que leurs semblables !»
Se faire tuer pour avoir demandé le divorce, se faire flageller pour avoir forniqué
Le Sénégal a la particularité de compter de nombreux militants des droits de l’Homme, qui ne relèvent que les exactions présumées imputables à la puissance publique. Encore que sur ce registre, leurs sujets de prédilection sont les questions électorales. Ainsi, aucune de nos célèbres grandes organisations humanitaires ne s’est sentie concernée par la dernière flagellation publique fort médiatisée de Guédé Bousso. On a aussi du mal à trouver une déclaration condamnant ou s’émouvant des derniers cas de crimes contre des femmes qui n’en pouvaient plus de rester dans leur ménage et qui souhaitaient le quitter. Les organisations de droits des femmes sont encore devenues plus discrètes ou aphones, depuis qu’elles avaient fait montre d’une lâcheté qui leur collera éternellement à la peau dans l’affaire opposant la dame Adji Sarr au leader du Pastef, Ousmane Sonko.
La série macabre est sans fin. En l’espace de quelques jours, Nafissatou Diédhiou a été tuée par son époux à Grand-Yoff (Dakar), Fatou Samb a été enlevée, séquestrée, violée à Kaolack, S. Barro a reçu, à Matam, une balle dans la tête du fait de son époux qui lui refusait le divorce, Aminata Touré a été tuée à Saré Mbemba Touré (Kolda). Dieynaba Sané a été éventrée à Bounkiling (Sédhiou) par son époux qui lui refusait le divorce. Le plus triste est qu’on en oublie ou que de nombreux cas du genre ne sont pas signalés, camouflés, cachés par les familles. La bonne preuve que ces pauvres victimes avaient bien raison de chercher à quitter leurs maris est que ces derniers ont montré leur véritable nature de bourreau en leur ôtant la vie.
Elles agonisaient dans leur ménage, mouraient, et leur mort a été précipitée par leur demande le divorce. Leur supplice se révèle être une certaine forme de quadrature du cercle car les rares femmes qui échapperont à l’emprise de leur mari seront flagellées publiquement si elles s’aventuraient à refaire leur vie. Par contre, les hommes pourront continuer allégrement de tout se permettre. Si l’adultère devait être puni de cent coups de fouet, ils seraient bien nombreux à essuyer des milliers de coups.
La façon dont le Sénégal traite ses femmes donne l’impression que la promotion de valeurs humanistes et le combat pour la préservation de la dignité de tous se perdent. Notre consœur, Mame Woury Thioubou, n’a pu retenir un coup de gueule dans l’édition du journal Le Quotidien du 21 octobre 2022 quand elle écrit : «Sont-elles insensibles, apathiques ou simplement indifférentes au sort des femmes de ce pays ? Le silence de cathédrale, que servent les autorités de ce pays depuis qu’une suite d’assassinats de femmes a lieu, interroge.» Un pays ne peut se dire juste envers toutes et tous, si la moitié des citoyens qui le composent, est la première victime sans protection. Des hommes puissants, fortement présumés agresseurs sexuels, se baladent en bombant le torse parce qu’en définitive, toute la société est complice !
47 Commentaires
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En Octobre, 2022 (11:39 AM)Une petite recherche sur les conditions imposées pour attester un adultère ou une fornication, vous aurait permis de savoir que c'est quasi impossible d'appliquer cette punition, si ce n'est sur demande de la personne elle même.
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En Octobre, 2022 (13:12 PM)Merci Mr Le Journaliste Madiam
En Octobre, 2022 (13:55 PM)Diambal
En Octobre, 2022 (01:02 AM)Reply_author
En Octobre, 2022 (13:33 PM)Reply_author
En Octobre, 2022 (17:05 PM)Reply_author
En Octobre, 2022 (12:28 PM)Reply_author
En Octobre, 2022 (13:23 PM)Ces connards qui tiennent leur chapelet et se délectent de scène donnent l'impression d'être de gros pervers sadomasochistes en train de jouïr comme des taureaux dans leurs thiayas.
