Lors de la cérémonie du Concours général 2025, le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, a annoncé une grande nouveauté : dès l’année prochaine, un concours national de mathématiques sera organisé pour les élèves du CM2 jusqu’en terminale avec, à la clé, des récompenses significatives. Une manière de valoriser les talents dès le plus jeune âge.
Les élèves du CM2 figureront désormais parmi les lauréats officiels du Concours général.
Dans le même esprit, le président Faye a réaffirmé son engagement à renforcer l’accès au numérique, à soutenir les enseignants et à moderniser l’école sénégalaise.
Il a également annoncé un projet de construction de 118 LYNAQ, des hubs d’innovation technologiques qui seront implantés dans différentes localités du pays pour encourager l’éducation et l’innovation à l’échelle nationale.
Bravo! C'est une excellente initiative M.le président de la république.
Répondre à SeNeGal.
Observateuril y a 1 mois
Merci Président, pour l'esprit innovant
AI is Hereil y a 1 mois
Forces :
Il a reconnu les dangers réels : vie privée, inégalités, dépendance technologique.
Il a appelé à la souveraineté numérique — un message puissant pour les nations africaines souvent dépendantes des technologies importées.
Il a présenté l’éducation non seulement comme une consommation, mais comme une création — cela encourage l’autonomie des jeunes.
❌ Ce qu’il Aurait Pu Ajouter (ou Souligner Davantage) :
Des politiques concrètes — Le discours manque de clarté sur comment le Sénégal va gouverner l’IA dans l’éducation. Une mention des lois sur la protection des données, des réformes du programme scolaire, ou des partenariats avec des start-ups locales aurait rendu sa vision plus réalisable.
Le leadership de l’innovation africaine — Au lieu de réagir de manière défensive face aux technologies étrangères, il aurait pu promouvoir un modèle éducatif africain de l’IA qui contribue à l’échelle mondiale. Pourquoi ne pas positionner le Sénégal comme un pôle de l’IA éthique et enracinée dans les valeurs africaines ?
La formation des enseignants — Les enseignants sont les gardiens de la réforme éducative. Il aurait pu promettre des investissements directs dans la formation des éducateurs afin qu’ils puissent utiliser les outils de l’IA de manière critique et réfléchie, pas seulement les étudiants.
L’implication des étudiants — Il a manqué l’opportunité de mettre l'accent sur la co-création — en impliquant les étudiants et les jeunes développeurs dans la conception de l’IA éducative.
Sincerement votre
Répondre à Observateur
diop diopil y a 1 mois
liy deugg moy copier sur les pays qui réussissent.
orienter les élèves des la seconde et alléger le programme comme ca on aura des ingénieurs âgés de 21 ans , de 22ans ou de 23 ans.
attendre que l'élève ait des besoins financiers énormes pour vouloir qu'ils spécialisent
Répondre à diop diop
senegalaisXYil y a 1 mois
L’avenir de la médecine réside dans le numérique et l’intelligence artificielle, avec des outils de diagnostic et de traitement très avancés capables de vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique ouvre des perspectives extrêmement prometteuses.
Cependant, nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs suffisamment équipées pour former dans ce nouveau domaine.
C’est pourquoi le gouvernement doit relancer l’attribution de la bourse d’excellence pour la France, notamment dans le cadre des classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Il est également impératif d’élargir cette coopération à d’autres pays comme la Chine, l’Inde, le Japon, l’Australie, Singapour et l’Angleterre, afin de permettre l’envoi de centaines d’étudiants dans chacun de ces pays.
De nombreux pays en développement, comme le Maroc et la Chine, continuent d’envoyer chaque année des centaines d’étudiants en France pour bénéficier des meilleures formations en ingénierie, avec pour objectif de les voir revenir ensuite servir leur pays.
Il faut simplement mettre en place un dispositif garantissant leur retour au Sénégal à la fin de leur formation, suivi d’une période de trois ans d’expérience professionnelle, éventuellement à l’international.
Mais garder tous les bacheliers au Sénégal, alors que nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs capables de les former convenablement, constitue un véritable gâchis.
Les rares écoles existantes, comme l’École Polytechnique de Thiès ou l’École Supérieure Polytechnique de Dakar, ne sont malheureusement pas suffisamment outillées pour former des ingénieurs hautement qualifiés. À leur sortie, beaucoup de jeunes diplômés peinent à trouver un emploi et se voient proposer des salaires bruts de l’ordre de 400 000 FCFA, voire moins.
