Échelonné sur 5 ans (2011-2015), le Document de politique économique et sociale (Dpes), qui a été validé hier lors d’un atelier présidé par le Premier ministre, nécessite pour sa mise en œuvre, des investissements d’un montant total 5 749 milliards de francs Cfa dont 4 788 milliards déjà acquis. Il reste au gouvernement de combler un gap cumulatif de 961 milliards sur toute la période.
‘Une économie sénégalaise émergente, garantissant un développement durable et dont les retombées positives sont réparties de manière solidaire’. Telle est la vision donnée au Document de politique économique et sociale. Validé hier, pour une période de cinq ans, sous la présidence du chef du gouvernement et du ministre de l’Economie et des Finances, le Dpes, comme l’a souligné Thierno Niane, coordonnateur du Comité de suivi de la politique économique, lors de la présentation du rapport, nécessite, pour sa mise en œuvre, des investissements d’un montant total de 5 749 milliards de francs Cfa. Les 4 788 milliards étant déjà acquis, il restera au gouvernement de combler le gap cumulatif de 961 milliards sur toute la période.
Le financement de la stratégie se fera à partir de la contribution de l’État et de l’apport des partenaires multilatéraux et bilatéraux. La stratégie 2011-2015 est articulée autour de trois piliers. Il s’agit de la création d’opportunités économiques et de richesses pour la promotion d’emplois productifs et une transformation structurelle de l’économie, l'accroissement de l’accès aux services sociaux de base, la protection sociale et le développement humain durable pour atteindre tous les objectifs du millénaire pour le développement (Omd), satisfaire les besoins sociaux de base et garantir un socle de protection sociale pour les groupes vulnérables en tenant compte des disparités géographiques et de genre.
Il s’agira aussi pour le gouvernement de renforcer les principes fondateurs de bonne gouvernance et la promotion des droits humains en vue d’améliorer significativement la gouvernance économique et financière. Le Dpes devra, en outre, approfondir la décentralisation, renforcer les capacités de l’administration publique et locale et assurer une bonne gouvernance judiciaire. Sous ce rapport, le document vise l’inscription de l’économie dans une dynamique de croissance inclusive et durable. Pour ce faire, il s’agira, à l’horizon 2015, de consolider la stabilité du cadre macroéconomique dans un environnement des affaires propices, porter le taux de croissance économique en moyenne de l’ordre de 6 à 7 %, ramener le déficit public en dessous de 4 % du Pib, améliorer significativement les conditions de vie des populations et consolider la bonne gouvernance économique.
Le Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, qui considère le Dpes comme ‘l’amorce d’un nouvel élan pris par le Sénégal pour les prochaines années’, souligne que ‘le Dpes est devenu notre cadre de référence et dans ce contexte, nous devons garder intacte notre vision d’un Sénégal émergent’. Il souhaite que la mise en œuvre du Document de politique économique et sociale aboutisse à des ‘résultats tangibles pour le bien des Sénégalais’. Le même souhait a été exprimé par le ministre de l’Economie et des Finances. Selon Abdoulaye Diop, il est, en effet, nécessaire de renforcer les ménages, de consolider les acquis au niveau de la scolarisation et de réduire les inégalités sociales et la mortalité infantile. Il a, en outre, plaidé pour la protection sociale des jeunes et la promotion de l’emploi.
La représentante de l’Union européenne, Ricardo Alvarez, tout en saluant les efforts consentis par le Sénégal, a souhaité que d’autres soient consentis au niveau du secteur des transports mais aussi dans les secteurs tels que l’énergie, l’assainissement, l’eau potable pour qu’ils profitent aux populations rurales. Jean Gaspard Ntoutume Ayi, le représentant du Canada, a lui plaidé pour une meilleure concertation entre le gouvernement et les Organisations non gouvernementales (Ong).
17 Commentaires
Takir
En Novembre, 2011 (02:39 AM)Patiscon
En Novembre, 2011 (02:43 AM)Fina
En Novembre, 2011 (03:13 AM)Sonacos
En Novembre, 2011 (03:46 AM)Listing des Actifs Immobiliers et Fonciers de la Sonacos d’une valeur actualisée de 200 Milliards de FCFA, au moment de la privatisation en 2005. PRIX DE CESSION : 5,3 Milliards de FCFA
I - DAKAR
1- Immeuble Rue Calmette Dakar Plateau ;
2- Immeuble Rue Joris ;
3- Immeuble Rue du Docteur Theze ;
4- 350 000 M2 de terrains à Dakar en 29 Lots dont nous publierons les numéros de Titres Fonciers, les localisations ainsi que les heureux spoliateurs. Par exemple, qui est désormais le propriétaire de l’immeuble de la Rue du Docteur Theze.
