« Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue », Apocalypse 14.7
« Ô croyants! Craignez Allah et efforcez-vous de trouver le moyen de vous rapprocher de Lui! », 35.5
Il est temps que l’on se dise certaines vérités.
Au Sénégal en 2023, il semblerait que l’on ait peur de dire la vérité, de désigner un chat par son nom, quitte à raser les murs, à surfer sur la vague populiste et les fatwas des dieux populaires du moment, et à se censurer de peur de s’assumer et de subir le terrorisme des talibans et le pronunciamiento de leur émir. On aurait plus peur de déplaire aux insurgés islamistes et rebelles affiliés que de la crainte révérencielle de tout croyant envers Dieu Subhana wa’ Ta’ala. Il semblerait même qu’en dehors des vaillantes et valeureuses Forces de Défense et de Sécurité de l’Etat du Sénégal, et de leur Commandant suprême, il n’y ait plus de « garçons » au Sénégal. Seuls les femmes osent dénoncer et mettre des mots sur leurs maux et les citoyens qui ont reçu éducation, instruction, formation de toute la société.
Que des pleureurs, des pleurnicheurs, des démissionnaires, de Normands adeptes du « p’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non ». Des attitudes ambiguës, évasives, pas fiables, de grands consommateurs de « mais » et de « si », avec lesquels on ne sait sur quel pied danser. Pire que l’incertitude de ces pensées précaires, le changement d’avis sans crier gare et la rétractation. Les gens de maintenant, y compris certains leaders politiques, universitaires et intellectuels, ont leur dit (wakh) et leur dédit (wakhet), au gré de la propagande des radicaux islamistes et des fluctuations des foules qui ont passé Dakar à feu et à sang.
On voudrait nous faire passer les pillages, les vols, les cambriolages, les saccages, les actes d’incivisme, les viols d’employées sur leur lieu de travail, les autodafés à l’université, les incendies des pyromanes, pour des actes révolutionnaires. Non, la vérité est que c’est du banditisme et du vandalisme. On nous pompe l’air avec des pick-up chargés de nervis à la solde du pouvoir. Franchement, c’est illogique, incohérent et mensonger. Il est évident que les FDS, dont la réputation de professionnalisme et d’éthique n’est plus à faire au Sénégal et dans les contingents onusiens, ne peuvent pas admettre ni autoriser des groupes armés privés prospérer sur le terrain. Encore de la propagande évidente. Arrêtez la boisson et de fumer la moquette.
Quelle est cette révolution historique et quelle est cette révolte contre un hypothétique 3ème mandat qui consisteraient à vandaliser les consulats et les biens publics qui appartiennent aux Sénégalais, causer la fermeture des outils de travail des Sénégalais, inciter des hordes à déferler dans les rues quand leurs propres enfants sont chez eux, devant la télévision, se faire mourir des jeunes sénégalais dans la fleur de l’âge déjà victimes d’exclusion sociale, réjouir du chaos, détruire les patrimoines privés ?Face aux fauteurs de trouble, l’Etat ne devra jamais démissionner de sa responsabilité régalienne d’assurer la sécurité des citoyens et de leurs biens.
Ce qui est constant et régulier, en revanche, c’est l’erreur de la fréquentation avérée de Sweet Beauty, la permanence des violations du droit, de la justice, des lois et règlements que tout citoyen, fut-il le roi du monde ou l’héritier de Dethiefu Njogu, a le devoir de respecter pour ne pas encourir les foudres de la loi. Le respect des droits implique nécessairement l’obligation des devoirs. Parmi ces devoirs, le premier est de mettre le Sénégal au-dessus de sa propre personne, des agendas politiques, des ingérences extérieures, des intérêts personnels. Comme le citoyen Khalifa Sall, leader de Taxawu et néanmoins membre de la coalition de l’opposition radicale YAW et du F24, qui a humblement reconnu que « le Sénégal est au-dessus de tout et de nous ». Le second naturellement est de participer au dialogue, « qui fait partie de l’ADN du Sénégal », comme l’a rappelé Idrissa Seck, qui a dit, sans ciller, au Chef de l’Etat sa conviction qu’il avait déjà atteint la limite de deux mandats de sept et cinq ans. Gentleman, le Président a éclaté de rire et serré la main de celui qu’il a admis être le Chef de l’opposition arrivé second après lui à la présidentielle de 2019. Le parti du Président Abdoulaye Wade, leur ancien maître et mentor a tous deux, étant le Chef de l’opposition parlementaire.
