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Déféré : Le sort du journaliste Doudou Coulibaly entre les mains du procureur

Auteur: Mor Mbaye Cissé

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Déféré : Le sort du journaliste Doudou Coulibaly entre les mains du procureur

Placé hier en garde à vue à l'issue de son audition dans les locaux de la Division spéciale de cybersécurité, le journaliste Doudou Coulibaly a été déféré ce jeudi matin au tribunal de grande instance hors classe de Dakar, a appris Seneweb.

Le chroniqueur de la chaîne Public.sn est poursuivi pour offense à un chef d'État étranger et à une personne ayant les prérogatives du chef de l'État du Sénégal ainsi que pour injures, selon son avocat, Me El Hadj Diouf.

Ses avocats ont plaidé pour sa libération en déposant son dossier médical. 

Pour eux, l'état de santé de Doudou Coulibaly n'est pas compatible avec le milieu carcéral. 

Son sort est désormais entre les mains du procureur.

Auteur: Mor Mbaye Cissé

Commentaires (10)

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    Irving il y a 1 jour

    Allez y Mr le procureur, comme d'habitude, envoyez le en prison sur la base de délit qui n'existent pas dans la constitution. Personne qui exerce les mêmes prérogatives que le chef de l'état la blague...Plus on envoie des innocents en prison pour des trucs terre à terre, plus ce procureur fera l'affaire des détracteurs du régime.

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    Kharagne il y a 1 jour

    Ecce procuratore!

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    Tasfép il y a 1 jour

    Avec pastef rien d étonnant d avoir un procureur aaussi médiocre qui a un problème mental avec les mots. Va soigner tes maux petit malade

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    h il y a 1 jour

    qu'il pourisse en prison

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    Beug Sénégal il y a 1 jour

    Mais dites-moi, le gars, il est Journaliste ou Chroniqueur.
    Parceque j'ai vu les 2.
    Damay lacté dong.

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    katch il y a 1 jour

    Bizarrement pour insulter les gens il est très en verve et quand il est en taule il dit qu'il est malade. Day fën na fa déss longtemps.

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    Thierno il y a 1 jour

    Dossier médical même pas honte de se faire arrêter et de fuir ces responsabilités allant jusqu'à dire que erdogan a tué un opposant turc alors que c'est l'Arabie saoudite et son prince qui sont responsables de la mort de l'opposant. Ne pas aimer ousmane sonko pousse cet individu abject a traité le 1er ministre de voyou reçu par un autre voyou tueur erdogan.

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    Abdoulaye il y a 1 jour

    Son état de santé lui permet d'être tous les jours sur les plateaux et de dire n'importe quoi ? ????

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    Il fait pitié il y a 1 jour

    On apprend par sa famille que le mec est malade, qu'il a des problèmes cardiaques, des problèmes rénaux, qu'il est diabétique, alors au lieu d'éviter les problèmes, il va tous les jours insulter, diffamer, mentir et cracher sa haine sur les dirigeants du régime actuel. Non mais on est ou là ? Comme disait l'autre, c'est vraiment "le monde qui part en couille là". Une personne qui porte toutes ces maladies doit éviter les problèmes et éviter de s'en créer. On dit chez nous "mak moye maye bopame soutoureu ou mak moye soutoural bopame".
    C'est vraiment un idiot alors !

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    David W il y a 1 jour

    Analyse : Une nostalgie politique teintée de ressentiment
    Le journaliste Madiambal Diagne, en réagissant aux sanctions américaines contre le magistrat sénégalais Mame Mandiaye Niang, choisit de ne pas commenter directement les faits actuels, mais plutôt de se tourner vers le passé, sous le magistère de Macky Sall. Il évoque une situation similaire impliquant Amady Ba, et vante la méthode « discrète et efficace » de l’ancien président.

    Ce choix narratif révèle plusieurs choses :

    1. Une lecture nostalgique du pouvoir
    Madiambal ne propose aucune analyse sur les enjeux diplomatiques actuels ni sur la posture du gouvernement en place. Il préfère glorifier une gestion passée, ce qui peut être interprété comme une forme de regret ou de rejet du présent. En valorisant Macky Sall sans nuance, il semble nier toute capacité d’action ou de stratégie du pouvoir actuel.

    2. Une critique implicite du gouvernement en place
    En ne mentionnant aucune initiative de l’actuel président ou de son administration face aux sanctions, Madiambal laisse entendre que rien n’est fait, ou que ce qui est fait est inefficace. Ce silence est lourd de sens : il traduit une posture critique, voire hostile, envers le pouvoir en place, sans jamais l’attaquer frontalement.

    3. Un biais personnel ou idéologique
    Le ton du commentaire, centré uniquement sur les mérites de Macky Sall, peut être perçu comme motivé par une animosité envers les nouvelles autorités. Ce n’est pas une analyse équilibrée, mais une prise de position qui semble dictée par des préférences politiques ou des rancunes personnelles. Cela affaiblit la portée journalistique du propos.

    Conclusion
    L’intervention de Madiambal Diagne, loin d’éclairer la situation actuelle, semble surtout servir à raviver une image idéalisée du passé et à discréditer le présent par omission. Ce type de commentaire, s’il n’est pas accompagné d’une analyse des faits actuels, risque de passer pour une critique par défaut, fondée davantage sur la nostalgie et le ressentiment que sur une lecture objective de la réalité politique du Sénégal.

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    O Soumadi Kertieen il y a 1 jour

    Ce qui est curieux avec Doudou Coulibaly, c'est qu'il y'a moins de 2 ans lors des débats à Wal Fadjri entre lui, doyen Demba Ramata et Aliou Sow, c'est lui qui défendait le PASTEF contre Aliou Sow, allant même jusqu'à l'accuser "d'être en service commandé". C'est après que je l'ai vu un peu avant la présidentielle dire "PASTEF meunul jaleu 1er tour, sinon ku am xadj tudé mako". C'était la 1ere fois que je l'entendais parler ainsi du PASTEF. Dites-moi, qu'est-ce qui a changé avec lui entretemps. Parce que Aliou Sow lui n'a pas changé, du moins pour le moment.

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