‘’Cet engagement s’inscrit dans l’accroissement de la bonne gouvernance et l’adaptation des textes majeurs de l’UEMOA’’, a expliqué M. Sakho, avant d’ajouter que ‘’la mal gouvernance est régressive pour les populations pauvres’’.
M. Sakho s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture de l’atelier de vulgarisation des acquis de la réforme des marchés publics dans l’espace UEMOA (Union économique et monétaire ouest africaine) et de sensibilisation à la lutte contre la corruption.
Elle se poursuit jusqu’à vendredi.Sur la lutte contre la corruption, il a indiqué, que cette rencontre de travail vise sensibiliser les participants à lutter contre la corruption dans les Etats de l’UEMOA, à installer ‘’le principe de l’égalité et d’éthique dans les Etats membres.
‘’Ceci, dit-il, afin de favoriser la bonne gestion des ressources publiques’’.Représentant le ministre sénégalais de l’Economie et des Finances, Néné Ndiaye Mboup Dieng, a souligné pour sa part que cet atelier vise à promouvoir la réalisation et la vulgarisation des marchés publics, mais aussi à répondre aux satisfactions des Etats et aux besoins urgents des populations.
Depuis 17 ans avec le Traité de fondateur du 10 janvier 1994, l’UEMOA regroupe sept pays francophones, le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo et un Etat lusophone, la Guinée-Bissau (mai 1997).
Répartie sur une superficie de 3.509.600 Km2, l’Union est créditée d’un Produit intérieur brut (PIB) de 32.637,2 milliards de francs CFA et elle compte 93,6 millions de ressortissants, des populations en majorité jeunes.
2 Commentaires
Un Inconnu
En Octobre, 2011 (19:56 PM)Reew Ba Fouri
En Octobre, 2011 (10:36 AM)Ton pére aussi doit être certainement inconnu.
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