[Photos] Les archives de Roger DaSilva dévoilent le chic sénégalais des années 50 ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionUne femme assise sur un cyclomoteur, au bord de la route, pose devant la caméra.
Célébrités, présidents et fêtards font tous partie de riches archives du Sénégal des années 1950 et 1960, qui étaient jusque-là inédites pour la plupart.
Ces images sont l'œuvre de Roger DaSilva (1925-2008), vétéran de la Seconde Guerre mondiale, qui a installé son propre studio photo - le "Studio Da Silva" - à Dakar, la capitale sénégalaise. C'est là que beaucoup de ces photos ont été prises.
"C'était un artiste dans l'âme", raconte son fils, Luc DaSilva, à la BBC. "La photographie était sa vie", ajoute-t-il.
ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionLes hommes vêtus d'un short de boxe, avec des mains bandées, posent pour la photo.ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionUn tout-petit portant un T-shirt, une salopette et des chaussures à lacets pose à l'intérieur du studio de Roger DaSilva.ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionLes hommes et les femmes dansent en couple.
De son vivant, Roger DaSilva n'a jamais pris part à une exposition, mais il a réalisé un vaste corpus d'environ 75 000 photos sur négatifs, dont la plupart sont inédites.
Ses photos ont été restaurées par la Fondation Josef et Anni Albers, Le Korsa et l'organisation Xaritufoto de Luc DaSilva - certaines ont été sélectionnées et exposées ce week-end à la foire d'art et de design "Also Known As Africa", à Paris.
ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionDeux femmes posent pour la photo, dans le studio de Roger DaSilva.ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionMadame Gomez pose sur le toit de la voiture. Deux enfants à côté du véhicule.ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionDes hommes et des femmes habillés en tenue de soirée, des boissons et des cigarettes à la main.
Roger DaSilva est né au Bénin et s'est mis à la photographie lorsqu'il a rejoint l'armée française en 1942.
"Il s'est blessé alors qu'il était en service, alors un colonel l'a enrôlé pour prendre des photos médicales dans les hôpitaux - certaines photos étaient de personnes qui avaient survécu à des camps de concentration", dit Luc, le fils de Roger DaSilva.
Peu après la fin de la guerre, le photographe décide de s'installer au Sénégal.
A cette époque, le Sénégal, comme beaucoup d'autres pays africains, était sur le point d'accéder à l'indépendance. Les photographies de DaSilva capturent la haute société de Dakar de l'époque - les boîtes de nuit et les mariages haut de gamme, ainsi que des portraits de famille et des scènes de rue.
ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionTrois hommes vêtus de chemises amples, cigarettes en main, près d'un bar.ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionDes hommes vêtus de boubous blancs et de turbans marchent ensemble. L'un d'eux est protégé du soleil par un autre homme qui tient un parasol au-dessus de sa tête.ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionUn homme et une petite fille posent dans le studio "Studio Da Silva".ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionUne femme pose sur le sol du studio dans une robe de mariée blanche, des gants en dentelle et un voile.ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionDes jeunes filles portant des robes, des boucles d'oreilles et des coiffures assorties posent devant la caméra.ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionUn chauffeur vêtu d'une tenue élégante pose à côté de son véhicule, devant le studio de Roger DaSilva.
DaSilva a lui-même taillé une silhouette chic, comme le montrent ses autoportraits. Dans l'un d'entre eux, on le voit en équilibre, une cigarette à la main.
Un autre le montre en train de serrer la main de l'icône du jazz américain Ella Fitzgerald, au Festival mondial des arts noirs de Dakar en 1966.
ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionRoger DaSilva serre la main de la chanteuse de jazz américaine Ella Fitzgerald.
Il y a également rencontré et photographié le musicien de jazz Louis Armstrong, aux côtés de l'actrice Ingrid Bergman, lauréate d'un Oscar.
ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionLe musicien de jazz américain Louis Armstrong (au milieu), tout souriant, serre la main d'un autre homme.
