C’est une innovation dans le domaine du commerce via le net. En effet, un site dénommé Yeswesell (oui, nous vendons, en français) vient d’être lancé et son objectif est de vendre les produits fabriqués par les prisonniers du Sénégal. Selon le fondateur de cette plateforme lancée depuis vendredi, Moctar Cissé, ce premier site d’e-commerce est destiné à la «vente exclusive de produits faits par les détenus».
«Ces objets en vente sont essentiellement composés d’œuvres d’art, de mobiliers de maison en passant également par la transformation de produits locaux», explique M. Cissé dans un communiqué.
A la question de savoir d’où leur vient cette envie de participer à la réinsertion des détenus, le fondateur de Yeswesell, lui-même fils d’un garde pénitentiaire, soutient que les personnes en marge de la société ne doivent guère être laissées à leur sort.
«Ne pas abandonner les détenus à leur sort et au statut de reclus de la société, mais plutôt les aider à préparer leur réinsertion grâce aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, voilà le rêve de la startup Yeswesell», dit Moctar Cissé. Avec une telle innovation, M. Cissé a donc décidé de mettre au service du monde carcéral ses compétences en informatique «pour contribuer à faciliter leur réinsertion, car rappelle-t-il, la prison ne doit pas être la fin de la vie, mais plutôt le début d’une seconde vie, une vie de vertus».
Pour rappel, Moctar Cissé n’en est pas à sa première du genre. En effet, il faut savoir qu’il avait mis au point une application intitulée Jottaliko qui a été finaliste du Sommet mondial de l’entreprenariat à Nairobi au Kenya. Un projet qui lui a aussi permis d’être finaliste au concours du 2ie au Burkina Faso et de recevoir le prix «Coup de cœur du jury».
bgdioplequotidien.sn
«Ces objets en vente sont essentiellement composés d’œuvres d’art, de mobiliers de maison en passant également par la transformation de produits locaux», explique M. Cissé dans un communiqué.
A la question de savoir d’où leur vient cette envie de participer à la réinsertion des détenus, le fondateur de Yeswesell, lui-même fils d’un garde pénitentiaire, soutient que les personnes en marge de la société ne doivent guère être laissées à leur sort.
«Ne pas abandonner les détenus à leur sort et au statut de reclus de la société, mais plutôt les aider à préparer leur réinsertion grâce aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, voilà le rêve de la startup Yeswesell», dit Moctar Cissé. Avec une telle innovation, M. Cissé a donc décidé de mettre au service du monde carcéral ses compétences en informatique «pour contribuer à faciliter leur réinsertion, car rappelle-t-il, la prison ne doit pas être la fin de la vie, mais plutôt le début d’une seconde vie, une vie de vertus».
Pour rappel, Moctar Cissé n’en est pas à sa première du genre. En effet, il faut savoir qu’il avait mis au point une application intitulée Jottaliko qui a été finaliste du Sommet mondial de l’entreprenariat à Nairobi au Kenya. Un projet qui lui a aussi permis d’être finaliste au concours du 2ie au Burkina Faso et de recevoir le prix «Coup de cœur du jury».
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Anonyme
En Janvier, 2016 (20:00 PM)Participer à la Discussion