Le candidat républicain possède un hymne à sa gloire. Attention, moment gênant.
"Make America Great Again" (Rendre l'Amérique à nouveau puissante). C'est ce que promet le slogan de campagne de Donald Trump. À coup de frasques et de provocations, le candidat à l'investiture républicaine est parvenu à s'attirer la sympathie de nombreux militants du GOP (Great Old Party) au point d'être considéré comme le favori.
Mais à y regarder de plus près, on a quelque doute sur la méthode employée par le politicien pour redonner à son pays son lustre d'antan. Pour ce dernier, c'est bien connu, le ridicule ne tue pas.
"Make America Great Again" (Rendre l'Amérique à nouveau puissante). C'est ce que promet le slogan de campagne de Donald Trump. À coup de frasques et de provocations, le candidat à l'investiture républicaine est parvenu à s'attirer la sympathie de nombreux militants du GOP (Great Old Party) au point d'être considéré comme le favori.
Mais à y regarder de plus près, on a quelque doute sur la méthode employée par le politicien pour redonner à son pays son lustre d'antan. Pour ce dernier, c'est bien connu, le ridicule ne tue pas.
Il l'a encore prouvé jeudi, offrant un moment gênant lors d'un meeting en Floride. Sa montée sur scène a été animée par un groupe de jeunes filles, appelées "The Freedom Girls", habillées aux couleurs de l'Amérique.
À coups de petits pas de danse, de bras en l'air, de beat dance bas de gamme, les trois jeunes demoiselles combattent en rythme les ennemis de la liberté et donc, du Nouveau Monde. "Ce n'est pas facile, mais nous devons nous défendre et répondre à l'appel de la liberté", engage le trio, devenu la cible du cynisme des réseaux sociaux.
À coups de petits pas de danse, de bras en l'air, de beat dance bas de gamme, les trois jeunes demoiselles combattent en rythme les ennemis de la liberté et donc, du Nouveau Monde. "Ce n'est pas facile, mais nous devons nous défendre et répondre à l'appel de la liberté", engage le trio, devenu la cible du cynisme des réseaux sociaux.
D'après les médias américains, les paroles ont été écrites par le papa - par ailleurs manager du groupe - de la leader, Alexis. Fervent supporter de Trump, il a expliqué au Time admirer "son (Trump) grand coeur et son esprit brillant" et s'être mis à la composition de ce morceau dès l'annonce de la candidature du milliardaire. Que Dieu bénissel'Amérique.
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