L'un des sujets notables de ses photos, le premier président du Sénégal, Léopold Sédar Senghor.
"Je pense qu'ils lui ont tous fait forte impression, dit Luc. Mais Satchmo [surnom de Louis Armstrong] était son chanteur préféré."
ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionDes membres de la sécurité présidentielle entourent Léopold Sédar Senghor, alors président du Sénégal, qui serre la main d'un homme. Copyright de l’imageROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionUn jeune homme et une jeune femme, tout sourire, s'embrassent devant la caméra.ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionUne femme assise devant un foyer, aux côtés d'enfants et de jeunes adultes
La restauration de ces images a fait l'objet d'un effort conjoint pendant plusieurs années.
"Il y a de la joie et de la gaieté dans les photos de mon père, je me sens très proche de son travail", dit Luc.
"Il s'agit des archives et de la mémoire, de la préservation et de la valorisation de la photographie africaine. C'est un héritage commun."
ROGER DASILVA/JOSEF AND ANNI ALBERS FOUNDATIONImage captionRoger DaSilva pose devant la caméra, une cigarette à la main.
Toutes les photos ont été prises par Roger DaSilva. Droits : la Fondation Josef et Anni Albers, Le Korsa et l'organisation Xaritufoto.
hier était souvent beau , le présent pesant et incertain et demain le chaos final. l'éphémère vie sur terre qui nous semble longue en fausse illusion ancrée. la nostalgie est un élément de notre angoisse actuelle. hier n'existe plus.
franchement les kawkaw ont bon dos. si ton pere come-on-town n'etait pas venu a dakar tu ne serais pas la a parler: surement sans le fouta a faire le berger ou le saloum cultiver la terre.
le problem de dakar ce sont les dakarois eux memes. regardez bien au tour de vous: des garcons effemines qui portent des pinws assortis de coiffures bizarres, des filles khassalisees jusqu'aux os avec des perruques puants de couleurs extravagantes (bleue, jaune, rose, verte) qui s'habilllent comme de nicki minaj ou rihanna. c'est cela qui je vois quand je regardes les photos. les kawkaw n'ont rien faire avec les photos de la publications
arretez de tout mettre sr le dos des kakwkas. si vous allez dans le sine ou le saloum ou le fouta, vous allez voire des hommes qui se comportent en vrais hommes et des filles naturelles. le probleme de dakar ce sont le boy-towns: paresseux, materialistes, sans education religieuse ou universitaire, inutiles car ne contribuant ne rien au developement du pays.
je me rappelle aussi d'un autre photographe,son nom était mentionné sur toutes les cartes postales,il s'appelait baidy sow.c'etait dans les années 79 -85,du temps où dakar était vraiment dakar,propre et habitants instruits et civilisés,du temps de la sortie.
je me rappelle aussi d'un autre photographe,son nom était mentionné sur toutes les cartes postales,il s'appelait baidy sow.c'etait dans les années 79 -85,du temps où dakar était vraiment dakar,propre et habitants instruits et civilisés,du temps de la sotrac.
c'est le sénégal colonisé habité pour l'essentiel par des colons et leurs collaborateurs ressortissants des 4 communes et dont les ascendants avaient en grande partie participés à la conquête coloniale.
c'est vrai, c'est avant que n'arrive à dakar les vrais sénégalais habitant des empires ancestraux du baol, du cayor, sine, du saloum, du walo et de la casamance considérés à l'époque comme indigènes et dont les ancêtres s'étaient opposés, arme à la main, contre la colonisation.
il ne faut pas considérer les discussions de salons que vous aviez avec vos pères et grand-père comme des réalités absolus.
pour l'essentiel, je vois sur ces photos des acculturés.
ndeyssane. je suis nostalgique du temps où a la place de l'hôtel teranga on avait un cirque, du temps on avait des cinemas plaza , le paris, vog, abc.
du temps où bruxelles existait sur ponty avec ses delicieuses peche melba.
du temps où à noël on pouvait acheter des marrons grillés devant le supermarché à albert sarrault
and so on...
puis patatra ... les baol baol sont arrivés .
dakar est devenu vraiment méconnaissable.
