Mamadou Sarr et Serigne Mbengue ont été placés sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt et de correction de Thiès pour inceste. Le premier est un vendeur de légumes âgé de 50 ans et père de la victime. Le second est l’oncle de cette dernière. Ils ont violé et effectué des attouchements sexuels sur la fille de 14 ans S.Sarr, élève en classe de 6e.La fille partage la même chambre avec son père et sa mère. La nuit, au moment où sa mère dort, son père quitte le lit conjugal pour la rejoindre sur la natte étalé à même le sol où elle passe la nuit pour la contraindre à des rapports sexuels forcés. Sa libido satisfaite, le vendeur de légume repart se glisser sous le drap qu’il partage avec sa femme.
Plusieurs fois, il a répété sa sale besogne, finissant de traumatiser la fille. Elle décide alors de s’en ouvrir à son oncle Serigne Mbengue. Mais ce dernier, vicieux comme le père, au lieu d’apporter son soutien à sa nièce, perpétrait des attouchements sexuels sur elle. Sachant que son oncle veut la soumettre à une relation sexuelle comme son père l’a fait, l’élève s’en ouvre à son grand-père âgé de 75 ans. Ce dernier excédé par le comportement des deux hommes est parti illico presto pour déposer une plainte au commissariat de Mbour.
Le père et l’oncle sont ainsi par le commissaire Bécaye Diarra et la fille conduite auprès d’un gynécologue qui diagnostique la perte de son hymen. Le certificat médical est ainsi joint au procès verbal et les deux mis en cause ont été déféré au parquet de Thiès.
20 Commentaires
Sow
En Avril, 2012 (12:22 PM)C...con...
En Avril, 2012 (12:31 PM)NB: l'HISTOIRE de ce pays est seulement à la préface.....il y a encore à écrire....
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Penda Mbaye
En Avril, 2012 (12:33 PM)Violée=abusée ?
En Avril, 2012 (12:42 PM)le probleme de la promiscuité et de ses consequences terribles : un viol qui ravale son auteur à l'animal tel le bouc qui une fois adulte fornique sans façon avec la brebis qui l'a mis au Monde !!
LA SPECIFICITé DE L'ETRE HUMAIN SUR L'ANIMAL C'EST LA POSIBILITé QU'A L'HUMAIN DE
MAITRISER SON AME BESTIAL DONT LES DELIRES SATANIQUES NOUS ENTRAINENT EN CHAQUE INSTANT VERS L'IRREPARABLE
Talibé Cheikh Bi
En Avril, 2012 (12:43 PM)Mais bayilen ak borom kou , ils vont payer les pots cassés
Vrai
En Avril, 2012 (12:49 PM)Liquider Les Marabouts
En Avril, 2012 (12:59 PM)XIPPI +IRIS+ OBS+ TFM= TELEVISION FRANC MAçONNIQUE
çA FAIT DE YOUSSOU UN DES LEURS C EST UN COMPLOT
BRISER LES MARABOUTS OBJECTIF DE LUCIFER POUR LE SENEGAL
POUR TON INFORMATION LES CATHOLIQUES PROTESTANTS SONT AUSSI DES FRANCS MAçONS! ILS FONT LEUR RITUELS LA NUIT ET OEUVRE POUR LE REGNE DE MACKY = LUCIFER AU SENEGAL LE GRAND MAITRE :
LES PRIERES DES MARABOUTS LES EMPËCHENT D ARRIVER A LEUR KHEUREUM ALORS IL FAUT LES LIQUIDER
Leuz
En Avril, 2012 (13:05 PM)Piscopis5
En Avril, 2012 (13:12 PM)nul ne doit être au dessus de la loi...que justice reste maître de la nation sénégalaise
Gork Mawdo
En Avril, 2012 (13:20 PM)Lebara
En Avril, 2012 (13:24 PM)Thianta
En Avril, 2012 (13:39 PM)dans tel mosquée
Tt
En Avril, 2012 (14:19 PM)Satan Macky
En Avril, 2012 (14:32 PM)YOUSSOU NDOUR + MACKY SALL+ PROCUREUR NDOYE+ JUGE AVEC SA PERUUQUE A LA CON AVEC SON VISAGE HEXAGONE SES LEVRES ROUGES ET SECS = LOGE DES PRESIDENTS AFRICAINS§
MARABOUT DU SENEGAL REVEILLEZ VOUS / MACKY AVAIT DIT QUE LES MARABOUTS SONT DES CITOYENS COMME TOUT LE MONDE ET IL EST ENTRAIN DE LE PROUVER ; IL VEUT SE VENGER SIMPLEMENT