Je suis sûr que le tortionnaire lui même hésite à la battre directement avec la main pour à chaque coup pouvoir bien lui tripoter le popotin. Sathie plaisir ! Il faut que la gendarmerie enquête en profondeur sur cette affaire qui fait honte à tout le pays. Je ne serais guère surpris qu'elle ait été fouettée parce qu'elle a refusé le deal " donnant-donnant" que lui proposait le jury des grands barbares pervers qui la torturent. Si elle avait accepté, ce ne sont pas des coups de fouet qu'elle aurait reçus mais d'enormes coups de rein dont elle ne se serait pas remise avant longtemps.
CECI EST UN VIOL ET DOIT ÊTRE PUNI COMME TEL
Yeet
En Octobre, 2022 (11:08 AM)Amadou
En Octobre, 2022 (11:10 AM)Une femme célibataire qui tombe enceinte a forcément couché avec un homme.
Mais pour la charia si l'homme ne se dénonce pas personne ne peut rien contre car impossible de trouver les témoins qu'il faut pour le punir.
Quand à une fille la grossesse est une preuve suffisante.
Une femme aussi peut se dénoncer ayant pour objectif de se repentir comme un homme peut le faire.
Mais dénoncer le partenaire ou la partenaire avec qui il ou elle a commis ce péché sans les témoins est une fautes qui alourdit la sanction csr il est considéré comme accusation.ssnd preuve.
Si vous défendez la liberté, laisser les gens le droit de choisir là justice qu'ils veulent s'appliquer et choisissez le vôtre. Si vous refusez à d'autres de choisir leur propre justice c'est où la liberté ?
Ou croyez-vous plus intelligent que les autres qui ne se voient pas dans le système que vous demandez.
Ils n'ont pas essayé de vs imposer leur système pourquoi vouloir essayer de leur imposer le vôtre ?
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En Octobre, 2022 (11:48 AM)Reply_author
En Octobre, 2022 (13:36 PM)En effet, comme l’erreur est humaine, pour se rattraper, une sage femme s’est présentée ce lundi 17/10/2022 à la ville sainte plus connue sous le nom de Touba et plus précisément à Guédé Bousso le sol de l’éminent scientifique El hadj Mbacké BOUSSO. L’unique objectif de ce voyage était de veiller à la Charia et donc de demander le châtiment.
Les débats et commentaires suscités par cet acte restent étonnants et feront certainement plaisir aux non croyants et certains détracteurs de l’Islam.
J’ai même vu un commentaire supprimé quelque minute plus tard sur lequel une personne mal intentionnée estimait la distance entre la femme à corriger et le Cheikh «Correcteur » à quelques centimètres près.
Au nom de Dieu j’étais présent au moment du déroulement des faits et la distance séparant la femme et le monsieur était d’environ quelques mètres. Et d’ailleurs même si ce qu’il prétend était vrai nous en tant que connaisseur de l’Islam on ne laisserait pas cela passer.
Un autre commentateur a également affirmé qu’un repentir sincère en vaut mieux que d’être exposé devant un public.
Moi-même Cheikhouna j’ai assisté ici à Guede plus de cent (100) fois à des événements pareils et il n y avait pas d’appareil Caméra ou de photo.
Depuis 1902 cette demande de l’Islam est appliquée à Guede BOUSSO et cela n’a jamais été filmé.
Dans le saint Coran, on retrouve un verset nous demandant de pratiquer cette activité aussi bien sur les Hommes que sur les Femmes sans aucune arrière pensée ou sentiment. Et cela devant un public. Si on se réfère au point de vue de certains commentateurs ce verset ne serait plus donc d’actualité.
Le fondateur du Mouridisme avait donné à Elhadji Mbacké BOUSSO l’ordre de pratiquer cette activité à Guede BOUSSO. Et pourtant tous les deux connaissaient mieux que nous l’existence d’autres moyens de repentir.