Quand nous étions gamins moi mes frères et soeurs nous passions des heures à regarder les photos vintage de nos parents et nous hurlions de rire des poses des gens de l’époque, les décors...
Y’a 5 modèles qui nous faisaient particulièrement ricaner :
- le groupe de gaillards qui prennent des poses de karatékas, on ne sait pas pourquoi …
- le papa villageois dans son « mboubou niaga » qui pose avec une toile de fond représentant New York ou Miami…
- le gamin en slip bouffant et chaussettes hautes pris en photo avec le combiné d’un téléphone à l’oreille … mdr
- le duo de copines ou les couple d’amoureux qui prennent la pose en tenant un contreplaqué évidé au centre de manière à dessiner un coeur … celle ci nous faisait particulièrement rire
- plus bizarre : le polygame chanceux qui pose avec ses deux dulcinées, lui assis crânement, ses deux amoureuses posant chacune un bras sur une des épaules de son cher et tendre, tout ce beau monde ayant l’air heureux …
belle description !!!!!
même si on ne voit pas les photos dont tu parles, on imagine le tableau :):):).
et il faut rajouter que nos parents étaient photogéniques , toujours avec le sourire dans les photos et savaient se tenir. il y'avait un respect, une fraternité, une joie de vivre et d'être ensemble qui se lisaient dans les photos noir-blanc de l'époque. de belles coiffures naturelles, une belle peau noire d’ébène naturel ou un joli teint claire naturel, de jolis yeux et de belles dents toutes blanches. les gens étaient heureux à l'époque et cela se voyait même dans les photos. peut être qu'ils n'en prenaient pas très souvent, ce qui peut expliquer qu'ils étaient toujours dans leur 31 dans les photos et avec toujours le sourire. et à l'époque il fallait attendre plusieurs semaines avant de récupérer sa photo.
mais de nos jours, on a la couleur et on peut prendre des photos claires, instantanées et en quantité mais hélas elles sont sans saveurs, elles sont banales et surtout vite rangées dans les placards.
notre soi-disant modernité au sénégal est synonyme de rejet du passé, des valeurs, de l'abondance du matériel, de manque de savoir vivre, d'inélégance et surtout de l'artificiel. il n'y a plus de sincérité et on est devenu artificiel et tout est artificiel chez bcp d'entre nous et en particulier chez les femmes - intellectuelles ou pas - dont bcp pensent qu'une femme moderne doit avoir des cheveux à l'occidentale, une peau claire, s'habiller en pantalon, robe et juppe etc. même nos soi-disant femmes intellectuelles deviennent "perruco ou mécho" dépendante avec du xessal pour faire croire qu'elles sont claires de peau.
bref, le chic de l'époque se retrouvait partout (villes et villages) et il était surtout associé à un savoir vivre naturel, une joie de vivre naturel, une politesse, un respect et une sincérité tous hérités d'une bonne éducation traditionnelle. et tout ce beau mélange se reflète sur les photos d'époque. hier c'était bcp mieux !!!!!
oui en effet, seydina mandione laye 2ém khalif général des layènes, fils de seydina limamou laye psl, l'imam de tous les imams, imam des 2 lieux saint.
oui en effet, seydina mandione laye 2ém khalif général des layènes, fils de seydina limamou laye psl, l'imam de tous les imams, imam des 2 lieux saint.
oui en effet, seydina mandione laye 2ém khalif général des layènes, fils de seydina limamou laye psl, l'imam de tous les imams, imam des 2 lieux saint.
On en redemande. Un pays sans archives est un pays mort. Dans notre enfance il n'y avait pas encore de télévision les actualités étaient diffusées dans les salles de cinéma (qui n'existent plus) en prélude aux films. Dans les quartiers aussi avec des cars spécialement équipés.
yaw thiossane ngua!!! temane dou ma khalé deh mais il y avait la television en noir et blanc puis couleurs et les infos à la télé et à la radio!! mais dakar était chic , calme, propre et joyeuse!!!