Un jeune qui réussit un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien mérite d’être soutenu afin d’intégrer une école de haut niveau, qui lui garantira plus tard un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire tous ces efforts pour finir dans la précarité n’est pas un modèle qui incite à l’excellence.
L’industrialisation du pays ne sera possible que si nous disposons d’un vivier suffisant d’ingénieurs bien formés, issus des meilleures écoles du monde. Il est donc impératif d’envoyer nos étudiants à l’étranger pour qu’ils bénéficient de l’expertise avancée de ces pays dans des domaines clés tels que : les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, les neurosciences ou encore la biotechnologie.
Former une génération d’ingénieurs sénégalais compétents et à la pointe des technologies nous évitera de voir l’espace public accaparé par des personnes ignorantes tenant des discours creux. Dans une société bien formée, seuls ceux qui savent ont droit à la parole
Répondre à senegalaisXY
il y a 1 mois
la Chine est la première puissance économique maintenant. pas une pays en développement.
reply_authoril y a 1 mois
Ici le débat n’est pas de classer la Chine en pays développés ou en développement. Quand le sage pointe la lune, l’idiot regarde le doigt. Le plus important c’est l’idée pertinente exprimée dans le commentaire. Votre seul fort c’est de trouver un débat constructif et vous le changez en invectives, en détails et en futilités, finalement si on te suit on sera là à débattre sur des détails qui vont nous écarter complètement du sujet initial. Voilà pourquoi il est important d’avoir des ingénieurs hautement qualifiés, formés dans les plus grandes universités du monde, ça évitera d’avoir que des cancres qui occupent les réseaux sociaux à débiter des hors sujets, des futilités et des détails.
Répondre à
il y a 1 mois
la Chine est la première puissance économique maintenant. pas une pays en développement.
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il y a 1 mois
la Chine est la première puissance économique maintenant. pas une pays en développement.
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il y a 1 mois
CELA FAIT AU MOINS 4 ANS QUE LE PREMIER PRIX DE PHILO N A PAS ETE DECERNE
C EST QUOI LE PROBLEME
Répondre à
il y a 1 mois
Les meilleurs doivent aller se former dans les plus grandes écoles mondiales
Cependant il faudrait un suivu radical pour qu il retourne au pays apres 5 ans d expérience professionnelle dans leur domaine car le pays a énormément dépensé pour eux
On depense des milliards et à la fin ces derniers ne rentrent pas au senegal ce qui est anormal
reply_authoril y a 1 mois
L’avenir de la médecine réside dans le numérique et l’intelligence artificielle, avec des outils de diagnostic et de traitement très avancés capables de vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique ouvre des perspectives extrêmement prometteuses.
Cependant, nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs suffisamment équipées pour former dans ce nouveau domaine.
C’est pourquoi le gouvernement doit relancer l’attribution de la bourse d’excellence pour la France, notamment dans le cadre des classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Il est également impératif d’élargir cette coopération à d’autres pays comme la Chine, l’Inde, le Japon, l’Australie, Singapour et l’Angleterre, afin de permettre l’envoi de centaines d’étudiants dans chacun de ces pays.
De nombreux pays en développement, comme le Maroc et la Chine, continuent d’envoyer chaque année des centaines d’étudiants en France pour bénéficier des meilleures formations en ingénierie, avec pour objectif de les voir revenir ensuite servir leur pays.
Il faut simplement mettre en place un dispositif garantissant leur retour au Sénégal à la fin de leur formation, suivi d’une période de trois ans d’expérience professionnelle, éventuellement à l’international.
Mais garder tous les bacheliers au Sénégal, alors que nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs capables de les former convenablement, constitue un véritable gâchis.
Les rares écoles existantes, comme l’École Polytechnique de Thiès ou l’École Supérieure Polytechnique de Dakar, ne sont malheureusement pas suffisamment outillées pour former des ingénieurs hautement qualifiés. À leur sortie, beaucoup de jeunes diplômés peinent à trouver un emploi et se voient proposer des salaires bruts de l’ordre de 400 000 FCFA, voire moins.