Je pose une question : est ce que les musulmans doivent désobéir les ordres de l’Islam pour pratiquer les conseils de certains ignorants ?
Une autre personne dira à son tour que la pratique ne doit pas être effectuée en public. Ce qui est totalement faux. Alhamdoulilah personne ne pourra reconnaitre la Sage femme sur la Vidéo. Moi-même qui étais sur les lieux je n’ai pas parvenu à voir son visage !
Déjà l’adultère n’a plus la même considération qu’avant devant la population sénégalaise. Certains vont même jusqu’à inviter leurs amis au huitième jour de la naissance des bébés hors mariage. Et donc à quoi bon de fuir le public lors qu’une personne (femme ou homme) voulant se rattraper vient à Guédé et demande que cette activité divine soit appliquée sur elle ?
En essayant de se moquer de ce qui s’est passé, un autre dira que seule la femme est corrigée alors que l’adultère se fait à deux (2). Soit il a oublié ce qu’il avait apprit à l’élémentaire ou qu’il ne savait même pas qu’en pensant à la bonne santé de l’enfant qui est dans le ventre de sa mère, l’Islam n’applique cette règle sur la maman qu’après la naissance de l’enfant.
Qui lui dit que le père n’est pas déjà passé à Guede pour repentir durant les neufs (9) mois de grossesse ? Peut être qu'il pense qu’à Guédé nous avons une justice autoritaire qui va chercher et forcer les personnes.
J’en ai vu un autre qui écrit que « le Sénégal est un pays laïc ». Si tel est le cas pourquoi ne pas contester le fait qu'à Touba entre autres écouter la musique, fumée la cigarette jouer au football sont interdits. Or Guédé est un quartier au sein de Touba.
Le souci d’un autre commentateur est : est ce qu’ après la publication de cette vidéo les adultères vont continuer à venir à Guédé ?
Je lui réponds que les Imams ne savaient même pas qu’ils étaient en train d’êtres filmes et la population sénégalaise est bien au courant de cela.
J’en ai vu d‘autres questions et commentaires mais d’un niveau intellectuel très bas.
Le prophète disait que l’Islam verra ses défenseurs affaiblis de plus en plus jusqu’à la fin du monde.
Ce qui est marrant dans tout ça c’est que la plus part des personnes qui doivent être jugées se cachent derrière les claviers pour décourager les courageux tel que cette Brave Femme.Et toi Madiambal tu fais partie de cet élite qui sont les représentant de Satant sur TERRE. Tu ferait mieux de fermer ta bouche sur des choses pareille
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En Octobre, 2022 (12:31 PM)Vous de Guede allez-vous faire foutre.
Djibson
En Octobre, 2022 (09:18 AM)Niou wakh ngay menacer ? Brutalité de con.
Il Faut Préciser..
En Octobre, 2022 (11:20 AM)Je précise que personne n'a jamais été forcée, qu'il soit homme ou femme, à subir cette punition. Ils viennent tous volontiers.
Abdoulaye Diedhiou
En Octobre, 2022 (11:21 AM)sinon les bourreaux seraient arretés à la minute qui suit . Malheureusement nous vivons dans une porcherie à ciel ouvert et non dans un Etat.
Moussa Ndiaye
En Octobre, 2022 (11:29 AM)Qu'Allah continue de protéger l'islam et les musulmans des ennemis apparents et ou cachés.
Et sur la forme, vous parlez de la "drôlesse". Pitoyable.
Galsencommevous
En Octobre, 2022 (11:36 AM)Charia
En Octobre, 2022 (11:38 AM)Reply_author
En Octobre, 2022 (13:45 PM)Une personne qui choisit d'être musulman et qui demande qu'on lui applique la loi divine et vous voulez le denier ce droit. Mais de quel droit voulez vous interdir aux gens de choisir et de vivre leur religion ?
A moins que le Sénégal ne soit plus laïque.