Il faut noter que le Sénégal ne comptait même pas 2.300.000 habitants, et les villes de Rufisque, M'bour, Diourbel, Thiès et Saint-Louis étaient très agréables à vivre, propres, et pour aller en ville, il fallait s'habiller correctement. Les plage de Hann, de Dakar et surtout de grand M'bao/mer étaient remplies d'Européens par milliers, jusqu'au Cap des biches. Nous étions fascinés par les populations de grands m'bao/mer si fiers, aux comportements altiers. Je peux vous remettre des photos de Grand M'bao plage des années 50 à 65.
oh oui stp. j'ai pas 40 ans mais j'adore la vie des gens d'avant. je passe des heures à regarder les photos des femmes d'avant. elles étaient magnifiques
Peut-être parce que beaucoup savaient tresser, les enfants partaient à l'école la tête bien coiffée de mon temps. Ce que je vois aujourd'hui, ici même à Dakar, des enfants avec les cheveux hirsutes. Je trouve certaines jeunes femmes d'aujourd'hui très paresseuses. Même faire le petit déj à leurs enfants leurs est difficile. Tu vois les petits avec leur pain acheté dans la rue avec à l'intérieur du Ndambé ou autre plein de Jumbo.
Pendant la période de la guerre froide, les ex-puissances colonisatrices voulaient empêcher une montée du communisme en Afrique par la mise en place de régimes francophiles (ou anglophiles) et dociles qui leur permettaient de préserver leurs intérêts économiques. Alors que le président du Conseil, Mamadou Dia, incarne le sommet de l’État dans un régime parlementaire bicéphale de type quatrième République (la politique économique et intérieure pour lui, la politique extérieure pour Senghor), ses relations avec le président de la République s’enveniment peu à peu.
Un différend les oppose concernant la politique économique à suivre et le sort à réserver aux députés « affairistes » ayant commis de nombreux abus. Ces députés s’étaient octroyés des augmentations de salaire, avaient pris des crédits dans des banques (qu’ils ne remboursaient pas) et des actions dans des sociétés anonymes, directement ou par l’intermédiaire de leurs femmes ou de leurs enfants. Tout ceci était contraire à la ligne politique du parti. Mamadou Dia leur demande à plusieurs reprises de rembourser leurs crédits et de rendre leurs actions, mais en vain.
De plus, dans un discours sur « les politiques de développement et les diverses voies africaines du socialisme », le 8 décembre 1962 à Dakar, Mamadou Dia prône le « rejet révolutionnaire des anciennes structures » et une « mutation totale qui substitue à la société coloniale et à l’économie de traite une société libre et une économie de développement ». Il milite pour une rupture plus nette avec la France et prépare une sortie planifiée de l’économie arachidière. Cette volonté, exprimée déjà en 1961 dans un ouvrage, heurte les intérêts économiques français et inquiète les puissants marabouts qui interviennent dans le marché de l’arachide.
Ce différend devait être réglé, d’un commun accord entre les deux hommes, devant le Conseil national du parti (Ups) le 20 décembre 1962. Mamadou Dia affirme à l’époque : « Si je suis désavoué devant le parti le 20 décembre, je renoncerai à toutes mes fonctions
regardes le sable : blanc, fin, impeccable, y’a pas un sachet d’eau jeté là-dedans !
et puis ces messieurs, leurs « robes » empesées de cette blancheur immaculée !!!!!! bon et puis ce sable fin lààààà, on en parle ou pas ????? que s’est-il passé entre-temps pour que la crasse se soit invitée ????
