On croyait qu’une bonne partie d’ébats sexuels, n’était seulement que source de plaisir…époustouflant. Moments de sensations fortes, que sans doute, seul Dieu peut expliquer.
Bien hélas, des relations sexuelles sensées pourtant procurer ce plaisir charnel à rendre « fou », peuvent aboutir à un drame. Et c’est justement ce qui est arrivé dans la commune de Koumassi. La victime est une ressortissante burkinabé d’une quarantaine d’années, répondant aux initiales dO.F., et commerçante de son état.
Selon les informations données par nos sources, tard dans la nuit du vendredi 28 novembre 2019, K.K qui, lui, est électricien en bâtiment, retrouve sa dulcinée, dame O.F, un peu plus âgée que lui. Les deux décident d’une partie de jambes en l’air électrique.
Et pour faire, ils quittent leurs domiciles respectifs, et vont se planquer dans un hôtel bon marché de Koumassi-campement, leur quartier. Une fois à la réception, ils payent pour une heure, et referment rapidement sur eux, la porte de la chambre qui leur est octroyée.
Après s’être dévêtus et laissés aller à des câlins maladroits, dignes de grands-parents qui n’ont vraiment que dalle des préliminaires, le couple va à l’essentiel. Il ne lui reste plus que quelques minutes, avant que le réceptionniste vienne leur rappeler qu’ici n’est pas chez eux, qu’ils doivent foutre le camp, pour laisser la place à d’autres clients. Après avoir confiné sa gonzesse dans la position du missionnaire, communément appelée « Tue-moi », l’électricien fait parler la puissance de ses reins. Dans une chevauchée rageuse, il impose un rythme électrique à sa pauvre « grande sœur » qui subit ainsi, ses « han ! » de bûcheron.
Malheureusement, ce qui était parti pour être d’intenses moments de joie, va se transformer en une grosse tristesse. C’est que, tout d’un coup, la commerçante commence à étouffer. K.K, lui, croit plutôt qu’elle est en train de prendre son pied. C’est pourquoi, il va au bout de son action, jusqu’à « se libérer ».
Mais à peine a-t-il achevé de « démonter »sa partenaire, K.K se rend enfin compte, que la commerçante ne jouait pas à la femme trop « inspirée ». Il y a vraiment problème pour dame O.F, éprouvant de plus en plus du mal à respirer. De la main, elle fait signe à son petit ami, d’orienter vers elle, le vent du ventilateur. Ce que fait ce dernier, mais ça n’arrange toujours rien.
Là, l’électricien prend toute la mesure de la situation. Il fait rapidement porter ses habits à sa compagne, après en avoir fait de même. Les instants qui suivent, il la fait embarquer à bord d’un taxi. Direction, l’Hôpital général de Koumassi.
Malheureusement, en ces lieux, il n’est constaté que le décès de la pauvre dame. Un décès, selon les praticiens, imputé à une crise d’hypertension.
La police informée par le personnel de l’hôpital, se rend sur place et procède à un constat d’usage. Après s’être fait expliquer par K.K les faits présumés tels que relayés ici, les flics ouvrent une enquête, pour se faire leur propre opinion. Et si celle-ci corrobore plus tard, avec les explications données par l’amant éploré, c’est tant mieux. Dans le cas contraire, on verra bien.
Malheureusement, dans l’un ou dans l’autre cas, la commerçante, elle, n’est plus là. Dommage qu’une si belle montée au 7e Ciel, se termine ainsi, par un « crash en plein vol ».
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