« Bamboula ! C’est toujours les mêmes qui posent problème. Les cartes d’abonnement, on sait comment vous les payez. Avec nos impôts… »
C’est par ce genre d’insultes incontestablement négrophobes qu’a été « dé-nigré » Birame, 41 ans et en règle, au plus fort de la crise qui l’a opposé aux Agents de la SNCF… soutenus par une foule en furie qui manifestement avait décidé de lui faire endosser de force et sans preuve le costume de l’éternel coupable jadis taillé sur mesure par la dite « malédiction de Cham ».
Autant dire que la singularité de cette histoire – au demeurant pas si singulière pour toutes celles et ceux qui vivent leur quotidien dans la peau d’un.e noir.e – doit nous rappeler que dans un contexte en proie à la dépression, les préjugés négrophobes que l’on croyait enterrés depuis la dite abolition de l’esclavage se réactivent… comme par enchantement.
Nous (noir.e.s) auront beau nous efforcer de croire inconditionnellement en la jolie fable contée par ledit « pays des droits de l’homme » (blanc), des histoires comme celle de Birame nous rappelleront toujours que cette vision viscéralement négrophobe du monde a été profondément enracinée dans l’inconscient collectif de l’opinion publique (française) :
- d’abord franchement par l’église et l’état (français) qui ont pris le soin de légitimer l’esclavage occidentalo-chrétien et la colonisation.
- ensuite par les programmes plus subtilement racistes généreusement diffusés par l’éducation nationale et des média de masses, notamment, qui conditionnent encore et toujours à la chaîne notre manière de penser et de hiérarchiser un monde qui place « subjectivement » les « blanc.he.s » tout en haut de l’échelle des classes et des « races », tandis que les « noir.e.s » tout en bas.
Vu sous cette éclairage la question n’est alors plus de savoir si Birame a bien montré ou non son titre de transport « valide ». Ni de juger si les agents de la SNCF ont intelligemment, voire équitablement rempli leur mission de « service public ». Non ! C’est à l’enquête, espérons-le, objective de déterminer cela.
En revanche, nous pensons être en droit de nous demander pourquoi les agents de la SNCF – aussitôt soutenue par une foule étonnamment partisane – ont catégoriquement refusé à Birame le bénéfice de « la présomption d’innocence » qui « normalement » sied à tout citoyen français ou du monde. Pourquoi ces agents et ce groupe de passagers complices ont-ils préféré voir en Birame (qui n’est ici jamais précédé Mr.) le profil de cet « éternel [présumé] coupable » qui nous est quotidiennement révélé lors des « contrôles au faciès » abusivement pratiqués par une police missionnée par le même Etat français qui s’est rendu coupable de l’Esclavage et de la (néo)colonisation que nous subissons toujours (au cas où certain.e.s d’entre nous ne verraient là que la parfaite emprunte du hasard) ?
Autant dire à celles et ceux qui ne l’auraient pas encore compris, que la mésaventure négrophobe qui est arrivée à Birame sur ce quai de gare peut malheureusement surprendre dans ses filets n’importe quel.le afro-descendant.e, et ce, quels que soient sa classe, son orientation politique et/ou sa religion d’appartenance. Car la négrophobie – dans un contexte de paix sociale – survit toujours silencieusement… lâchement cachée derrière les fausses apparences d’une « liberté, d’une égalité et d’une fraternité » clamé par ledit « pays des droits de l’homme ». En substance, ce Racisme d’État particulier qui frappe chirurgicalement les noir.e.s depuis des siècles agit un peu comme une sorte de « virus dormant » préprogrammé pour se réactiver plus ou moins brutalement dès que surgit la moindre crise.
Voilà pourquoi riches de cette nouvelle grille de lecture qui ne se limite plus au récit volontairement trompeur relayé par le séduisant mythe de « l’égalité pour tous », nous considérons que la négrophobie n’est autre qu’une arme (néo)coloniale d’aliénation et de destruction massive qui n’avoue pas son nom.
Bienvenue dans le monde réel…
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25 Commentaires
Diaw
En Novembre, 2014 (11:23 AM)Patooo
En Novembre, 2014 (11:28 AM)L'afrique, c'est l'avenir. Le noir ne se sentira a l'aise qu'en afrique. Revenez
Negrophobie
En Novembre, 2014 (11:35 AM)Sm
En Novembre, 2014 (11:38 AM)Fatim Sal
En Novembre, 2014 (11:51 AM)Jean
En Novembre, 2014 (12:03 PM)Ceci est un mensonge et vous le savez très bien.
Pouvez vous me dire combien de noirs vivent en France? Comment se fait t'il que cette négrophobie française ne s'illustre que sur des cas isolés?