ne me dites pas que c etait la belle epoque,.allez dire a ces gens qu il y a de l eau,de l ectricite,des voitures partout au senegal.que tous les senegal ont le telephone portable,la television,la radio.qu on a des routes bitumees entre toutes les grandes villes.que les mangent regulierment de viande,des legumes et des fruits.que le thiebou dien est quotidien,qu on s habille tres cher.qu on habite presque tous dans de belles maisons,meme dans les villages.la nostagie nous joue parfois des roles.tout n est pas parfait,mais on avance.se souvenir du passer c est bon,mais dire qu on etait mieu dans le passer est un autre,si vous ne voulez pas donner raison a ces vieux qui disent,qu on etait mieux quand on etait pire.un vieux m a raconter que,meme les coups de cravaches qu il recevait de son maitres se sont transformer en beaux souvenirs.si tous les souvenirs de ta jeunesse,les rixes,les defaites de ton equipe en finale,la personne qui tu aimait et qui te n aimait pas,meme des amis morts jeunes etc...deviennent beaux c est qu on va vers la veillesse.les jeunes d aujourd hui vivent mieux que leurs peres et grand peres
Johnny Walker yague na wakhou ndeyssane. Khol ko mou dindak madame perrier, ga yi di len panache di len goukh di kheutie sen camelia wala craven. OOOh yaram dawna !
j'ai adoré regarder ces belles images, les femmes étaient belles et naturelles, pas de khessal, pas de faux cheveux, pas de faux cils. On voit nettement qu'il y avait plus d'ordre, de respect, de chic et de propreté. En réalité, ils étaient plus civilisés...
les grands musiciens cap verdiens bana et luis morais faisaient les belles soirées des dakarois. la musique afro-cubaine avec les grandes "associations" de quartier dont celui célèbre du plateau havanas, les emissions inter-jeunes variétés puis contact jeunesse c'était pas le bon vieux temps ça. nos solex d'étudiants. la venue de johnny pacheco avec son inoubliable dakar el punto final. que de beaux souvenirs!
vous aimez danser la salsa ou le cabo? venez découvrir les agréables spectacles que nous vous offrons en after work et soirée tous les vsd à partir de 22h.
avec un riche répertoire de sonorités afro-cubaines et musique des îles.
ne vous faites pas raconter l'ambiance qu'offre notre talentueux groupe de musique.
De Senghor à Macky,ils ont jamais crée des emplois dans les autres régions ce qui a crée l'exode rural ! Vivement l'arrivée de Sonko ,le vrai père de la nation !
Arthur G. Doughty, ancien directeur des Archives publiques (nationales) du Canada,déclarait:
De tous les trésors nationaux, les Archives constituent le plus précieux : elles sont le legs d'une génération à une autre et la qualité des soins que nous leur accordons témoigne de la qualité de notre civilisation
Nostalgie quant tu nous tient, je regarde ça et je me dis que le Sénégal, Dakar en tout cas a régressé grave et on ne devrait pas en être fiers. Moi en tout cas je vous le laisse, je me suis installé à l'intérieur du pays et je ne donnerai le nom de l'endroit à personne parce que il y'a des gens dans ce pays là ou ils vont c'est la catastrophe.
Il y avait une vraie joie de vivre, sans stress ni peur de l'avenir. Nous n'étions pas nombreux, il y en avait pour toit le monde. Pas de jalousie ni agressions...
Archives anonymes à part quelques photos accompagnées d'analyses incomplètes, pas de dates, de lieux... Si toutes les archives étaient traitées de la sorte, ce serait la catastrophe pour les chercheurs.
Vu les voitures Simca Aronde, pick up Ford ou Dodge et une voiture us ou Europ blanche genre Willy Jeep avec la gamine jouant dans la place de la roue secours... L'habillement et les maisons.. Entre 1948 et 1958 ?
