L’ancienne Société des textiles de Kaolack (Sotexka) va désormais porter le nom de Domitexka. Son démarrage est prévu pour cette semaine, a annoncé samedi, son repreneur Serigne Mboup. C’était en marge de l’assemblée générale de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Kaolack. Selon M. Mboup, tout est fin prêt pour la reprise, même si l’on constate quelques agitations de la part de certains travailleurs qui insistent sur les arriérés de salaires.
Mais de l’avis du repreneur, il n’y a qu’une infime partie du personnel qui s’agite. « Ce sont des travailleurs qui ont déjà trouvé ailleurs un nouvel emploi, mais qui insistent pour les arriérés de salaires leur soient versés », a expliqué M. Mboup. Il ajoute que sa préoccupation est aujourd’hui de relancer l’usine avec un investissement de quelque 3 milliards Cfa, dont une bonne partie est réservée à la mise en place d’une centrale électrique devant fonctionner sur la base de coques d’arachide.
Le repreneur a tenu à remercier les travailleurs qui, debout comme un seul homme, ont décidé de sauvegarder leur outil de travail, acceptant de redémarrer le travail, en attendant de meilleurs jours pour entrer dans leurs fonds. « Je ne pourrai pas utiliser l’argent destiné à la reprise pour payer des arriérés de salaires, un acte qui pourrait hypothéquer le fonctionnement de l’usine », a encore expliqué Serigne Mboup. Il dit être guidé par l’intérêt des populations de la région de Kaolack et le souci de préserver plusieurs centaines d‘emplois.
Mais de l’avis du repreneur, il n’y a qu’une infime partie du personnel qui s’agite. « Ce sont des travailleurs qui ont déjà trouvé ailleurs un nouvel emploi, mais qui insistent pour les arriérés de salaires leur soient versés », a expliqué M. Mboup. Il ajoute que sa préoccupation est aujourd’hui de relancer l’usine avec un investissement de quelque 3 milliards Cfa, dont une bonne partie est réservée à la mise en place d’une centrale électrique devant fonctionner sur la base de coques d’arachide.
Le repreneur a tenu à remercier les travailleurs qui, debout comme un seul homme, ont décidé de sauvegarder leur outil de travail, acceptant de redémarrer le travail, en attendant de meilleurs jours pour entrer dans leurs fonds. « Je ne pourrai pas utiliser l’argent destiné à la reprise pour payer des arriérés de salaires, un acte qui pourrait hypothéquer le fonctionnement de l’usine », a encore expliqué Serigne Mboup. Il dit être guidé par l’intérêt des populations de la région de Kaolack et le souci de préserver plusieurs centaines d‘emplois.
9 Commentaires
Badou
En Novembre, 2010 (09:01 AM)à
En Novembre, 2010 (09:20 AM)Nd
En Novembre, 2010 (09:38 AM)Nd
En Novembre, 2010 (09:39 AM)Ngalla Dia Nice
En Novembre, 2010 (11:13 AM)Gueum Sa Bop
En Novembre, 2010 (14:16 PM)Borom Darou Minane
En Novembre, 2010 (20:53 PM)Bibi
En Novembre, 2010 (22:22 PM)1
En Décembre, 2010 (09:06 AM)Participer à la Discussion