Un jeune qui réussit un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien mérite d’être soutenu afin d’intégrer une école de haut niveau, qui lui garantira plus tard un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire tous ces efforts pour finir dans la précarité n’est pas un modèle qui incite à l’excellence.
L’industrialisation du pays ne sera possible que si nous disposons d’un vivier suffisant d’ingénieurs bien formés, issus des meilleures écoles du monde. Il est donc impératif d’envoyer nos étudiants à l’étranger pour qu’ils bénéficient de l’expertise avancée de ces pays dans des domaines clés tels que : les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, les neurosciences ou encore la biotechnologie.
Former une génération d’ingénieurs sénégalais compétents et à la pointe des technologies nous évitera de voir l’espace public accaparé par des personnes ignorantes tenant des discours creux. Dans une société bien formée, seuls ceux qui savent ont droit à la parole
Répondre à
il y a 1 mois
L’avenir de la médecine réside dans le numérique et l’intelligence artificielle, avec des outils de diagnostic et de traitement très avancés capables de vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique ouvre des perspectives extrêmement prometteuses.
Cependant, nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs suffisamment équipées pour former dans ce nouveau domaine.
C’est pourquoi le gouvernement doit relancer l’attribution de la bourse d’excellence pour la France, notamment dans le cadre des classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Il est également impératif d’élargir cette coopération à d’autres pays comme la Chine, l’Inde, le Japon, l’Australie, Singapour et l’Angleterre, afin de permettre l’envoi de centaines d’étudiants dans chacun de ces pays.
De nombreux pays en développement, comme le Maroc et la Chine, continuent d’envoyer chaque année des centaines d’étudiants en France pour bénéficier des meilleures formations en ingénierie, avec pour objectif de les voir revenir ensuite servir leur pays.
Il faut simplement mettre en place un dispositif garantissant leur retour au Sénégal à la fin de leur formation, suivi d’une période de trois ans d’expérience professionnelle, éventuellement à l’international.
Mais garder tous les bacheliers au Sénégal, alors que nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs capables de les former convenablement, constitue un véritable gâchis.
Les rares écoles existantes, comme l’École Polytechnique de Thiès ou l’École Supérieure Polytechnique de Dakar, ne sont malheureusement pas suffisamment outillées pour former des ingénieurs hautement qualifiés. À leur sortie, beaucoup de jeunes diplômés peinent à trouver un emploi et se voient proposer des salaires bruts de l’ordre de 400 000 FCFA, voire moins.
Un jeune qui réussit un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien mérite d’être soutenu afin d’intégrer une école de haut niveau, qui lui garantira plus tard un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire tous ces efforts pour finir dans la précarité n’est pas un modèle qui incite à l’excellence.
L’industrialisation du pays ne sera possible que si nous disposons d’un vivier suffisant d’ingénieurs bien formés, issus des meilleures écoles du monde. Il est donc impératif d’envoyer nos étudiants à l’étranger pour qu’ils bénéficient de l’expertise avancée de ces pays dans des domaines clés tels que : les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, les neurosciences ou encore la biotechnologie.
Former une génération d’ingénieurs sénégalais compétents et à la pointe des technologies nous évitera de voir l’espace public accaparé par des personnes ignorantes tenant des discours creux. Dans une société bien formée, seuls ceux qui savent ont droit à la parole
reply_authoril y a 1 mois
J'ai signé l'engagement tri-quinquenal que tout élève en classe de Terminale devait signer. Je ne sais pas si cela existe encore. J'ai signé le mien en 89 et il fallait le déposer à La Poste. Je ne l'ai helas pas respecté... Je contribue cependant à ma maniere. Je suppose que c'est sous le régime de Senghor qu'il fut cet engagement fut institué. Beaucoup revenaient au Senegal sans y etre contraints et ce malgré de bien meilleures perspectives ailleurs. Je suppose que c'est ainsi qu'étaient revenus aussitot apres leurs etudes les Mamadou Lamine Diallo de Tekki (Polytechnique et Mines), Mamoussé Diagne, Souleymane Bachir Diagne, Ulm, Thiam du PIT, décede, Papa Abdoulaye Diaw (Polytechnique) etc. Il y en a qui sont apres retournés en Occident, c'est le cas de Bachir Diagne apres plus de 20 ans au Senegal. Je me souviens qu'il disait avoir respecté son engagement et qu'il garderait le lien... D'autres reviennent apres 15 à 20 ans : Barthélémy Faye... C'est il me semble la tendance et de telles retours sont favorisée par l'installation des multi-nationales dans lesquelles ces Senegalais travaillaient deja (simple supposition de ma part)... Mais j'ai l'impression que ce sont surtout desormais les jeunes nés en Europe, de parents senegalais, qui partent s'installer au Senegal et y faire leur business. Je vois de jeunes filles et fils d'immigrés nés en France, mais aussi en Angleterre et en Allemagne, qui malgré l'obstace de la langue pour certains, tentent de s'installer au Senegal et y mener leur business ... Ce ne doit pas etre evident.
