Lors d'une conférence organisée par l'UCAD dont le thème était ''L'université africaine face au défi de l'employabilité'', Slim Khalbous, le recteur de l'Agence universitaire de la Francophonie (l'AUF), a fait un diagnostic de cette problématique.
Selon l'universitaire et homme politique tunisien, le problème de l'employabilité des jeunes est un phénomène très répandu en Afrique. Il fait même partie des principales causes de l'augmentation du taux de chômage dans le continent.
''C'est un phénomène mondial plus grave en Afrique où un jeune sur deux est en chômage où son emploi est précaire. Il y a 3 millions d'emplois sur le marché, alors que 12 mille diplômés sortent chaque année de nos universités'', informe-t-il.
Pour Khalbous, ''c'est un problème structurel. L'informel a une domination forte dans nos pays. Ce qui pose problème avec la précarité des emplois et des salaires de misère. Le marché est aussi difficile à gérer. Il y a parfois l'instabilité sociale, la violence et même le terrorisme dans certaines zones''.
Le recteur de l'AUF appelle les universités africaines à jouer pleinement leur rôle dans l'employabilité des jeunes. Pour lui, elles doivent être au cœur du développement et du processus de développement.
5 Commentaires
Kallam
En Juin, 2021 (15:09 PM)-
En fait, c'est le titre de l'article qui n'est pas coherent avec le contenu.
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{comment_ads}Nit
En Juin, 2021 (15:49 PM)-
pas de propositions / trop nul
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En Juin, 2021 (17:50 PM)Reply_author
En Décembre, 2021 (23:52 PM)Il fallait dès le départ interdir l'informel. De la petite boutique à la grande entreprise leur création doit répondre des règles de l'établissement d'un structure économique inea regisse de commerce securité sociale inscription aux impôts et domaines.... . Ça ou bien rester au village chez eux et développer nos campagnes l'agriculture, élevage, maréchages petit commerce et autres. Mais les laisser ces campagnes vidées de ses bras pour des emplois précaires en ville qui gênent les autres acteurs économiques formelles du développement le pays ne peut que y perdre. Bien sûr dans un pays où le détournement de deniers publiques et la corruption sont sanctionnés par une peine capitale
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3 problèmes majeures à régler pour relativement soulager le sous emploie au Sénégal:
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En Février, 2022 (03:07 AM)par ordre d’importance et de priorité/ d’urgence:
1 - la gouvernance corruptive, exclusive, clientélisme et prédatrice sur les richesses richesses publiques: solution destituer et arrêter, jugez Macky Sall et Son clan y compris celui de Wade. - Restituer les quelques 6500 milliards volatilisés par cette Mafia de 2000 à nos jours .- sanctionner par des peines de prisons lourdes évaluées en terme de décennies afin qu’ils soient éloignés de la vie publique du Sénégal pour le restant de leurs jours - permettant ainsi à un sang neuf de reprendre la direction du pays afin de restaurer les normes et valeurs humaines, citoyennes et communautaires ( Barth - TAS - Sonko - Guy Marius - Mody Niang - Dame Mbidj ....ect....
2 - politique de population adéquate à engager d’urgence
3 - réformer l’education Plus de professionalisme du niveau intermediate polytechnique à partir du brevet / DFEM
une élite sélectionnés et réduite : moins d’universite : Ou leurs transformation en partie en institut polytechnique.
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Notre université a raté la transition numérique si non sur leur site tout ce qui y passe se retrouve en streaming ou en vidéos on demande VOD mais hélas ceux a qui l'on a confié les réseaux ont des objectifs opposés au nôtre c'est les bénéfices réalisés qui les intéressent et même peut qu'on soit en retards sur tout comme ça
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En Décembre, 2021 (00:02 AM)Boutez Macky hors du palais au de prendre ses 5000 f et sac de riz
Jojo
En Juin, 2021 (16:42 PM)Participer à la Discussion