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Groupe Avenir Communication : la section SYNPICS va protester contre les paies en retard (communiqué)

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Groupe Avenir Communication : la section SYNPICS va protester contre les paies en retard (communiqué)

La section SYNPICS du Groupe Avenir Communication (GAC) envisage de tenir un sit-in et de dérouler "d'autres plans de lutte" syndicale, pour protester contre les paies en retard et le mauvais état du parc automobile et informatique de l’entreprise.

 

Selon un communiqué parvenu lundi à l’APS, ses membres "ont décidé d’agir conformément aux moyens conférés par la loi : des journées de port de brassards rouges sont prévues, de même qu’un sit-in dans les prochains jours". 

 

"D’autres plans de lutte sont déjà définis, pour amener l’Administration générale [du GAC] à améliorer les conditions de travail et à respecter le droit [des agents de l’entreprise] à disposer de [leur] salaire avant le 8 de chaque mois", annonce le communiqué. 

 

La section SYNPICS du GAC "déplore la situation qui prévaut au sein de l’entreprise" et les "contraintes d’ordre matériel" constituant "la toile de fond d’un malaise général (…) qui crispe la productivité, grippe l’engouement des reporters et bride leurs efforts". 

 

Elle affirme, dans le communiqué reçu de son secrétaire général Aly Fall, que "le groupe vient de renouer avec ses crises cycliques, toujours ponctuées par la menace de fermeture d’un démembrement de la boîte ou par des licenciements pour motif économique". 

 

"Le spectre des retards de salaire qu’on avait cru avoir exorcisé a, depuis quelques mois, refait surface, à la plus grande désolation des travailleurs du GAC", écrit la section SYNPICS de ce groupe de presse privé, éditeur du journal Le Quotidien. 

 

"Le parc automobile n’en finit pas d’enregistrer une baisse en nombre. Les seuls véhicules qui restent sont sujets à des pannes quasi journalières. Le parc informatique est réduit à sa simple expression et les reporters peinent à trouver des machines pour écrire leurs textes", déclarent les travailleurs du GAC membres du SYNPICS. 

 

"A cela s’ajoute la suspension de la ligne téléphonique fixe, qui est incontournable dans le travail journalistique. La performance et la productivité du journal en ont subi les contrecoups. Il y a quelques jours, plusieurs reportages sont annulés faute de moyen de transport", poursuivent-ils. 

 

Les employés du journal Le Quotidien affirment encore que "le chapelet de solutions brandies par l’Administration générale depuis la fermeture d’entités, la réduction du personnel, le licenciement pour motif économique de certains employés s’est révélé dérisoire". 

 

Ils signalent que "le GAC fait toujours face à des crises, dont la résurgence et la fréquence sapent tout espoir d’un éventuel rétablissement de [son] équilibre financier". 

 

La Section SYNPICS "déplore les solutions inefficaces, les colmatages improbables et se désole de la précarisation des emplois. Elle demande un plan de redressement crédible, une gestion professionnelle, en phase avec les standards des entreprises qui se respectent et des salaires qui tombent à temps", lit-on dans le communiqué. 

 

L’administrateur général du GAC, Madiambal Diagne, joint par téléphone, a déclaré à l’APS qu’il n’avait pas de commentaire à faire sur la réaction de ses employés. "Je n’ai pas de commentaire à faire sur la question", a-t-il dit.



10 Commentaires

  1. Auteur

    Xeme

    En Septembre, 2014 (20:38 PM)
    Hanna la CREI ne paie plus les services de Madiambal ou c'est l'ambassade de France qui ne finance plus ?
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  2. Auteur

    Wakh Sa Khalat

    En Septembre, 2014 (20:43 PM)
    lou diarra lathe la
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    Auteur

    Com7

    En Septembre, 2014 (21:38 PM)
    ALLEZ VOIR DU COTE DE COM7 AVEC LE JOURNAL LE POPULAIRE, ILS SONT AUJOURD'HUI A 25 MOIS SANS SALAIRE.
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    Auteur

    Redac

    En Septembre, 2014 (21:55 PM)
    IL SE DIT RICHE. IL A VENDU SON AME A L'ETAT. PERSONNE NE LIT PLUS SON JOURNAL. LEQUOTIDIEN ETAIT SENTINELLE DURANT LE REGNE DE WADE. CERTAINEMENT MME SALL EST PASSÉE PAR LA. LISEZ JEUNE AFRIQUE. COMME SON JOURNAL NE SE VEND PLUS ALORS BONJOUR LES PROBLÈMES. CHANGEZ DE LIGNE RÉDACTIONNELLE EN ETANT A COTE DU PEUPLE ET LA SITUATION VA CHANGER.
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    Auteur

    Diamb's

    En Septembre, 2014 (22:08 PM)
    Il n'a encore rien vu...DIeu est juste. Wa salam.
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    Auteur

    Palais

    En Septembre, 2014 (03:21 AM)
    Madiambal n'a jamais fait fonctionner son journal avec les revenus tirés de sa vente. Il a toujours compter sur la générosité de wade qu'il faisait chanter régulièrement pour ensuite recevoir de grosses enveloppes trimestrielles par l'entremise de Thierno Lo et Serigne Mbacké Ndiaye. Aujourd'hui que wade n'est plus là et que macky qui a un peu essayé avec lui n'en veut plus, alors, c'est la descente aux enfers. Madiambal a demandé à macky de le nommer dans le gouvernement au meme titre que Yakham son rival de toujours. Face au refus de macky, il a voulu faire dans le chantage comme du temps de wade. Malheureusement pour lui, macky en refusant le chantage a tout simplement arrêté les enveloppes qu'il lui donnait. Voila pourquoi madiambal tire le diable par le bout de la queue. Son groupe va bientôt fermer. Je demande aux journalistes de son groupe d'aller chercher un job ailleurs car Madiambal, c'est fini, il ne se relèvera plus jamais. Il continuera sa descente dans la profondeur de l'abime. Dieu n'aime pas les traitres et les faux types.
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    Auteur

    Lelobi

    En Septembre, 2014 (09:14 AM)
    Il n'y a presque aucun groupe de presse au Sénégal qui vit des propres retombés de ses activités. Ils sont tous des organes et groupes qui ne travaillent et agissent que pr des individus ou groupes de pressions et qui par conséquent les entretiennent. Et leurs santés financières dépend des positions et des humeurs des propriétaires ou accointances du moment.
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    Auteur

    Expert Medias

    En Septembre, 2014 (10:06 AM)
    Cette boite est malade depuis de très longues années avec un patron qui se croit plus malin que tout le reste. Il ne pense jamais à trouver des solutions durables. Il est temps qu'il change de stratégie s'il veut éviter à son entreprise une mort certaine.

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    Auteur

    Le Chat De Ndakaaru

    En Septembre, 2014 (16:02 PM)
    la presse la presse...Madiambal qui a des blèmes de salaire par ci Le Populaire qui ne paie pas ses journalistes depuis belle lurette et maintenant El hadji Ndiaye qui veut restructurer. on l'a dit et redit un homme d'affaire ne peut pas gérer un organe de presse. il faut des hommes de média qui n'ont rien à faire avec la politique pour faire marcher les choses. et je vous dis que c'est possible. sachez que c'est eux qui ont osé crier mais bien d'autres organes vivent pire qu'eux. il faut rendre à César ce qui appartient à César. miaowwwwww

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    Auteur

    Goor

    En Septembre, 2014 (18:04 PM)
    Ce monsieur n'a encore rien vu. Les ennemis de Serigne Touba ne connaitrons que décadence et finirons dans l'abime.
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