Il faut nous dire ce que Birame a fait, car il y'a souvent des noirs sans titre de transport qui se font controler et pourtant, ça n'arrive pas jusqu'à des propos racistes ou négrophobes.
Si mon frère Birame se voit comme une victime, alors qu'il porte l'affaire en justice, et je suis convaincu qu'il aura gain de cause, mais à cause de ce cas, parler de racisme des français serait très exagéré.
Mye
En Novembre, 2014 (12:33 PM)Ces blancs ou arabo-berberes ne nous aiment pas (même pour nos sœurs qui tapinent soit disant par le 'mariage'!!) et s'ils en avaient encore la possibilité nous mettraient encore des chaînes !!
LUTTONS POUR LA VIE !!
SUIS-JE LE GARDIEN DE MON FRÈRE OU NON ?
En tout cas et sans en tenir les tenants et les aboutissants, je vous dis juste, qu'il faut se respecter et rendre la réciprocité.
Ces blancs ou arabo-berberes ne nous aiment pas (même pour nos sœurs qui tapinent soit disant par le 'mariage'!!) et s'ils en avaient encore la possibilité nous mettraient encore des chaînes !!
LUTTONS POUR LA VIE !!
SUIS-JE LE GARDIEN DE MON FRÈRE OU NON ?
En tout cas et sans en tenir les tenants et les aboutissants, je vous dis juste, qu'il faut se respecter et rendre la réciprocité.
Ces blancs ou arabo-berberes ne nous aiment pas (même pour nos sœurs qui tapinent soit disant par le 'mariage'!!) et s'ils en avaient encore la possibilité nous mettraient encore des chaînes !!
LUTTONS POUR LA VIE !!
SUIS-JE LE GARDIEN DE MON FRÈRE OU NON ?
En tout cas et sans en tenir les tenants et les aboutissants, je vous dis juste, qu'il faut se respecter et rendre la réciprocité.
Ces blancs ou arabo-berberes ne nous aiment pas (même pour nos sœurs qui tapinent soit disant par le 'mariage'!!) et s'ils en avaient encore la possibilité nous mettraient encore des chaînes !!
LUTTONS POUR LA VIE !!
SUIS-JE LE GARDIEN DE MON FRÈRE OU NON ?
Khalilou87
En Novembre, 2014 (12:41 PM)Camus
En Novembre, 2014 (12:44 PM)Paco
En Novembre, 2014 (12:45 PM)MERCI JEAN, t'as tout bien expliqué
Stop Seneweb
En Novembre, 2014 (12:58 PM)Senewebcm2
En Novembre, 2014 (13:16 PM)@fatim Sall
En Novembre, 2014 (13:16 PM)On est en crise , les impots augmentent , les salaires stagnent , les prix montent et vous voyez une personne qui habitent un hlm avec 2 ou 3 femmes qui ne travaillent pas , 10 ou 15 gosses , dont les aines sont les dealers du quartier, qui va voir le medecin toutes les semaines , pour avoir du doliprane ou du dexeryl qu'ils vont revendre au senegal ou au mali , qui roulent en grosse bagnole .
comment voulez vous que son voisin qui a à peine 2 gosses , qui ne s en sort pas,qui travaille , lui et sa femme et qui ne peuvent meme pas se payer une petite voiture , si en plus , ils n'arrivent pas à dormir avec les va et vient des amis , des enfants qui ne respectent rien , ne devient pas raciste
La Vérité
En Novembre, 2014 (13:40 PM)Hommes, femmes ou enfants, près de 36 millions de personnes sont victimes d'esclavage dans le monde.
Selon une enquête menée par la Fondation australienne Walk Free, "l'esclavage moderne est présent dans l'ensemble des 167 pays" couverts par l'étude: il peut s'agir de traite d'êtres humains, d'exploitation sexuelle, de travail forcé, de servitude pour dette ou de mariage forcé ou arrangé.
L'organisation a comptabilisé 35,8 millions de personnes réduites en esclavage, un chiffre en hausse de 23% par rapport à 2013, non pas à cause d'une explosion du nombre de cas, mais en raison d'une meilleure méthodologie.
L'Afrique et l'Asie rassemblent une grande partie des pays où les "esclaves" sont les plus nombreux. En bas du classement, l'Islande et le Luxembourg sont les deux pays les plus exemplaires, avec seulement 100 victimes chacun. La France compte 8600 victimes.
Foulè
En Novembre, 2014 (14:29 PM)Ah
Elajka
En Novembre, 2014 (14:47 PM)Mais ns aussi on sais comment ils ont construit leurs grand pays, C PAR LE SANG DE NOS ANCETRES
Nité
En Novembre, 2014 (14:52 PM)Tertoulon
En Novembre, 2014 (15:16 PM)Une empoignade a éclaté, un jour de grève, dans un train express régional. Des passagers ont éjecté du wagon un resquilleur présumé… qui était en règle. Un contrôleur a porté plainte.