CE RANCUNIER A LA CON NE S OCCUPE PAS DU SENGAL MAIS PLUTOT DE SA VENGEANCE;
TOUT A FAIT DES PROMESSES QUE TU NE PEUX TENIR ALORS TU CREES LE DESORDRE POUR AVOIR UN PEU DE TEMPSMAIS NOUS NE TE LAISSERONS PAS FAIRE § C EST TOI SATAN EN PERSONNE
Réaction
En Avril, 2012 (14:32 PM)Mali : Fourvoiement et Cirque, la CEDEAO en cause
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Mali : Fourvoiement et Cirque, la CEDEAO en cause
L’échec de la CEDEAO aux portes de l’exploit n’est, sans doute, pas une surprise. Combien de premiers responsables d’institutions africaines ont vociféré pour enfin, plier l’échine. Le renoncement de l’Organisation régionale était inscrit dans ses gênes et les circonstances ont conduit à l’exacerbation de cette pathologie.
Naïvement d’aucuns ont applaudi à la lecture du communiqué final de la Session Extraordinaire d’Abidjan. L’espoir était d’autant plus permis que le Président A D Ouattara, Président En Exercice, vécut les affres de la confiscation de la légitimité populaire. Chacun s’attendait à ce qu’il donna plus de sens et de pesanteur au terme Retour à l’Ordre Constitutionnel. La prise en main par la CEDEAO aura dissuadé plus d’un. Internationalement, tous les acteurs s’abritaient derrière les décisions d’Abidjan même la Commission de l’Union Africaine.
Dans les faits, on attendait, pour porter un jugement global sur l’issue, les actes, les résultats tant par rapport aux principes qu’au sort du Mali désormais abîmé par une junte à la conduite hasardeuse. Les résultats sont tombés : la démission du Président légitime, le maintien de la junte aux commandes (selon les propos tenus en Bambara par le Capitaine Sanogo), l’investiture-cirque du Président Traoré, l’occupation des deux tiers du pays.
Au vu de ce fouillis aux antipodes des discours grandiloquents d’Abidjan, la démarche de notre auguste institution aura été un échec retentissant. Cette défaite collective est source de désastre, pour le présent, et d’inquiétudes, pour le futur. Et, ce n’est pas la nième médiation du Président Compaoré qui changera quelque chose aux faits qui sont têtus. Il accrochera, après la rencontre de Ouagadougou, un autre trophée.L’abonnement du Président Compaoré, à ce type d’exercice, ne changera rien. Rappelons-nous le fameux Accord de Ouagadougou relatif à la crise ivoirienne. Il s’est fracassé sur le comportement irréfléchi du Président GBAGBO Laurent et sa clique. Ça rappelle celui des mutins maliens. Donc cette démarche qui sonne le glas de la souveraineté du Mali etsa démocratie se soldera, à coup sûr, par un échec retentissant. Et, ce ne sont pas les Chefs actuels des partis politiques maliens qui inverseront la tendance. Nous les avons observés et vus à l’œuvre. Ils sont allés à Canossa et passés sous les fourches caudines d’un grotesque comitéhormis le Président Soumaïla Cissé sorti grandi de cet épisode. Le Président Cissé s’est forgé, en si peu de temps, la stature d’homme d’Etat. Le Président par Intérim investi hier était attendu sur des principes : la condamnation du coup de force, l’appel à l’unité du pays et à sa cohésionincluant, ça tombe sous le sens, le Président démissionnaire légitime lui, le retour aux casernes des Zorroet leur départ sur le front. Rien de tout cela. Au contraire, il leur a dressé des lauriers. A l’évidence, la guerre totale dont il parle est une exigence stratégiquepour le devenir du pays.