Le troisième devoir est de mettre courageusement sur la table les questions qui fâchent comme l’ont fait Khalifa Sall, Cheikh Bamba Dièye et tous les autres: 3ème mandat, parrainage, modifications des articles du code électoral, les détentions pour sédition et appel à l’insurrection. Disons le comme Kas, « osons-nous dire la vérité pour que le pays avance, parce que notre pays mérite que nous dialoguons encore et toujours ». A cela aussi, le Chef de l’Etat a admis qu’« aucune question n’est taboue dans ce Dialogue national » et qu’il ouvrait le débat sur le 3ème mandat. « Parce que la Nation nous parle et exige de nous la paix, le Dialogue est une cause plus grande que nous ». C’est cela posséder un passé et une épaisseur politique.
Tout cela se passe avec beaucoup d’urbanité, de civilité, d’exquise politesse, d’affabilité naturelle et d’usages policés avec autrui. Entre gentlemen et gentlewomen. Le pacte dans notre projet de société que le Président de la République a le devoir de défendre, solidairement avec l’ensemble de la société, repose sur un ensemble de conduites qui rendent agréable et désirable la rencontre avec les autres. Dans une période où la politesse n’est plus ni innée ni enseignée, il est nécessaire de rappeler le rôle puissant de l’éducation et la dignité que nous devrions accorder dans les liens sociaux à la courtoisie des beaux gestes, à l’aménité des belles paroles, au bon ton des
échanges humains. En réalité, l’urbanité revient à dire le respect d’autrui et de soi-même. Il ne s’agit pas de l’opposer à la ruralité en tant qu’espace géographique, car le respect d’autrui et de soi n’a pas de frontières.
Il est certain que dans cette conception des relations humaines, il n’y ait place pour la violence, l’immaturité, l’ignorance crasse, la fragmentation sociale, la ségrégation religieuse, le terrorisme intellectuel, le dénigrement de nos institutions, la marchandisation du corps féminin et la chosification des femmes en objet sexuel. Nous avons le droit de faire valoir le respect de nos droits de citoyenneté, mais en retour nous avons le devoir de respecter notre modèle de société, nos institutions, l’éducation et l’enseignement, la justice, la loi et l’ordre. C’est à ces institutions que nous avons librement consenti le droit d’assurer notre sécurité et notre défense, pour ne pas vivre dans l’obscurantisme, la menace, la pression, l’anarchie et la loi de la jungle.
Pour défendre la République et la Nation, qui sont les véritables cibles des attaques et des appels à l’insurrection depuis mars 2021, et non pas le leurre grossier du 3ème mandat, l’Etat de Droit doit rester debout. La vérité, au-delà des diverses oppositions intérieures, est que le contexte géopolitique (ressources pétrolières et gazières) fait le lit de toutes sortes d’ingérences extérieures qui font de l’irresponsabilité des islamo-gauchistes et de l’agenda religieux caché des radicaux islamistes leur Cheval de Troie. Ce n’est pas la question du 3ème mandat, ni l’affaire en justice du lupanar de « la Madame » Ndeye Khady.