Quand je pense qu'aux temps de notre vénéré marabout Ahmadou Bamba, le Sénégal n'avait même pas 1.400.000 habitants, et quand les Européens débarquèrent au Sénégal il n' y avait même pas 300.000 habitants la Gambie elle n'avait pas 50.000 habitants. Toute l'Afrique noire comptait combien d'habitant au 15ème siècle ? Si l'ensemble de ces pays avaient plus de 100. 0000 et que les esclaves déportés furent ne serait-ce que trois millions, combien seraient les black Américain en ce 21ème siècle ? Voilà une réflexion pour étudiants !!!!
malheur …
combien de millions sont morts dans les cales ou jetés par dessus bord parce que trop malades ?
combien n’ont pas survécu aux travaux de forçats une fois arrivés à destination ?
quelle indécence que de faire des comptes d’épicier pour une affaire aussi tragique …
Magnifique, pour se projeter vers le futur, il faut s'ancrer dans le présent en étant enraciné à son passé, le savoir utile sauve, et maintient debout en combattant l'obcurantisme. Soyez fiers et hissez vous à la hauteur des vôtres. Beau témoignagne regorgeant de richesses intemporelles. Cela aurait été génial qu'il y'ait des photos aussi bien des privilégiés de l'époque, que des moins nantis. Mais, bravo qd mm
46 Commentaires
L'homme
il y a 3 semaines (13:25 PM)Soixantehuitard
il y a 3 semaines (13:47 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (17:04 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (17:13 PM)le problem de dakar ce sont les dakarois eux memes. regardez bien au tour de vous: des garcons effemines qui portent des pinws assortis de coiffures bizarres, des filles khassalisees jusqu'aux os avec des perruques puants de couleurs extravagantes (bleue, jaune, rose, verte) qui s'habilllent comme de nicki minaj ou rihanna. c'est cela qui je vois quand je regardes les photos. les kawkaw n'ont rien faire avec les photos de la publications
arretez de tout mettre sr le dos des kakwkas. si vous allez dans le sine ou le saloum ou le fouta, vous allez voire des hommes qui se comportent en vrais hommes et des filles naturelles. le probleme de dakar ce sont le boy-towns: paresseux, materialistes, sans education religieuse ou universitaire, inutiles car ne contribuant ne rien au developement du pays.
Aïe Ouille Bim Paf !
il y a 3 semaines (17:20 PM)Ndane
il y a 3 semaines (18:17 PM)comparez à dakar d'aujourd'hui
Reply_author
il y a 3 semaines (19:37 PM)Mor
il y a 3 semaines (20:23 PM)Mor
il y a 3 semaines (20:25 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (20:33 PM)Sn
il y a 3 semaines (20:42 PM)Tba
il y a 3 semaines (21:49 PM)c'est vrai, c'est avant que n'arrive à dakar les vrais sénégalais habitant des empires ancestraux du baol, du cayor, sine, du saloum, du walo et de la casamance considérés à l'époque comme indigènes et dont les ancêtres s'étaient opposés, arme à la main, contre la colonisation.
il ne faut pas considérer les discussions de salons que vous aviez avec vos pères et grand-père comme des réalités absolus.
pour l'essentiel, je vois sur ces photos des acculturés.
Reply_author
il y a 3 semaines (09:20 AM)Reply_author
il y a 3 semaines (09:20 AM)Reply_author
il y a 3 semaines (12:52 PM)du temps où bruxelles existait sur ponty avec ses delicieuses peche melba.
du temps où à noël on pouvait acheter des marrons grillés devant le supermarché à albert sarrault
and so on...
puis patatra ... les baol baol sont arrivés .
dakar est devenu vraiment méconnaissable.
Reply_author
il y a 3 semaines (13:45 PM)Diomi
il y a 3 semaines (20:03 PM)Dosalvo
il y a 3 semaines (13:32 PM)Sn
il y a 3 semaines (20:46 PM)Souvenir Souvenir
il y a 3 semaines (13:35 PM)Y’a 5 modèles qui nous faisaient particulièrement ricaner :
- le groupe de gaillards qui prennent des poses de karatékas, on ne sait pas pourquoi …
- le papa villageois dans son « mboubou niaga » qui pose avec une toile de fond représentant New York ou Miami…
- le gamin en slip bouffant et chaussettes hautes pris en photo avec le combiné d’un téléphone à l’oreille … mdr
- le duo de copines ou les couple d’amoureux qui prennent la pose en tenant un contreplaqué évidé au centre de manière à dessiner un coeur … celle ci nous faisait particulièrement rire
- plus bizarre : le polygame chanceux qui pose avec ses deux dulcinées, lui assis crânement, ses deux amoureuses posant chacune un bras sur une des épaules de son cher et tendre, tout ce beau monde ayant l’air heureux …
Reply_author
il y a 3 semaines (15:42 PM)Glossaire
il y a 3 semaines (20:48 PM)je précise cela pour que chacun sache qu’il ne s’agit pas d’une allusion raciste ni xénophobe …
À toutes fins utiles
Reply_author
il y a 3 semaines (21:03 PM)même si on ne voit pas les photos dont tu parles, on imagine le tableau :):):).