Commentaires (10)
Bravo! C'est une excellente initiative M.le président de la république.
Merci Président, pour l'esprit innovant
Forces :
Il a reconnu les dangers réels : vie privée, inégalités, dépendance technologique.
Il a appelé à la souveraineté numérique — un message puissant pour les nations africaines souvent dépendantes des technologies importées.
Il a présenté l’éducation non seulement comme une consommation, mais comme une création — cela encourage l’autonomie des jeunes.
❌ Ce qu’il Aurait Pu Ajouter (ou Souligner Davantage) :
Des politiques concrètes — Le discours manque de clarté sur comment le Sénégal va gouverner l’IA dans l’éducation. Une mention des lois sur la protection des données, des réformes du programme scolaire, ou des partenariats avec des start-ups locales aurait rendu sa vision plus réalisable.
Le leadership de l’innovation africaine — Au lieu de réagir de manière défensive face aux technologies étrangères, il aurait pu promouvoir un modèle éducatif africain de l’IA qui contribue à l’échelle mondiale. Pourquoi ne pas positionner le Sénégal comme un pôle de l’IA éthique et enracinée dans les valeurs africaines ?
La formation des enseignants — Les enseignants sont les gardiens de la réforme éducative. Il aurait pu promettre des investissements directs dans la formation des éducateurs afin qu’ils puissent utiliser les outils de l’IA de manière critique et réfléchie, pas seulement les étudiants.
L’implication des étudiants — Il a manqué l’opportunité de mettre l'accent sur la co-création — en impliquant les étudiants et les jeunes développeurs dans la conception de l’IA éducative.
Sincerement votre
liy deugg moy copier sur les pays qui réussissent.
orienter les élèves des la seconde et alléger le programme comme ca on aura des ingénieurs âgés de 21 ans , de 22ans ou de 23 ans.
attendre que l'élève ait des besoins financiers énormes pour vouloir qu'ils spécialisent
L’avenir de la médecine réside dans le numérique et l’intelligence artificielle, avec des outils de diagnostic et de traitement très avancés capables de vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique ouvre des perspectives extrêmement prometteuses.
Cependant, nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs suffisamment équipées pour former dans ce nouveau domaine.
C’est pourquoi le gouvernement doit relancer l’attribution de la bourse d’excellence pour la France, notamment dans le cadre des classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Il est également impératif d’élargir cette coopération à d’autres pays comme la Chine, l’Inde, le Japon, l’Australie, Singapour et l’Angleterre, afin de permettre l’envoi de centaines d’étudiants dans chacun de ces pays.
De nombreux pays en développement, comme le Maroc et la Chine, continuent d’envoyer chaque année des centaines d’étudiants en France pour bénéficier des meilleures formations en ingénierie, avec pour objectif de les voir revenir ensuite servir leur pays.
Il faut simplement mettre en place un dispositif garantissant leur retour au Sénégal à la fin de leur formation, suivi d’une période de trois ans d’expérience professionnelle, éventuellement à l’international.
Mais garder tous les bacheliers au Sénégal, alors que nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs capables de les former convenablement, constitue un véritable gâchis.
Les rares écoles existantes, comme l’École Polytechnique de Thiès ou l’École Supérieure Polytechnique de Dakar, ne sont malheureusement pas suffisamment outillées pour former des ingénieurs hautement qualifiés. À leur sortie, beaucoup de jeunes diplômés peinent à trouver un emploi et se voient proposer des salaires bruts de l’ordre de 400 000 FCFA, voire moins.
Un jeune qui réussit un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien mérite d’être soutenu afin d’intégrer une école de haut niveau, qui lui garantira plus tard un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire tous ces efforts pour finir dans la précarité n’est pas un modèle qui incite à l’excellence.