Les honnêtes citoyens maliens, la majorité silencieuse, les sans grades, les femmes, les jeunes notamment au nord savent déjà, que leur vie a basculé depuis, la funeste mutinerie et pas avant malgré, la récurrence des incursions.
Quel était la radioscopie ante mutinerie qu’on a tendance à occulter : les salaires étaient payés, les femmes allaient au marché, l’année scolaire suivait son cours, nombre de projets étaient en cours d’exécution, les états-majors politiques préparaient les échéances électorales, la constitution n’était pastripatouillée pour un troisième mandat. En somme, les événements au nord inquiétaient, irritaient et poussaient, par leur absurdité une partie des maliens, vers les pentes savonneuses du nationalisme toujours ravageur, glissement contre lequel le Président aura résisté jusqu’au bout.
Le Mali allait fêter les vingt ans de son modèle démocratique incarné par le Président sortant. Un autre Chef d’Etat aurait agi autrement. L’Ex Président Nigérien avait tenté de piétiner la Constitution au motif d’achever de « Grands Projets ». Le Président Touré a sûrement eu des suggestions du genre. On lui a certainement dit que c’est une aubaine pour rester, en déclarant l’Etat de guerre en s’appuyant sur untriple ressort nationaliste, identitaire et sécuritaire. Ce choix aurait fait des ravages et chacun le sait. Les cassandres actuelles lui seraient tombées dessus. L’autre jour le Premier Ministre Français eût une réponse républicaine dans le feu de l’actualité de l’Affaire Merah de Toulouse. Aux journalistes qui lui demandait pourquoi n’ont-ils pas arrêté Mohamed MERAH avant ? Sa réponse cinglante, sous un ton posé, était à son honneur : nous sommes dans un Etat de Droit. On n’arrête pas les personnes comme on veut. C’est en l’occurrence, à l’aune du droit qu’il faut porter un jugement sur les curieux événements du Mali. Sans normes c’est la loi du plus fort. C’est la jungle.
Dans ce cadre, le Président Ivoirien aurait dû avoir à l’esprit sa propre histoire et les conditions de son accession au pouvoir. S’il était resté en tête-à-tête avec ses adversaires il serait ailleurs. Tous les démocrates l’ont soutenu pour le respect des suffrages des ivoiriens. Le Président Touré lui n’a pas fait couler le sang pour accéder ou se maintenir au pouvoir. Il a brigué et obtenu les suffrages des maliens, par deux fois. Les Chefs d’Etat, en souffrance de légitimité, ont piétiné et bafoué le droit. Ils ont ouvert une porte qui se refermera sur eux tôt ou tard. Imaginons que le Président ait refusé de démissionner. Ça aurait été l’impasse. Le droit dont Ouattara et consorts parlaient et parlent est le diktat de la junte. Rien de plus, rien de moins. Dans son discours le Président par Intérim a oublié de dire un mot, exprimer une pensée et effleurer le nom de son prédécesseur. C’est un signe qui ne trompe pas. La cérémonie d’investiture aura été un cirque.
Mais, les honnêtes citoyens maliens ne sont pas dupes. Tétanisés par une mutinerie brutale et absurde, ils commenceront bientôt à évaluer, froidement, dans le secret de leurs foyers, le désastre. Ils savent qu’en dépit de la modicité des moyens, du caractère vaste de leur territoire, de l’agressivité des assaillants et de l’implication des voisins, la guerre était cantonnée au nord. Aujourd’hui elle est aux portes de Mopti. La rébellion dure depuis des mois. Il a fallu quelques jours et la paralysie de l’Etat pour que tout bascule.
Les honorables Chefs d’Etat de la CEDEAO ont donné l’impression d’abdiquer face au néant. Mais, encore une fois, les honnêtes citoyens vont commencer à comparer : un pays nonobstant les difficultés certes fragile et fragilisé mais debout, une résistance sage mais volontaire, un pays à l’abri d’une mutation en nouvel espace d’expérimentation des médiations du Président Compaoré, une population à l’abri de l’arbitraire et des embastillements, une stabilité enviée, un respect des normes, excluant par exemple la libération d’un Chef de Gouvernement et le maintien en prison de ses Ministres libérés hier sans gloire. L’histoire sera de retour et les faits avec.
Irène Coulibaly.
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