Qui croit qu’il peut être au-dessus des lois? Qui pense que, nous les citoyens, devons payer les dégâts causés par l’immaturité politique et sociale? Quel citoyen peut penser que l’on peut impunément défier la loi et l’ordre dans une République sans devoir rendre des comptes? Qui peut penser que le chemin vers la « Da’wa » doit être pavé du corps des jeunes sénégalais, offerts en sacrifice ultime au djihâd de l’émir? Quel accusé peut croire qu’il peut « négocier » en marchant sur le cadavre de sa victime? Il ne faut pas confondre Me Wade et maître Sweet Beauty.
Nous ne faisons que passer sur cette terre, le Sénégal ne nous appartient pas, il nous est légué et nous avons le devoir de le transmettre mieux que l’état dans lequel nous l’avons reçu des générations passées. Pour cela, nous devons continuer de bâtir des consensus forts, républicains, forces démocratiques du pouvoir comme de l’opposition, en vue de renforcer la démocratie, l’Etat et la République. Il faut mettre un terme à ces dérives de l’islam frériste qui attaquent la Nation démocratique, laïque et pacifique du Sénégal, et divisent les Sénégalais. Pour cela, le dialogue national doit
s’élever à la hauteur des enjeux de la nouvelle situation et de la ceinture de feu qui nous entoure, pour combattre les ennemis de notre modèle de démocratie stable, apaisée et tolérante. Sans sentiment, sans émotion. Pas de tolérance pour l’insurrectionisme, le séparatisme et l’anti-républicanisme.
DM
« Ô croyants! Craignez Allah et efforcez-vous de trouver le moyen de vous rapprocher de Lui! », 35.5
Il est temps que l’on se dise certaines vérités.
Au Sénégal en 2023, il semblerait que l’on ait peur de dire la vérité, de désigner un chat par son nom, quitte à raser les murs, à surfer sur la vague populiste et les fatwas des dieux populaires du moment, et à se censurer de peur de s’assumer et de subir le terrorisme des talibans et le pronunciamiento de leur émir. On aurait plus peur de déplaire aux insurgés islamistes et rebelles affiliés que de la crainte révérencielle de tout croyant envers Dieu Subhana wa’ Ta’ala. Il semblerait même qu’en dehors des vaillantes et valeureuses Forces de Défense et de Sécurité de l’Etat du Sénégal, et de leur Commandant suprême, il n’y ait plus de « garçons » au Sénégal. Seuls les femmes osent dénoncer et mettre des mots sur leurs maux et les citoyens qui ont reçu éducation, instruction, formation de toute la société.
Que des pleureurs, des pleurnicheurs, des démissionnaires, de Normands adeptes du « p’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non ». Des attitudes ambiguës, évasives, pas fiables, de grands consommateurs de « mais » et de « si », avec lesquels on ne sait sur quel pied danser. Pire que l’incertitude de ces pensées précaires, le changement d’avis sans crier gare et la rétractation. Les gens de maintenant, y compris certains leaders politiques, universitaires et intellectuels, ont leur dit (wakh) et leur dédit (wakhet), au gré de la propagande des radicaux islamistes et des fluctuations des foules qui ont passé Dakar à feu et à sang.
On voudrait nous faire passer les pillages, les vols, les cambriolages, les saccages, les actes d’incivisme, les viols d’employées sur leur lieu de travail, les autodafés à l’université, les incendies des pyromanes, pour des actes révolutionnaires. Non, la vérité est que c’est du banditisme et du vandalisme. On nous pompe l’air avec des pick-up chargés de nervis à la solde du pouvoir. Franchement, c’est illogique, incohérent et mensonger. Il est évident que les FDS, dont la réputation de professionnalisme et d’éthique n’est plus à faire au Sénégal et dans les contingents onusiens, ne peuvent pas admettre ni autoriser des groupes armés privés prospérer sur le terrain. Encore de la propagande évidente. Arrêtez la boisson et de fumer la moquette.
