Pour avoir passé la première nuit, après son retour, chez la ñareel - L'émigré tabassé par la « awoo

C. T. était en mauvaise posture parce que sérieusement malmené par sa femme, au cours d'une rixe les ayant opposés. A l'origine de cet échange d'uppercuts entre monsieur et madame, le fait que notre émigré ait commis l'imprudence de passer sa première nuit au pays, chez la ñareel, sans en aviser « aawo buru kërëm…

C. T qui était à l'Etranger depuis quelques années, décide de revenir au bercail. Pour se faire accueillir dignement, et en grande pompe certainement, il téléphone à sa première femme (la aawo). Celle-ci n'étant pas à la maison, il se rabat alors sur la seconde. La chance lui ayant souri, monsieur lui apprend que dès le lendemain, il sera à Touba. Arrivé comme prévu, il se rend chez la deuxième, et y passe même la nuit. Au petit matin, C. T se saisit de son téléphone pour informer B. S, la première, qu'il est déjà dans la cité religieuse depuis la veille. Et qu'il viendra lui rendre visite en compagnie de N.G, la coépouse. Suffisant pour que B.S entre dans une colère noire. L'attitude de son mari vis-à-vis d'elle, ne lui a pas du tout plu ; et elle garde une dent contre lui. C'est ainsi qu'ils ont commencé à échanger des propos aigre-doux, et une rixe s'en est suivie. Le mari, sérieusement malmené et en mauvaise posture, se  décide d'inverser la tendance. Et de quelle manière ! C. T qui, sans doute, fait plus confiance à ses dents qu'à sa force physique, mord  B.S qui finit par lâcher prise. Ouf ! Après la bagarre, C.T prend la résolution de quitter le domicile conjugal, avec tous ses bagages, en laissant  sa femme B.S, et ses enfants,  pour aller s'installer chez N.G sa deuxième. Si ce n'est pas un "faay", en tout cas cela y ressemble fort…