Mardi 4 novembre, matin de grève en gare de Toulon. Commence une très mauvaise journée pour Birame, 41 ans, qui prend son train quotidien pour aller travailler à Marseille.
Une méprise conduit à une altercation étonnante, au cours de laquelle Birame se fait éjecter manu militari par d'autres passagers. Sur ce point, les faits sont reconnus de part et d'autre. Et confortés par des témoignages directs. Pour le reste, les versions de l'histoire divergent.
Tout commence avec le « dispositif accueil filtrage », selon le vocabulaire de la SNCF, dans le tunnel d'accès aux quais. Birame déclare avoir exhibé sa carte d'abonnement mensuel, avant d'être rappelé : « Monsieur, ce n'est pas le mois de novembre, mais d'octobre. » Birame répond en s'éloignant « non, j'ai bien le mois de novembre », et monte sur le quai E. Le départ est imminent. Les passagers viennent déjà d'être trimballés d'un train annulé à un autre.
« Il a forcé le passage »
C'est à ce moment que tout se noue. La SNCF estime que le voyageur « a forcé le passage et refusé de montrer son titre de transport ». Dès lors, les agents SNCF veulent qu'il descende du train pour être contrôlé. Birame proteste. « J'ai un abonnement de travail, je suis en règle. » Il est persuadé que, s'il descend, le train partira sans lui.
En fait, le TER ne partira jamais, à cause de l'incident. Excédés, d'autres passagers s'en mêlent. « Cela fait longtemps qu'on est passé au tutoiement, aux réflexions désobligeantes », relate Birame, qui dit montrer son titre sans que personne ne lui accorde crédit.
Puis un homme lui assène : « Garçon, tu descends ou je te sors par tous les moyens. » Ce qui sera fait par plusieurs voyageurs. Une femme se saisit de son cartable et le jette sur le quai.
Birame est soulevé par l'arrière. « Je n'arrive pas à savoir le nombre de bras qu'il y a sur moi. J'essaie de m'agripper, mais je suis descendumanu militari. »
Sur le quai, le « resquilleur désigné » hurle au scandale. Il essaie de changer de wagon - « Je veux aller travailler. » Mais il est bloqué. Des passagers se seraient défoulés verbalement. « Bamboula ! C'est toujours les mêmes qui posent problème. Les cartes d'abonnement, on sait comment vous les payez. Avec nos impôts… »
Plainte(s) pour outrage
Birame est interpellé sur le quai par la police et conduit au commissariat.
Un contrôleur de la SNCF a déposé plainte pour outrage. Un fait que Birame reconnaît, mais au terme, selon lui, d'un enchaînement où les insultes ont été réciproques. Ce qui l'a conduit à déposer plainte également. Le jour de l'altercation, un médecin lui a délivré une incapacité totale de travail de cinq jours, pour une hémorragie dans un œil.
Les policiers ont constaté qu'il était en possession d'un titre de transport valide.
La SNCF : « Pourquoi n’a-t-il pas montré son titre? »
« Après qu’il a forcé le passage, le passager est monté dans le train.
Un contrôleur est monté pour lui demander son billet, expose le service communication de la SNCF en Paca. Mais celui-ci a refusé de le produire. Puis on lui a demandé de descendre du TER. Nouveau refus. »
La SNCF reconnaît que d’autres voyageurs ont été partie prenante dans l’incident. « Là, vraisemblablement, un client s’en serait pris au voyageur et l’aurait forcé à descendre sur le quai. Le monsieur a de nouveau essayé de monter dans le train. Et a été bloqué [par des agents SNCF]. »
La SNCF s’étonne que ce voyageur ait pu avoir un abonnement en bonne et due forme. « S’il a un titre en règle, pourquoi ne le montre-t-il pas? », reconnaissant qu’il y a « vraisemblablement deux versions des faits ». L’agent SNCF, un contrôleur, a porté plainte pour outrage, « en son nom propre ».
La SNCF estime que « l’enquête établira de façon précise le déroulement des faits ».
Tertoulon2
En Novembre, 2014 (15:19 PM)En fait, le TER ne partira jamais, à cause de l'incident. Excédés, d'autres passagers s'en mêlent. « Cela fait longtemps qu'on est passé au tutoiement, aux réflexions désobligeantes », relate Birame, qui dit montrer son titre sans que personne ne lui accorde crédit.
Puis un homme lui assène : « Garçon, tu descends ou je te sors par tous les moyens. » Ce qui sera fait par plusieurs voyageurs. Une femme se saisit de son cartable et le jette sur le quai.
