Enseignement supérieur : comment savoir qu’un diplôme est reconnu au Sénégal

5 Commentaires

1. 

   Urgence

   En Mars, 2023 (10:02 AM)

   Nom de Dieu, agissez vite pour sauver tous ces jeunes et leurs parents désespérés qui vont s'inscrire dans des écoles d’enseignement supérieur privés et universités qui délivrent des torchons qui n'ont aucune valeur. 
   
   Tous les parents stressent dès que leurs enfants s'inscrivent en Terminale car ils se demandent tous ou inscrire leurs enfants après leur BAC. Et puisque nos universités publiques sont bondés et toujours en grève, les établissements d’enseignement supérieur privés sont malheureusement les seuls roues de secours pour la plus part des bacheliers. Et bcp de ces établissements d’enseignement supérieur privés ne sont pas homologués ou habilités et délivrent donc des diplômes non reconnus pour la poursuite des études. 
   
   Ce qui veut dire que les étudiants diplômés de ces établissements d’enseignement supérieur privés qui ont payé des millions et passés plusieurs années dans ces écoles se retrouvent avec du papier entre leurs mains. 
   
   Alors, aux fonctionnaires sénégalais chargés du contrôle de ces établissement, agissez et arrêtez l'hécatombe au lieu de parler, parler depuis des années sans rien faire !

   Répondre +191 -0

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   • 

     Shrek

     En Mars, 2023 (11:29 AM)

     Votre commentaire est plus clair et mieux structuré que l'article lui-même. Aucune faute d'orthographe, de grammaire et de conjugaison notée. BRAVO!

     Répondre +38 -2

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   • 

     Reply_author

     En Mars, 2023 (12:54 PM)

     Et surtout sauver les poches ça coûte chère l'enseignement professionnel au Sénégal 

     Répondre +1 -0

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L’activiste
En Mars, 2023 (10:37 AM)
Le plus grand arnaque au Sénégal se trouve au niveau des écoles de formation 
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Bouba
En Mars, 2023 (14:18 PM)
c'est quoi un diplôme non reconnu et un diplôme reconnu par l'Etat du Sénégal? l'article parle des diplômes décernés au Sénégal, seul l'Etat est responsable, il offre à tous l'accès au supérieur, or les écoles supérieures ne peuvent pas acceuillir tous les bacheliers.
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En Mars, 2023 (15:08 PM)
Je connais une personne qui n'a jamais eu de BFEM car ayant arrêté ses études en 3e il y a 20 ans de cela. Elle a travaillé dans le commerce pendant quelques années. Quand elle a voulu retourner aux études une école de formation supérieure lui a proposé de l'inscrire en licence 3 sous prétexte qu'elle a de l'expérience dans le commerce. Selon l'École, la petite expérience de la personne remplace automatiquement le BFEM, le BAC et les 2 premières années universitaires. En plus, la formation se faisait en temps partiel entre 18h et 21h pour 2 jours par semaine. Au bout de quelques mois l'école lui a décerné une licence. 

Aujourd'hui elle se vante d'avoir un diplôme universitaire sans effort. 

Ça se passe à Dakar.
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En Mars, 2023 (16:58 PM)
Certes l'Anaqsup, le CAMES, etc., font du bon travail. Toutefois, il faut etre nuancé. Un diplome reconnu par ces structures ne garantit pas forcement la competence qui, elle, assure l'employabilité. Il y a bon nombre de diplomes reconnus par ses instances et dont les titulaires ne savent faire grand chose. 

Seules les ecoles peuvent s'engager, eu egard aux efforts financiers consentis par les parents et par empathie au jeunes qui leur font confiance, à assurer le developpement de la competence chez ces derniers à travers leurs approches pedagogiques et leurs dispositifs de formation. Seule la competence garantit la reussite. Developper la competence chez l'etudiant n'est pas une question de paperasse, mais un travail de fond, un investissement au quotidien, une philosophie qui necessite beaucoup d'efforts! C'est plus facile de trouver une reconnaissance de diplome que de developper la competence chez un apprenant. D'ailleurs, les ecoles l'ont compris maintenant et se ruent vers ces reconnaissances pour ensuite dormir sur leur lauriers. 

At the end of the day, ce qui interesse l'entreprise ce n'est pas la reconnaissance du diplome, mais plutot la COMPETENCE de son detenteur. 
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