Djibson
En Octobre, 2022 (09:48 AM)Mafall
En Octobre, 2022 (12:11 PM)Euskeye
En Octobre, 2022 (12:44 PM)Lass
En Octobre, 2022 (12:53 PM)Ceux qui prétendent appliquer sa justice sont-ils exempts de reproches?
Pour une fois ce mercenaire du maquis dit vrai
Pour une fois, je ne condamnerai pas l’écrit de Madiambal Diagne malgré tout ce mal que je pense de lui. Contrairement à lui, la première question qui me vient à l’esprit n’est pas avec qui la dame a forniqué. C’est plutôt pourquoi ce genre de de sanctions illégales s’exercent dans l’impunité dans notre république qui n’est pas islamique. Quand le M’backé-M’backé a été confondu d’adultère, s’est-on dépêché de lui mettre une seule gifle sur la place publique ?
Islam
En Octobre, 2022 (13:19 PM)Jai comme l'impression que nous perdons nos repere et nos valeur de jour en jour
Sacre Madiambal
Lg18
En Octobre, 2022 (13:35 PM)Rahan
En Octobre, 2022 (13:57 PM)Kalz
En Octobre, 2022 (14:06 PM)Il aurait fallu les traiter différemment pour leur donner tout le pods qu'ils méritent.
La société Sénégalaise dans son ensemble portera la responsabilité de cette discrimination insupportable envers nos mamans, nos soeurs, nos filles.
L'état ou ce que l'on appelle comme tel au Sénégal, à force de fermer les yeux et de s'agenouiller devant les chefs religieux, a fini de fait, par instaurer une police et une justice religieuses, et est donc responsable des futurs et sanglants conflits à venir.
Sourate Maidah v49: Juge alors parmi eux d'après ce qu'Allah a fait descendre. Ne suis pas leurs passions, et prends garde qu'ils ne tentent de t'éloigner d'une partie de ce qu'Allah t'a révélé. Et puis, s'ils refusent (le jugement révélé) sache qu'Allah veut les affliger pour une partie de leurs péchés. Beaucoup de gens, certes, sont des pervers.
Excès de pêche entraîne le rijs et perversité chez la personne, le rijs est une impureté intérieure tout ça amène à voir la charia comme insupportable. Répentez vous, au lieu de choisir la voix des mécréants qui ne sont qu impuretés mais ça vs n êtes pas clairvoyants pour le comprendre
Elle a choisi d expier ses peches ici bas. Le cas ne concerne personne d autres
Ngardadiou
En Octobre, 2022 (16:23 PM)Diambe
En Octobre, 2022 (20:48 PM)Une telle position ne nous surprend guère.
Haymout Mbodj
En Octobre, 2022 (03:44 AM)Vis
En Octobre, 2022 (09:22 AM)Reply_author
En Octobre, 2022 (10:27 AM)Une simple video diffusée dans le net. Nul n'en connaît l'origine ni le contexte et on se permet de broder un article dans lequel chaque verbe est censé se conjuguer au conditionnel. Et Les esprits s'échauffent, les avis divergent, le ton monte, la relIgion est pointée du doigt, le doute est installé, une communauté religieuse est prise pour cible, une fois de plus, une fois de trop. Pour du vent. Mais qu'importe, la polémique est lancée. On a sali, on a eu l'occasion de défendre publiquement "leur" féminisme, "ils" apprécieront , le but est atteint.
Tout l'art de la désinformation!
Il y a journaliste de terrain et il y a journaliste de salon parfois appelé journaliste alimentaire.
Un journaliste qui se respecte aurait fait un minimum d'enquête avant de prendre la plume.
Toute personne mature attendrait aussi des éléments d'enquête plus fiables avant de se prononcer.
Mandouté
En Octobre, 2022 (11:24 AM)Samayone nekoussi
Non
En Octobre, 2022 (16:10 PM)Dueg Rek
En Novembre, 2022 (10:32 AM)