et il faut rajouter que nos parents étaient photogéniques , toujours avec le sourire dans les photos et savaient se tenir. il y'avait un respect, une fraternité, une joie de vivre et d'être ensemble qui se lisaient dans les photos noir-blanc de l'époque. de belles coiffures naturelles, une belle peau noire d’ébène naturel ou un joli teint claire naturel, de jolis yeux et de belles dents toutes blanches. les gens étaient heureux à l'époque et cela se voyait même dans les photos. peut être qu'ils n'en prenaient pas très souvent, ce qui peut expliquer qu'ils étaient toujours dans leur 31 dans les photos et avec toujours le sourire. et à l'époque il fallait attendre plusieurs semaines avant de récupérer sa photo.
mais de nos jours, on a la couleur et on peut prendre des photos claires, instantanées et en quantité mais hélas elles sont sans saveurs, elles sont banales et surtout vite rangées dans les placards.
notre soi-disant modernité au sénégal est synonyme de rejet du passé, des valeurs, de l'abondance du matériel, de manque de savoir vivre, d'inélégance et surtout de l'artificiel. il n'y a plus de sincérité et on est devenu artificiel et tout est artificiel chez bcp d'entre nous et en particulier chez les femmes - intellectuelles ou pas - dont bcp pensent qu'une femme moderne doit avoir des cheveux à l'occidentale, une peau claire, s'habiller en pantalon, robe et juppe etc. même nos soi-disant femmes intellectuelles deviennent "perruco ou mécho" dépendante avec du xessal pour faire croire qu'elles sont claires de peau.
bref, le chic de l'époque se retrouvait partout (villes et villages) et il était surtout associé à un savoir vivre naturel, une joie de vivre naturel, une politesse, un respect et une sincérité tous hérités d'une bonne éducation traditionnelle. et tout ce beau mélange se reflète sur les photos d'époque. hier c'était bcp mieux !!!!!
Reply_author
il y a 3 semaines (19:14 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (13:43 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (13:08 PM)Messager
il y a 3 semaines (13:09 PM)Messager
il y a 3 semaines (13:10 PM)Apres 1990: pouthie pathia
Reply_author
il y a 3 semaines (13:52 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (14:14 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (20:31 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (20:59 PM)Un Français De 80 Ans
il y a 3 semaines (13:59 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (14:33 PM)Un Nostalgique De Passage
il y a 3 semaines (23:46 PM)Ça m'intéresse
Reply_author
il y a 3 semaines (19:20 PM)Un différend les oppose concernant la politique économique à suivre et le sort à réserver aux députés « affairistes » ayant commis de nombreux abus. Ces députés s’étaient octroyés des augmentations de salaire, avaient pris des crédits dans des banques (qu’ils ne remboursaient pas) et des actions dans des sociétés anonymes, directement ou par l’intermédiaire de leurs femmes ou de leurs enfants. Tout ceci était contraire à la ligne politique du parti. Mamadou Dia leur demande à plusieurs reprises de rembourser leurs crédits et de rendre leurs actions, mais en vain.