L’industrialisation du pays ne sera possible que si nous disposons d’un vivier suffisant d’ingénieurs bien formés, issus des meilleures écoles du monde. Il est donc impératif d’envoyer nos étudiants à l’étranger pour qu’ils bénéficient de l’expertise avancée de ces pays dans des domaines clés tels que : les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, les neurosciences ou encore la biotechnologie.
Former une génération d’ingénieurs sénégalais compétents et à la pointe des technologies nous évitera de voir l’espace public accaparé par des personnes ignorantes tenant des discours creux. Dans une société bien formée, seuls ceux qui savent ont droit à la parole
la Chine est la première puissance économique maintenant. pas une pays en développement.
Ici le débat n’est pas de classer la Chine en pays développés ou en développement. Quand le sage pointe la lune, l’idiot regarde le doigt. Le plus important c’est l’idée pertinente exprimée dans le commentaire. Votre seul fort c’est de trouver un débat constructif et vous le changez en invectives, en détails et en futilités, finalement si on te suit on sera là à débattre sur des détails qui vont nous écarter complètement du sujet initial. Voilà pourquoi il est important d’avoir des ingénieurs hautement qualifiés, formés dans les plus grandes universités du monde, ça évitera d’avoir que des cancres qui occupent les réseaux sociaux à débiter des hors sujets, des futilités et des détails.
la Chine est la première puissance économique maintenant. pas une pays en développement.
la Chine est la première puissance économique maintenant. pas une pays en développement.
CELA FAIT AU MOINS 4 ANS QUE LE PREMIER PRIX DE PHILO N A PAS ETE DECERNE
C EST QUOI LE PROBLEME
Les meilleurs doivent aller se former dans les plus grandes écoles mondiales
Cependant il faudrait un suivu radical pour qu il retourne au pays apres 5 ans d expérience professionnelle dans leur domaine car le pays a énormément dépensé pour eux
On depense des milliards et à la fin ces derniers ne rentrent pas au senegal ce qui est anormal
L’avenir de la médecine réside dans le numérique et l’intelligence artificielle, avec des outils de diagnostic et de traitement très avancés capables de vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique ouvre des perspectives extrêmement prometteuses.
Cependant, nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs suffisamment équipées pour former dans ce nouveau domaine.
C’est pourquoi le gouvernement doit relancer l’attribution de la bourse d’excellence pour la France, notamment dans le cadre des classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Il est également impératif d’élargir cette coopération à d’autres pays comme la Chine, l’Inde, le Japon, l’Australie, Singapour et l’Angleterre, afin de permettre l’envoi de centaines d’étudiants dans chacun de ces pays.
De nombreux pays en développement, comme le Maroc et la Chine, continuent d’envoyer chaque année des centaines d’étudiants en France pour bénéficier des meilleures formations en ingénierie, avec pour objectif de les voir revenir ensuite servir leur pays.
Il faut simplement mettre en place un dispositif garantissant leur retour au Sénégal à la fin de leur formation, suivi d’une période de trois ans d’expérience professionnelle, éventuellement à l’international.
Mais garder tous les bacheliers au Sénégal, alors que nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs capables de les former convenablement, constitue un véritable gâchis.
Les rares écoles existantes, comme l’École Polytechnique de Thiès ou l’École Supérieure Polytechnique de Dakar, ne sont malheureusement pas suffisamment outillées pour former des ingénieurs hautement qualifiés. À leur sortie, beaucoup de jeunes diplômés peinent à trouver un emploi et se voient proposer des salaires bruts de l’ordre de 400 000 FCFA, voire moins.
Un jeune qui réussit un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien mérite d’être soutenu afin d’intégrer une école de haut niveau, qui lui garantira plus tard un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire tous ces efforts pour finir dans la précarité n’est pas un modèle qui incite à l’excellence.
L’industrialisation du pays ne sera possible que si nous disposons d’un vivier suffisant d’ingénieurs bien formés, issus des meilleures écoles du monde. Il est donc impératif d’envoyer nos étudiants à l’étranger pour qu’ils bénéficient de l’expertise avancée de ces pays dans des domaines clés tels que : les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, les neurosciences ou encore la biotechnologie.