Quelle est cette révolution historique et quelle est cette révolte contre un hypothétique 3ème mandat qui consisteraient à vandaliser les consulats et les biens publics qui appartiennent aux Sénégalais, causer la fermeture des outils de travail des Sénégalais, inciter des hordes à déferler dans les rues quand leurs propres enfants sont chez eux, devant la télévision, se faire mourir des jeunes sénégalais dans la fleur de l’âge déjà victimes d’exclusion sociale, réjouir du chaos, détruire les patrimoines privés ?Face aux fauteurs de trouble, l’Etat ne devra jamais démissionner de sa responsabilité régalienne d’assurer la sécurité des citoyens et de leurs biens.
Ce qui est constant et régulier, en revanche, c’est l’erreur de la fréquentation avérée de Sweet Beauty, la permanence des violations du droit, de la justice, des lois et règlements que tout citoyen, fut-il le roi du monde ou l’héritier de Dethiefu Njogu, a le devoir de respecter pour ne pas encourir les foudres de la loi. Le respect des droits implique nécessairement l’obligation des devoirs. Parmi ces devoirs, le premier est de mettre le Sénégal au-dessus de sa propre personne, des agendas politiques, des ingérences extérieures, des intérêts personnels. Comme le citoyen Khalifa Sall, leader de Taxawu et néanmoins membre de la coalition de l’opposition radicale YAW et du F24, qui a humblement reconnu que « le Sénégal est au-dessus de tout et de nous ». Le second naturellement est de participer au dialogue, « qui fait partie de l’ADN du Sénégal », comme l’a rappelé Idrissa Seck, qui a dit, sans ciller, au Chef de l’Etat sa conviction qu’il avait déjà atteint la limite de deux mandats de sept et cinq ans. Gentleman, le Président a éclaté de rire et serré la main de celui qu’il a admis être le Chef de l’opposition arrivé second après lui à la présidentielle de 2019. Le parti du Président Abdoulaye Wade, leur ancien maître et mentor a tous deux, étant le Chef de l’opposition parlementaire.
Le troisième devoir est de mettre courageusement sur la table les questions qui fâchent comme l’ont fait Khalifa Sall, Cheikh Bamba Dièye et tous les autres: 3ème mandat, parrainage, modifications des articles du code électoral, les détentions pour sédition et appel à l’insurrection. Disons le comme Kas, « osons-nous dire la vérité pour que le pays avance, parce que notre pays mérite que nous dialoguons encore et toujours ». A cela aussi, le Chef de l’Etat a admis qu’« aucune question n’est taboue dans ce Dialogue national » et qu’il ouvrait le débat sur le 3ème mandat. « Parce que la Nation nous parle et exige de nous la paix, le Dialogue est une cause plus grande que nous ». C’est cela posséder un passé et une épaisseur politique.
Tout cela se passe avec beaucoup d’urbanité, de civilité, d’exquise politesse, d’affabilité naturelle et d’usages policés avec autrui. Entre gentlemen et gentlewomen. Le pacte dans notre projet de société que le Président de la République a le devoir de défendre, solidairement avec l’ensemble de la société, repose sur un ensemble de conduites qui rendent agréable et désirable la rencontre avec les autres. Dans une période où la politesse n’est plus ni innée ni enseignée, il est nécessaire de rappeler le rôle puissant de l’éducation et la dignité que nous devrions accorder dans les liens sociaux à la courtoisie des beaux gestes, à l’aménité des belles paroles, au bon ton des
échanges humains. En réalité, l’urbanité revient à dire le respect d’autrui et de soi-même. Il ne s’agit pas de l’opposer à la ruralité en tant qu’espace géographique, car le respect d’autrui et de soi n’a pas de frontières.
Il est certain que dans cette conception des relations humaines, il n’y ait place pour la violence, l’immaturité, l’ignorance crasse, la fragmentation sociale, la ségrégation religieuse, le terrorisme intellectuel, le dénigrement de nos institutions, la marchandisation du corps féminin et la chosification des femmes en objet sexuel. Nous avons le droit de faire valoir le respect de nos droits de citoyenneté, mais en retour nous avons le devoir de respecter notre modèle de société, nos institutions, l’éducation et l’enseignement, la justice, la loi et l’ordre. C’est à ces institutions que nous avons librement consenti le droit d’assurer notre sécurité et notre défense, pour ne pas vivre dans l’obscurantisme, la menace, la pression, l’anarchie et la loi de la jungle.