De plus, dans un discours sur « les politiques de développement et les diverses voies africaines du socialisme », le 8 décembre 1962 à Dakar, Mamadou Dia prône le « rejet révolutionnaire des anciennes structures » et une « mutation totale qui substitue à la société coloniale et à l’économie de traite une société libre et une économie de développement ». Il milite pour une rupture plus nette avec la France et prépare une sortie planifiée de l’économie arachidière. Cette volonté, exprimée déjà en 1961 dans un ouvrage, heurte les intérêts économiques français et inquiète les puissants marabouts qui interviennent dans le marché de l’arachide.
Ce différend devait être réglé, d’un commun accord entre les deux hommes, devant le Conseil national du parti (Ups) le 20 décembre 1962. Mamadou Dia affirme à l’époque : « Si je suis désavoué devant le parti le 20 décembre, je renoncerai à toutes mes fonctions
Laye Laye
il y a 3 semaines (15:02 PM)Wa keur Seydina Imami Lahi Al Mahdi (asws), sont tout beaux avec leurs boubous blancs. Très chic forever laye mahtar !
Check
il y a 3 semaines (15:34 PM)et puis ces messieurs, leurs « robes » empesées de cette blancheur immaculée !!!!!! bon et puis ce sable fin lààààà, on en parle ou pas ????? que s’est-il passé entre-temps pour que la crasse se soit invitée ????
Reply_author
il y a 3 semaines (19:54 PM)Boy Town
il y a 3 semaines (15:04 PM)Mooo
il y a 3 semaines (16:11 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (20:20 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (19:25 PM)Printania
il y a 3 semaines (15:11 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (20:44 PM)Saana
il y a 3 semaines (15:40 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (16:02 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (20:56 PM)Afro Cubain
il y a 3 semaines (23:55 PM)avec un riche répertoire de sonorités afro-cubaines et musique des îles.
ne vous faites pas raconter l'ambiance qu'offre notre talentueux groupe de musique.
info line: 761533597
Mooo
il y a 3 semaines (15:55 PM)Mooo
il y a 3 semaines (16:07 PM)Espérance
il y a 3 semaines (16:20 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (20:58 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (20:58 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (20:58 PM)Reply Au Fènnekate Apr Ci-dess
il y a 3 semaines (21:07 PM)L'archiviste
il y a 3 semaines (16:28 PM)De tous les trésors nationaux, les Archives constituent le plus précieux : elles sont le legs d'une génération à une autre et la qualité des soins que nous leur accordons témoigne de la qualité de notre civilisation
Watelse
il y a 3 semaines (16:57 PM)L’homme
il y a 3 semaines (18:04 PM)Mame
il y a 3 semaines (18:46 PM)Laayeen
il y a 3 semaines (18:55 PM)Laayeen
il y a 3 semaines (18:55 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (21:03 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (13:35 PM)Laye Makhtar
il y a 3 semaines (20:07 PM)Machallah belle photo.,.....
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il y a 3 semaines (20:43 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (20:43 PM)Xalass
il y a 3 semaines (22:41 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (19:28 PM)Afrik Rek
il y a 3 semaines (23:11 PM)https://www.cnn.com/style/article/senegal-roger-dasilva/index.html
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il y a 3 semaines (01:31 AM)Zion
il y a 3 semaines (23:38 PM)Raul
il y a 3 semaines (00:08 AM)Reply_author
il y a 3 semaines (01:32 AM)Reply_author
il y a 3 semaines (05:10 AM)diamono yi town nékhone na
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il y a 3 semaines (16:16 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (20:51 PM)Une Joie De Vivre !
il y a 3 semaines (08:24 AM)Egab
il y a 3 semaines (09:11 AM)Les Années 50
il y a 3 semaines (11:01 AM)Manuel Bertoleau
il y a 3 semaines (13:53 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (19:28 PM)combien de millions sont morts dans les cales ou jetés par dessus bord parce que trop malades ?
combien n’ont pas survécu aux travaux de forçats une fois arrivés à destination ?
quelle indécence que de faire des comptes d’épicier pour une affaire aussi tragique …
Tangal
il y a 3 semaines (16:02 PM)Mamy
il y a 3 semaines (04:40 AM)Participer à la Discussion