Certains de nos vieux objets métalliques usés, comme les ventilateurs, frigos, chaises, etc., qui nous encombrent, constituent une aubaine pour d’autres. En effet, ces vieux métaux jetés, sont récupérés par les ferrailleurs qui les revendent à des recycleurs à prix d’or.
Au moment où certains de nos objets métalliques atteignent un degré de rouillure, ils deviennent inutiles pour la plupart, voire encombrants.Dans cette optique, il devient important de s’en séparer. Cependant, ils ne le sont pas pour tout le monde. En effet, ils font le compte de certains. Car, ces ferrailles sont récupérées puis revendus par des individus communément appelés ferrailleurs. Lorsque vous les rencontrez dans la rue pour la première fois, vous avez l’impression d’être en face de garagistes à la tâche. Mais, détrompez vous, ce sont des ferrailleurs. Leur travail consiste à trouver le maximum de ferraille qu’ils iront, ensuite, revendre aux recycleurs étrangers à des sommes plus ou moins raisonnables ; chacun y trouve son compte. Il n’est pas possible de faire cent mètres sans rencontrer un de ces ‘pauvres diables’, généralement munis de leurs chariots. Le regard attentif au moindre métal qui traîne dans les environs, ils sillonnent chaque jour les rues de la capitale en quête de leur ‘or grisâtre’.
Moustapha Faye pratique ce métier depuis bientôt deux ans. De corpulence moyenne, élancé, son teint frise l’obscurité ; sûrement à cause du soleil auquel il est constamment exposé. Debout derrière son chariot dégarnit qu’il s’efforce tant bien que mal à faire avancer, il s’explique : ‘Le métier de ferrailleur est très compliqué. Mais, on rend grâce à Dieu si on prend en compte le fait que la plupart du temps ces ferrailles nous sont offerts’. Et souvent, c’est pour des sommes modiques qu’ils les cèdent aux gros commerçants de ferraille qui se chargent de les revendre à des prix plus importants, à des acheteurs étrangers. ’Lorsque qu’on réussit à amasser une certaine quantité, on la vend ensuite aux recycleurs. Les prix, elles, peuvent atteindre 175 francs le kilogramme selon la qualité du métal’, poursuit-il.
Mermoz, ancienne piste. Un bâtiment fraîchement démoli réuni les ferrailleurs. Pour l’occasion, ils sont environ cinq à s’activer autour de cette masse de gravas. Marteau à la main, aucune limite n’est attribuée à la rapidité. Chacun s’efforce de tirer la plus grande part de ce ‘gisement de ferraille’, surtout en cette veille de fête, où les dépenses s’accroissent.
Lamine Diop est un grand commerçant de ferrailles. Il fait partie des marchands de brocantes communément appelés ‘Baol-Baol’. Le commerce de ferraille, il s’y connaît parfaitement grâce à une ancienne collaboration avec des clients étrangers. Son business lui est très bénéfique vu qu’il achète le métal rouillé pour le revendre à un prix plus élevé auprès des recycleurs. Debout au milieu de son business, il explique : ‘après avoir acheté la ferraille auprès des petits ferrailleurs, je la revends ensuite aux Indiens ou aux Chinois à raison de 300 francs le kilogramme. Je fais de bonnes affaires avec eux’, confit-il.
La conjoncture dans laquelle est plongé le monde a créé un essor d’activité hors du commun. Ainsi, même un tas de ferraille gênant peut s’avérer rentable pour certains.
Au moment où certains de nos objets métalliques atteignent un degré de rouillure, ils deviennent inutiles pour la plupart, voire encombrants.Dans cette optique, il devient important de s’en séparer. Cependant, ils ne le sont pas pour tout le monde. En effet, ils font le compte de certains. Car, ces ferrailles sont récupérées puis revendus par des individus communément appelés ferrailleurs. Lorsque vous les rencontrez dans la rue pour la première fois, vous avez l’impression d’être en face de garagistes à la tâche. Mais, détrompez vous, ce sont des ferrailleurs. Leur travail consiste à trouver le maximum de ferraille qu’ils iront, ensuite, revendre aux recycleurs étrangers à des sommes plus ou moins raisonnables ; chacun y trouve son compte. Il n’est pas possible de faire cent mètres sans rencontrer un de ces ‘pauvres diables’, généralement munis de leurs chariots. Le regard attentif au moindre métal qui traîne dans les environs, ils sillonnent chaque jour les rues de la capitale en quête de leur ‘or grisâtre’.
Moustapha Faye pratique ce métier depuis bientôt deux ans. De corpulence moyenne, élancé, son teint frise l’obscurité ; sûrement à cause du soleil auquel il est constamment exposé. Debout derrière son chariot dégarnit qu’il s’efforce tant bien que mal à faire avancer, il s’explique : ‘Le métier de ferrailleur est très compliqué. Mais, on rend grâce à Dieu si on prend en compte le fait que la plupart du temps ces ferrailles nous sont offerts’. Et souvent, c’est pour des sommes modiques qu’ils les cèdent aux gros commerçants de ferraille qui se chargent de les revendre à des prix plus importants, à des acheteurs étrangers. ’Lorsque qu’on réussit à amasser une certaine quantité, on la vend ensuite aux recycleurs. Les prix, elles, peuvent atteindre 175 francs le kilogramme selon la qualité du métal’, poursuit-il.
Mermoz, ancienne piste. Un bâtiment fraîchement démoli réuni les ferrailleurs. Pour l’occasion, ils sont environ cinq à s’activer autour de cette masse de gravas. Marteau à la main, aucune limite n’est attribuée à la rapidité. Chacun s’efforce de tirer la plus grande part de ce ‘gisement de ferraille’, surtout en cette veille de fête, où les dépenses s’accroissent.
Lamine Diop est un grand commerçant de ferrailles. Il fait partie des marchands de brocantes communément appelés ‘Baol-Baol’. Le commerce de ferraille, il s’y connaît parfaitement grâce à une ancienne collaboration avec des clients étrangers. Son business lui est très bénéfique vu qu’il achète le métal rouillé pour le revendre à un prix plus élevé auprès des recycleurs. Debout au milieu de son business, il explique : ‘après avoir acheté la ferraille auprès des petits ferrailleurs, je la revends ensuite aux Indiens ou aux Chinois à raison de 300 francs le kilogramme. Je fais de bonnes affaires avec eux’, confit-il.
La conjoncture dans laquelle est plongé le monde a créé un essor d’activité hors du commun. Ainsi, même un tas de ferraille gênant peut s’avérer rentable pour certains.
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