Pour défendre la République et la Nation, qui sont les véritables cibles des attaques et des appels à l’insurrection depuis mars 2021, et non pas le leurre grossier du 3ème mandat, l’Etat de Droit doit rester debout. La vérité, au-delà des diverses oppositions intérieures, est que le contexte géopolitique (ressources pétrolières et gazières) fait le lit de toutes sortes d’ingérences extérieures qui font de l’irresponsabilité des islamo-gauchistes et de l’agenda religieux caché des radicaux islamistes leur Cheval de Troie. Ce n’est pas la question du 3ème mandat, ni l’affaire en justice du lupanar de « la Madame » Ndeye Khady.
Qui croit qu’il peut être au-dessus des lois? Qui pense que, nous les citoyens, devons payer les dégâts causés par l’immaturité politique et sociale? Quel citoyen peut penser que l’on peut impunément défier la loi et l’ordre dans une République sans devoir rendre des comptes? Qui peut penser que le chemin vers la « Da’wa » doit être pavé du corps des jeunes sénégalais, offerts en sacrifice ultime au djihâd de l’émir? Quel accusé peut croire qu’il peut « négocier » en marchant sur le cadavre de sa victime? Il ne faut pas confondre Me Wade et maître Sweet Beauty.
Nous ne faisons que passer sur cette terre, le Sénégal ne nous appartient pas, il nous est légué et nous avons le devoir de le transmettre mieux que l’état dans lequel nous l’avons reçu des générations passées. Pour cela, nous devons continuer de bâtir des consensus forts, républicains, forces démocratiques du pouvoir comme de l’opposition, en vue de renforcer la démocratie, l’Etat et la République. Il faut mettre un terme à ces dérives de l’islam frériste qui attaquent la Nation démocratique, laïque et pacifique du Sénégal, et divisent les Sénégalais. Pour cela, le dialogue national doit
s’élever à la hauteur des enjeux de la nouvelle situation et de la ceinture de feu qui nous entoure, pour combattre les ennemis de notre modèle de démocratie stable, apaisée et tolérante. Sans sentiment, sans émotion. Pas de tolérance pour l’insurrectionisme, le séparatisme et l’anti-républicanisme.
DM
44 Commentaires
Poseidon
En Juin, 2023 (20:11 PM)Quand on voit les principaux détracteurs de sonko au sud on se pose des questions...
Reply_author
En Juin, 2023 (20:19 PM)Reply_author
En Juin, 2023 (20:22 PM)Verbiage Inutile
En Juin, 2023 (21:26 PM)Reply_author
En Juin, 2023 (21:47 PM)Baaba
En Juin, 2023 (22:14 PM)Zeuss
En Juin, 2023 (22:14 PM)Reply_author
En Juin, 2023 (22:43 PM)Reply_author
En Juin, 2023 (02:27 AM)Reply_author
En Juin, 2023 (04:25 AM)Pitié pour ces genres d'énergu
Baye Fall
En Juin, 2023 (20:14 PM)Laye
En Juin, 2023 (20:32 PM)Momo
En Juin, 2023 (20:15 PM)Le Temoin
En Juin, 2023 (20:23 PM)Cheikh
En Juin, 2023 (20:26 PM)Boy Dakar
En Juin, 2023 (20:29 PM)Ndeyssane c'est triste qu'une personne ait ce degrès dhyporcrisie
Zorro
En Juin, 2023 (20:35 PM)Lol
En Juin, 2023 (20:38 PM)Salam
En Juin, 2023 (20:41 PM)Shocked
En Juin, 2023 (20:42 PM)Il y aura bel et bien enquêtes contre les pilleurs certes mais aussi et surtout contre les miliciens nervis, leurs commanditaires, ceux qui ont acheté ces armes et munitions, ceux qui ont tué. Cela s'appelle justice pour tous, elle est aveugle par nature.