II – PARIS
1- Deux (2) appartements à Paris dans le 16eme arrondissement pour une valeur actualisée de plus de 5 Millions d’EUROS soit 3,5 Milliards de F CFA presque le prix de cession de la Sonacos a Mr Abass JABER.
III – DIOURBEL
1- Plus de 400 VILLAS formant 2 cités ouvrières à Diourbel dont 240 Villas de Standing ;
2- VINGT ET UN (21) Titres Fonciers portant les numéros : 7B, 52B, 54B, 61B, 243B, 322B, 325B, 340B, 343B, 469B, 483B …….. etc.
IV – KAOLACK
1- HUIT (8) Titres Fonciers portant les numéros de titres fonciers suivants : 3022 K, 3023 K, 3024 K, 2789 K, 2790 K, 1745 K, 911 K, 4494 K.
V – ZIGUINCHOR
1- DIX HUIT (18) Titres Fonciers : 13 BC, 511 BC, 514 BC, 515 BC, 33 BC, 238 BC, 355 BC, 427 BC, 430 BC, 438 BC ….etc.
VI – LOUGA
1- Une Villa de Fonction ;
2- TROIS (3) Titres Fonciers portant les numéros : 617, 658 et 880.
Nous y reviendrons prochainement dans la presse internationale et nationale. Puisque ces gens veulent la guerre, ils vont l'avoir. Le tout accompagné d'actions de dénonciations des crimes économiques à Paris, à Bruxelles et à Washington.
La privatisation de la Sonacos sera au coeur des élections présidentielles de 2012. Ce scandale va achever la candidature du président Abdoulaye WADE et sceller à jamais la carrière politique de Karim WADE, Habib SY, Khadim GUEYE, Abdoulaye DIOP, Abdoulaye BALDE, Farba SENGHOR et Consorts.
Wait and See !
Thiessois
En Novembre, 2011 (06:24 AM)Ilnous faut d´autres idées et d´autres hommes.
D.
En Novembre, 2011 (08:24 AM)Tyresz
En Novembre, 2011 (10:13 AM)Bira
En Novembre, 2011 (10:21 AM)Deug
En Novembre, 2011 (11:21 AM)Sankoung
En Novembre, 2011 (12:21 PM)Ouloul
En Novembre, 2011 (13:41 PM)Patisco
En Novembre, 2011 (14:15 PM)Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Mbour
En Novembre, 2011 (14:16 PM)vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Ndiaganiao
En Novembre, 2011 (14:18 PM)wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek
Diallo 2012
En Novembre, 2011 (14:20 PM)Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Diop_ahmadou
En Novembre, 2011 (15:00 PM)Des corrompus étrangers en lieu et place des Constitutionnalistes déclarent éligible une candidature illégale politiquement, moralement, juridiquement. L’éclairage de la machine à rancunes des rapines politiques ne travaille que pour son propre compte. C’est des mercenaires habiles et serviles sans foi ni loi. Qu’on se le dise pour dit ! Leur expertise relève du caniveau. Ils ne valent rien. Et ils le savent dans leur for intérieur. Des sorciers imaginaires de la part du gain.
La candidature d’un africain au poste de président de la république ne doit être légalisée que par des sorciers imaginaires, venus d’ailleurs, convenablement arrosés par des mallettes ? C’est bien le secret de polichinelle d’une certaine loge apparemment loquace et coriace qui a pris cause et fait pour son poulain naturel, l’homme des reniements.
Les véritables enjeux des élections présidentielles de 2012. N’importe quel guignol, venu d’ailleurs, pourvu qu’il soit doté d’une chaire supérieure de pacotille, peut dire sans crainte des inepties monstrueuses, tant qu’il est arrosé de mallettes pleines à craquer. Un séminaire d’évaluation sur une candidature condamnable, moralement, politiquement, juridiquement, sur commande recommandée du même guichet automatique, corrupteur déclaré, non éclairé peut il être vraiment crédible ?
L’extérieur ne peut régenter jamais la démocratie dans ce pays libre, indépendant. La déclaration à l’emporte pièce d’un intrus zélé aux relents colonialistes relève d’un mépris affiché. Qu’a-t-il de plus que nos constitutionnalistes formés dans les mêmes écoles que lui pour dire de pareilles sottises ? Nous devons avoir le courage de recadrer un tel affabulateur dans ses gongs.
Question.