Former une génération d’ingénieurs sénégalais compétents et à la pointe des technologies nous évitera de voir l’espace public accaparé par des personnes ignorantes tenant des discours creux. Dans une société bien formée, seuls ceux qui savent ont droit à la parole
L’avenir de la médecine réside dans le numérique et l’intelligence artificielle, avec des outils de diagnostic et de traitement très avancés capables de vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique ouvre des perspectives extrêmement prometteuses.
Cependant, nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs suffisamment équipées pour former dans ce nouveau domaine.
C’est pourquoi le gouvernement doit relancer l’attribution de la bourse d’excellence pour la France, notamment dans le cadre des classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Il est également impératif d’élargir cette coopération à d’autres pays comme la Chine, l’Inde, le Japon, l’Australie, Singapour et l’Angleterre, afin de permettre l’envoi de centaines d’étudiants dans chacun de ces pays.
De nombreux pays en développement, comme le Maroc et la Chine, continuent d’envoyer chaque année des centaines d’étudiants en France pour bénéficier des meilleures formations en ingénierie, avec pour objectif de les voir revenir ensuite servir leur pays.
Il faut simplement mettre en place un dispositif garantissant leur retour au Sénégal à la fin de leur formation, suivi d’une période de trois ans d’expérience professionnelle, éventuellement à l’international.
Mais garder tous les bacheliers au Sénégal, alors que nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs capables de les former convenablement, constitue un véritable gâchis.
Les rares écoles existantes, comme l’École Polytechnique de Thiès ou l’École Supérieure Polytechnique de Dakar, ne sont malheureusement pas suffisamment outillées pour former des ingénieurs hautement qualifiés. À leur sortie, beaucoup de jeunes diplômés peinent à trouver un emploi et se voient proposer des salaires bruts de l’ordre de 400 000 FCFA, voire moins.
Un jeune qui réussit un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien mérite d’être soutenu afin d’intégrer une école de haut niveau, qui lui garantira plus tard un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire tous ces efforts pour finir dans la précarité n’est pas un modèle qui incite à l’excellence.
L’industrialisation du pays ne sera possible que si nous disposons d’un vivier suffisant d’ingénieurs bien formés, issus des meilleures écoles du monde. Il est donc impératif d’envoyer nos étudiants à l’étranger pour qu’ils bénéficient de l’expertise avancée de ces pays dans des domaines clés tels que : les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, les neurosciences ou encore la biotechnologie.
Former une génération d’ingénieurs sénégalais compétents et à la pointe des technologies nous évitera de voir l’espace public accaparé par des personnes ignorantes tenant des discours creux. Dans une société bien formée, seuls ceux qui savent ont droit à la parole
J'ai signé l'engagement tri-quinquenal que tout élève en classe de Terminale devait signer. Je ne sais pas si cela existe encore. J'ai signé le mien en 89 et il fallait le déposer à La Poste. Je ne l'ai helas pas respecté... Je contribue cependant à ma maniere. Je suppose que c'est sous le régime de Senghor qu'il fut cet engagement fut institué. Beaucoup revenaient au Senegal sans y etre contraints et ce malgré de bien meilleures perspectives ailleurs. Je suppose que c'est ainsi qu'étaient revenus aussitot apres leurs etudes les Mamadou Lamine Diallo de Tekki (Polytechnique et Mines), Mamoussé Diagne, Souleymane Bachir Diagne, Ulm, Thiam du PIT, décede, Papa Abdoulaye Diaw (Polytechnique) etc. Il y en a qui sont apres retournés en Occident, c'est le cas de Bachir Diagne apres plus de 20 ans au Senegal. Je me souviens qu'il disait avoir respecté son engagement et qu'il garderait le lien... D'autres reviennent apres 15 à 20 ans : Barthélémy Faye... C'est il me semble la tendance et de telles retours sont favorisée par l'installation des multi-nationales dans lesquelles ces Senegalais travaillaient deja (simple supposition de ma part)... Mais j'ai l'impression que ce sont surtout desormais les jeunes nés en Europe, de parents senegalais, qui partent s'installer au Senegal et y faire leur business. Je vois de jeunes filles et fils d'immigrés nés en France, mais aussi en Angleterre et en Allemagne, qui malgré l'obstace de la langue pour certains, tentent de s'installer au Senegal et y mener leur business ... Ce ne doit pas etre evident.
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