Assumez si vous tentez de disculper des meurtriers vous êtes passibles d'être poursuivie comme complice. Sans omettre votre offense ci devant. Cumul de charges.
Ce sont avec nos sous que les fds et le parquet sont payés, les juges aussi. Qui paie commande, nous leur demandons d'ouvrir les enquêtes et de réquisitionnner tous les téléphones des concernés la meute sera découverte très vite, il y a des preuves et traces.
NON AU BAILLONNEMENT DE LA POPULATION !!!
NON AU 3e MANDAT !!!
LIBEREZ LES PRISONNIERS POLITIQUES !!!
Thiey
En Juin, 2023 (20:43 PM)Si vous aviez bien médité ce verset et que vous y croyiez profondément vous n'auriez jamais écrit ceci :
" On nous pompe l’air avec des pick-up chargés de nervis à la solde du pouvoir. Franchement, c’est illogique, incohérent et mensonger. Il est évident que les FDS, dont la réputation de professionnalisme et d’éthique n’est plus à faire au Sénégal et dans les contingents onusiens, ne peuvent pas admettre ni autoriser des groupes armés privés prospérer sur le terrain. Encore de la propagande évidente. Arrêtez la boisson et de fumer la moquette."
Vous êtes journaliste non ? Allez à la source de l'information et ne vous contentez pas des extraits fournis par la police. C'est le béaba du jouralisme.
Falléne Bi
En Juin, 2023 (21:00 PM)Matar
En Juin, 2023 (21:06 PM)Observer
En Juin, 2023 (21:26 PM)Eh Die, Tu Es Dephase...
En Juin, 2023 (21:58 PM)Il n y a que vous qui osez défendre cela. Personne ne vous lira. Je n ai lu que le titre.
On ne connaissait pas l hypocrisie chez les fallene.
Il faut vraiment voir si ton fall est le vrai...
Et aussi pourquoi trainer ce proces depuis plus 3 ans des faits - Feb 2020 si ce n'est pour des calculs de politique politichienne.
Citoyen
En Juin, 2023 (22:31 PM)"On nous pompe l’air avec des pick-up chargés de nervis à la solde du pouvoir. Franchement, c’est illogique, incohérent et mensonger. Il est évident que les FDS, dont la réputation de professionnalisme et d’éthique n’est plus à faire au Sénégal et dans les contingents onusiens, ne peuvent pas admettre ni autoriser des groupes armés privés prospérer sur le terrain. Encore de la propagande évidente. Arrêtez la boisson et de fumer la moquette."
Malhonnêteté intellectuelle, défendre l'indefendable. Peut être qu'on a pas tué un de tes proches. Je ne comprends toujours pas cette lâcheté. Il est inconcevable qu'il y ait autant de morts déjà après vient des dégâts matériels. Où est votre solidarité.
Deugue foumou néwoul diameu dofa am bafaye sakh.
Les Pastéfiens Son Kon
En Juin, 2023 (23:58 PM)Ig
En Juin, 2023 (00:13 AM)Une Madiambal en jupons
Quand elle l'ouvre c'est pour débiter des bêtises
Ndiaga Yaaram
En Juin, 2023 (01:39 AM)Senegalais Lambda
En Juin, 2023 (08:07 AM)Boy Thiès
En Juin, 2023 (08:17 AM)Macky Korr Marieme Faye
En Juin, 2023 (09:08 AM)Mor
En Juin, 2023 (09:23 AM)Tous ces pseudo intellectuels n'ont donc rien compris de la sociologie et des mutations sénégalaises.
Dié Maty Fall et tous les autres thuriféraires du régime, objectivement en fin de course, je vous conseille d'aller lire le livre du regretté Pr Malick NDIAYE, l'Ethique Ceddo et la sociaté d'accaparement.
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