Birame est soulevé par l'arrière. « Je n'arrive pas à savoir le nombre de bras qu'il y a sur moi. J'essaie de m'agripper, mais je suis descendu manu militari. »
Sur le quai, le « resquilleur désigné » hurle au scandale. Il essaie de changer de wagon - « Je veux aller travailler. » Mais il est bloqué. Des passagers se seraient défoulés verbalement. « Bamboula ! C'est toujours les mêmes qui posent problème. Les cartes d'abonnement, on sait comment vous les payez. Avec nos impôts… »
Plainte(s) pour outrage
Birame est interpellé sur le quai par la police et conduit au commissariat.
Un contrôleur de la SNCF a déposé plainte pour outrage. Un fait que Birame reconnaît, mais au terme, selon lui, d'un enchaînement où les insultes ont été réciproques. Ce qui l'a conduit à déposer plainte également. Le jour de l'altercation, un médecin lui a délivré une incapacité totale de travail de cinq jours, pour une hémorragie dans un œil.
Les policiers ont constaté qu'il était en possession d'un titre de transport valide.
La SNCF : « Pourquoi n’a-t-il pas montré son titre? »
« Après qu’il a forcé le passage, le passager est monté dans le train.
Un contrôleur est monté pour lui demander son billet, expose le service communication de la SNCF en Paca. Mais celui-ci a refusé de le produire. Puis on lui a demandé de descendre du TER. Nouveau refus. »
La SNCF reconnaît que d’autres voyageurs ont été partie prenante dans l’incident. « Là, vraisemblablement, un client s’en serait pris au voyageur et l’aurait forcé à descendre sur le quai. Le monsieur a de nouveau essayé de monter dans le train. Et a été bloqué [par des agents SNCF]. »
La SNCF s’étonne que ce voyageur ait pu avoir un abonnement en bonne et due forme. « S’il a un titre en règle, pourquoi ne le montre-t-il pas? », reconnaissant qu’il y a « vraisemblablement deux versions des faits ». L’agent SNCF, un contrôleur, a porté plainte pour outrage, « en son nom propre ».
La SNCF estime que « l’enquête établira de façon précise le déroulement des faits ».
Tertoulon3
En Novembre, 2014 (15:20 PM)Un contrôleur de la SNCF a déposé plainte pour outrage. Un fait que Birame reconnaît, mais au terme, selon lui, d'un enchaînement où les insultes ont été réciproques. Ce qui l'a conduit à déposer plainte également. Le jour de l'altercation, un médecin lui a délivré une incapacité totale de travail de cinq jours, pour une hémorragie dans un œil.
Les policiers ont constaté qu'il était en possession d'un titre de transport valide.
La SNCF : « Pourquoi n’a-t-il pas montré son titre? »
« Après qu’il a forcé le passage, le passager est monté dans le train.
Un contrôleur est monté pour lui demander son billet, expose le service communication de la SNCF en Paca. Mais celui-ci a refusé de le produire. Puis on lui a demandé de descendre du TER. Nouveau refus. »
La SNCF reconnaît que d’autres voyageurs ont été partie prenante dans l’incident. « Là, vraisemblablement, un client s’en serait pris au voyageur et l’aurait forcé à descendre sur le quai. Le monsieur a de nouveau essayé de monter dans le train. Et a été bloqué [par des agents SNCF]. »
La SNCF s’étonne que ce voyageur ait pu avoir un abonnement en bonne et due forme. « S’il a un titre en règle, pourquoi ne le montre-t-il pas? », reconnaissant qu’il y a « vraisemblablement deux versions des faits ». L’agent SNCF, un contrôleur, a porté plainte pour outrage, « en son nom propre ».
La SNCF estime que « l’enquête établira de façon précise le déroulement des faits ».
Tertoulon4
En Novembre, 2014 (15:21 PM)La SNCF estime que « l’enquête établira de façon précise le déroulement des faits ».
Féneweb
En Novembre, 2014 (15:25 PM)Sene
En Novembre, 2014 (15:55 PM)Futur_presi_du_senegal
En Novembre, 2014 (16:44 PM)Ceci pour dire que Birame a tort de refuser de montrer clairement son titre de transport valide. Le geste des voyageurs est compréhensible car une personne fait retarder tout le monde pour un simple contrôle de titre de transport. Y en a qui ont des examens, d'autres des correspondances et je ne sais quoi...... Toutefois, il n'appartient pas aux voyageurs de faire la police. Ils se seraient limités aux paroles et à l'invite du passager de respecter les règles plutôt que de le pousser de force vers la sortie. Birame a bien raison de porter plainte. à mes frères blacks, soyons respectueux des règles de bonne conduite mais également apprenons à nous faire respecter. Ne jamais courber l'échine devant son vis-à-vis mais avant se faire respecter par son comportement.
Zizniang
En Novembre, 2014 (18:19 PM)..................................
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