Si d’aventure, dans l’hypothèse qu’une telle candidature indésirable au regard de son immoralité, laquelle étant soumise aux seules institutions, en la matière, comme demeurant l’organe unique apte à trancher sur la question dans son propre pays, dans les mêmes conditions que celles que nous connaissons, aujourd’hui au Sénégal, aurait-il alors le même culot de parler à la place des constitutionnalistes ?
Sûrement pas ? Comment des américains, des français, ou on ne sait qui d’ailleurs, invités pour la circonstance, fussent-ils même calés en la matière, peuvent-ils valider la candidature d’un homme aux élections présidentielles, dans un pays libre, alors que ceux qui sont chargés juridiquement de statuer sur la question, n’ont pas encore rendu leur verdict. Y a-t-il donc une volonté délibérée de nous prendre pour des moins que rien, pour mettre la charrue avant les bœufs ?
N’est-ce pas là les preuves matérielles d’une ingérence intolérable ? Vouloir valider la candidature du dictateur pithiatique, c’est assurer la monarchie par le sang ; une atteinte portée contre la conscience de la république agenouillée, insultée, humiliée et par, ricochet, mépriser nos institutions. Au-delà même de l’inaptitude avérée du candidat sénilement déclaré, publiquement, pour déficiences mentales, physiques, chroniques, corrélatives à l’âge, c’est tout simplement une assurance promotionnelle, personnelle, tendant à léguer le pouvoir à son propre fils si paresseux par des pirouettes.
Bonne gouvernance ou bonne performance des cambrioleurs ? Notre analyse.
Le bilan surréaliste de l’alternance douteuse, hypocrite et mafieuse, d’une expérience mal vécue, carambouilleuse par son odeur de caniveau depuis plus d’une décennie ostensiblement infecte de l’insolence criarde, pour ne pas crétine, dans sa gestion calamiteuse, de tous les domaines, nous fait allumer les signes avant coureurs que le pire sera devant nous, si nous commettions l’imprudence irréparable de parrainer la cavalcade unie dans ses leurres grotesques. Est-ce que nous voulons une république civilisée, crédible, respectée, respectable, enviée pour remettre les pendules à l’heure, ou alors, laisser le champ libre aux mêmes cambrioleurs, déjà bien servis, pour que nous retournions en arrière de 50 ans ?
Ce que nous croyons, aujourd’hui, c’est un état juge et parti, clanique, clientéliste avec sa sarabande de talibés, prédateurs, corvéables à merci, pourvu qu’ils se partagent l’os au détriment du reste pris comme des veaux. De cette résolution de l’équation dépendra notre avenir et celle des générations futures.
Les mêmes cambrioleurs qui parlent beaucoup dont les discours contrastent parfaitement avec leurs comportements réels, prouvent qu’ils ne cherchent qu’à couvrir leurs propres arriérés dont ils sont comptables; lesquels partagent en commun le même cordon ombilical : l’école de la sottise-made alternance-.
Le vrai enjeu, c’est de jeter en pâture au maximum l’opposition criblée- la vraie de l’ivraie, la seule capable chargée de ressusciter l’espoir perdu pour le triomphe et la remise de l’ordre républicain gommés jusqu’ci, de les peindre faussement et les vilipender publiquement, à dessein qu’elle ne vaut plus rien, de sorte que le simple citoyen doute d’elle, pour légaliser proprement la politique de la main basse sur tout ce qui est rentable, pour l’honneur de façade des boules puantes de la charogne, peu importe donc que cela plaise ou non, nous sommes les esprits libres, décomplexés et décolonisés. Tout le reste n’est que de la cacophonie verbeuse, creuse. Pourquoi refuse-t-on la respectabilité de la même opposition, décriée, aujourd’hui, qui état pourtant, hier, la coqueluche, admirée, cajolée, laquelle avait crée les conditions remarquables de la marche irréversible du candidat de sopi, converti en faux démocrate, alors qu’il a bien donné les preuves matérielles de son échec cuisant ?
Ce qui est cruel, insoutenable, insupportable, dans leurs menteries proéminentes, à libre cours, dans leurs vertèbres, lamentables, c’est que les mêmes menteurs tentent de faire avaler leurs propres pieuvres aux mêmes populations lassées, laissées, indignées, pour le compte de ramassis qu’ils demeurent. Pire, ils ne jurent que sur leur propre culpabilité palpable sur laquelle ils se couchent et ne croient qu’à celle-ci.
Le combat continue !
Ahmadou Diop
Pape Fourtado
En Novembre, 2011 (05:37 AM)Participer à la Discussion